Le cinéma au Maroc doit devenir un pourvoyeur d´emplois et se construire une industrie culturelle pour inonder le Maghreb. Avec ses voisins arabophones-francophones il y a une possibilité de monter en puissance et de prendre une place qui est vide et surtout encore disponible. Il y a lieu de construire des échanges pour former la nouvelle génération au Cinéma de la nouvelle vague : basé sur une lecture sur smartphone-tablette et autres écrans mais surtout sur des formats plus courts.
Une révolution numérique est en cours en ce qui concerne non pas le support mais bien le contenu. Aussi, de nouveaux et nouvelles réalisatrices émergent sur Youtube- Tik Tok - Vimeo - Facebook - Instagram... et c’est là que l´audimat (suivi des sponsors-annonceurs) se porte. Le Maroc avec sa population ultra jeune va avoir dans les cinq ans un basculement de vecteurs de contenus médias.
Il y a fort à gagner en copiant le Président du Festival du Cèdres Azrou/Ifrane, M. Abdelaziz Belrhali : découvrir et sélectionner des jeunes talents pour permettre aux jeunes marocains de partager ou comprendre les nouvelles techniques des formats du futur.
En invitant Catherine Bernard, jeune réalisatrice belge de 23 ans qui a réalisé un film court métrage sur le Rasle- bol estudiant en 2021 le Président du Festival apporte un sang neuf dans l’angle de présentation du contenu des médias des années à venir.
Alors que le documentaire était soumis aux différents Festivals, M. Belrhali a osé être le premier à valider la sélection de Melle Bernard, en trustant á la course les prestigieux Festivals de Moscou ou de Dubai qui ont aussi déroulé le tapis rouge pour ce format qualifié de «Actual Cinema».
Le Maroc terre d´accueil du cinéma ne déroge pas à sa qualité de leader dans sa programmation grâce au Centre cinématographique marocain qui a formé une élite mais doit être prudent pour ne pas rater le tournant du passage de format du contenu sur support numérique... Le Royaume de Belgique et le Royaume du Maroc partagent souvent leurs productions culturelles pour le plus grand bonheur des spectateurs.
Une révolution numérique est en cours en ce qui concerne non pas le support mais bien le contenu. Aussi, de nouveaux et nouvelles réalisatrices émergent sur Youtube- Tik Tok - Vimeo - Facebook - Instagram... et c’est là que l´audimat (suivi des sponsors-annonceurs) se porte. Le Maroc avec sa population ultra jeune va avoir dans les cinq ans un basculement de vecteurs de contenus médias.
Il y a fort à gagner en copiant le Président du Festival du Cèdres Azrou/Ifrane, M. Abdelaziz Belrhali : découvrir et sélectionner des jeunes talents pour permettre aux jeunes marocains de partager ou comprendre les nouvelles techniques des formats du futur.
En invitant Catherine Bernard, jeune réalisatrice belge de 23 ans qui a réalisé un film court métrage sur le Rasle- bol estudiant en 2021 le Président du Festival apporte un sang neuf dans l’angle de présentation du contenu des médias des années à venir.
Alors que le documentaire était soumis aux différents Festivals, M. Belrhali a osé être le premier à valider la sélection de Melle Bernard, en trustant á la course les prestigieux Festivals de Moscou ou de Dubai qui ont aussi déroulé le tapis rouge pour ce format qualifié de «Actual Cinema».
Le Maroc terre d´accueil du cinéma ne déroge pas à sa qualité de leader dans sa programmation grâce au Centre cinématographique marocain qui a formé une élite mais doit être prudent pour ne pas rater le tournant du passage de format du contenu sur support numérique... Le Royaume de Belgique et le Royaume du Maroc partagent souvent leurs productions culturelles pour le plus grand bonheur des spectateurs.