C'est à Aït Chribou, son village natal, que Hamid Ouallam, investisseur hôtelier, a choisi de monter un projet touristique écologique unique en son genre au Maroc.
Au milieu d’une nature enchanteresse incroyablement contrastée entre montagnes et vallées, ruisseaux et bosquets, à un jet de pierre du lac Bin El-Ouidane, Hamid a décidé de réaliser un village touristique en éco dômes, ces constructions amies de l’environnement faites de terre, de pierres, de chaume et de chaux.
Lancé en 2019 dans la commune rurale de Ouaouizeght, le chantier qui comprend dans sa première tranche sept éco dômes érigés au sommet d’une montagne, prend forme pour une ouverture prochaine d’ici l’été.
"C’est un projet touristique que nous voulons écologique à 100% tant en ce qui concerne les matériaux utilisés dans la construction que dans la restauration, en se basant sur des produits bio et locaux de la permaculture", a indiqué M. Ouallam.
La construction en éco dômes s’est imposée de fait. D’abord parce qu’elle permet d’avoir des bâtisses distinguées de par les formes géométriques, couleurs et proportions et aussi parce qu’il s’agit d’une technique écologique et économique à la fois, qui repose sur des matériaux pas chers, puisés directement de la nature, a-t-il fait savoir.
Ce type de constructions se fond merveilleusement bien dans le paysage et fusionne parfaitement avec le décor naturel et la végétation. Il ne dénature nullement le paysage, s'intègre parfaitement dans l’environnement et semble même en faire partie.
Plusieurs matériaux et déchets ont été recyclés et intégrés dans la construction pour justement participer à la préservation de Dame nature et de la biodiversité du lieu.
Ce mode de construction, antisismique, qui résiste à des conditions climatiques extrêmes et qui se caractérise par sa robustesse et son adaptation aux différentes saisons, il dit l’avoir appris en Espagne et aux Etats-Unis.
L’intérêt de ces éco dômes qui les rendent particulièrement adaptés aux climats chauds et secs, réside dans leur forte inertie thermique.
"Même une femme enceinte ou un enfant de trois ans peuvent participer à la construction", a-t-il estimé, notant que le procédé est rustique et consiste tout simplement à remplir des sacs de terre humide et de les disposer sous formes de boudins en couches superposées jusqu’à former un dôme.
Pour protéger l’édifice des intempéries et le rendre étanche, on le recouvre d’un enduit, mélange de terre et de chaux, a-t-il ajouté, relevant que les futurs clients de cette station touristique seront initiés à la construction en éco dômes et participeront ainsi à l’extension du projet, qui non seulement a été réalisé par des martiaux locaux mais a également employé des gens du village le long des travaux.
Concernant les futurs clients de ce village touristique pas comme les autres, il a fait savoir qu’il cible une clientèle assez particulière qui cherche avant tout l’aventure, les sensations fortes, l’exploration et la découverte.
“Nous comptons organiser des stages de survie au profit de nos clients pour les initier aux techniques de survie de base et de subsistance dans la nature sauvage d’Aït Chribou”, a-t-il enchainé, précisant que la durée de séjour pour maîtriser les notions de survie en pleine nature varie entre 3 et 25 jours.
Au milieu d’une nature enchanteresse incroyablement contrastée entre montagnes et vallées, ruisseaux et bosquets, à un jet de pierre du lac Bin El-Ouidane, Hamid a décidé de réaliser un village touristique en éco dômes, ces constructions amies de l’environnement faites de terre, de pierres, de chaume et de chaux.
Lancé en 2019 dans la commune rurale de Ouaouizeght, le chantier qui comprend dans sa première tranche sept éco dômes érigés au sommet d’une montagne, prend forme pour une ouverture prochaine d’ici l’été.
"C’est un projet touristique que nous voulons écologique à 100% tant en ce qui concerne les matériaux utilisés dans la construction que dans la restauration, en se basant sur des produits bio et locaux de la permaculture", a indiqué M. Ouallam.
La construction en éco dômes s’est imposée de fait. D’abord parce qu’elle permet d’avoir des bâtisses distinguées de par les formes géométriques, couleurs et proportions et aussi parce qu’il s’agit d’une technique écologique et économique à la fois, qui repose sur des matériaux pas chers, puisés directement de la nature, a-t-il fait savoir.
Ce type de constructions se fond merveilleusement bien dans le paysage et fusionne parfaitement avec le décor naturel et la végétation. Il ne dénature nullement le paysage, s'intègre parfaitement dans l’environnement et semble même en faire partie.
Plusieurs matériaux et déchets ont été recyclés et intégrés dans la construction pour justement participer à la préservation de Dame nature et de la biodiversité du lieu.
Ce mode de construction, antisismique, qui résiste à des conditions climatiques extrêmes et qui se caractérise par sa robustesse et son adaptation aux différentes saisons, il dit l’avoir appris en Espagne et aux Etats-Unis.
L’intérêt de ces éco dômes qui les rendent particulièrement adaptés aux climats chauds et secs, réside dans leur forte inertie thermique.
"Même une femme enceinte ou un enfant de trois ans peuvent participer à la construction", a-t-il estimé, notant que le procédé est rustique et consiste tout simplement à remplir des sacs de terre humide et de les disposer sous formes de boudins en couches superposées jusqu’à former un dôme.
Pour protéger l’édifice des intempéries et le rendre étanche, on le recouvre d’un enduit, mélange de terre et de chaux, a-t-il ajouté, relevant que les futurs clients de cette station touristique seront initiés à la construction en éco dômes et participeront ainsi à l’extension du projet, qui non seulement a été réalisé par des martiaux locaux mais a également employé des gens du village le long des travaux.
Concernant les futurs clients de ce village touristique pas comme les autres, il a fait savoir qu’il cible une clientèle assez particulière qui cherche avant tout l’aventure, les sensations fortes, l’exploration et la découverte.
“Nous comptons organiser des stages de survie au profit de nos clients pour les initier aux techniques de survie de base et de subsistance dans la nature sauvage d’Aït Chribou”, a-t-il enchainé, précisant que la durée de séjour pour maîtriser les notions de survie en pleine nature varie entre 3 et 25 jours.
