Selon la Banque Mondiale, les pays africains les mieux positionnés dans ce classement sont ceux qui sont dotés de ressources minérales mondiales tel le cobalt, les diamants, le gaz naturel, l’uranium, l’argent, la bauxite, le fer, les phosphates, les fèves de cacao, le sucre, le sel, le pétrole, les fruits tropicaux et le bois.
Concernant le Maroc, la Banque Mondiale indique que l’économie nationale est davantage diversifiée (automobile, aéronautique, offshoring…) et dépend principalement de l’exportation de matières premières. Et la même source d’ajouter que les secteurs du tourisme, des télécommunications et de la banque revêtent également une importance croissante pour l’économie marocaine. Ces secteurs représentent plus des deux tiers du PIB, bien qu’ils n’emploient qu’environ un tiers de la main-d’œuvre.
En plus, le Maroc est considéré seul des cinq pays les plus puissants économiquement d’Afrique à avoir une monnaie relativement solide, grâce à un ancrage sur les devises fortes que sont l’euro et le dollar.
Nigeria, 1ère puissance économique
Dans ce classement, le Nigeria, second producteur de pétrole du continent, conserve sa place de première puissance économique d’Afrique avec un PIB évalué à 448,12 milliards de dollars.
Loin derrière, suivent l’Afrique du Sud et l’Egypte, avec un PIB respectivement évalué à 351,43 et 303 milliards de dollars.
Si ces deux pays conservent leurs positions, à l’instar du Nigeria, l’Afrique du Sud continue, quant à elle, à voir son poids économique baisser. Son PIB a ainsi diminué de 65 milliards de dollars, soit une baisse de 15,62%, par rapport au pic que son activité économique a connu en 2011 (416,40 milliards de dollars).
Idem pour l’Egypte, dont le PIB a connu une baisse de 9%, se portant à 303,1 milliards de dollars, contre un pic enregistré en 2016 de l’ordre de 332,9 milliards de dollars.
La 4ème position revient à l’Algérie, dont le PIB s’est établi à 169,98 milliards de dollars en 2019, après avoir atteint un pic de 213,81 milliards de dollars en 2014, année de la flambée des cours du baril de pétrole (le baril avait atteint la barre des 140 dollars).
C’est l’Ethiopie qui occupe le 6ème rang des pays les plus développés d’Afrique avec un PIB qui s’établit à 96,11 milliards de dollars. Elle est talonnée de près par son voisin kényan qui, en l’espace d’une décennie, a vu son PIB passer de 40 milliards de dollars en 2010 à 95,5 milliards en 2019, soit une hausse de 138,75%.
Premier producteur de pétrole africain, l’Angola est en 8ème rang avec un PIB évalué à 94,63 milliards de dollars.
Enfin, le Top 10 des puissances économiques africaines est complété par le Ghana et la Tanzanie, avec des PIB respectifs de 66,98 et 63,18 milliards de dollars en 2019.
Concernant le Maroc, la Banque Mondiale indique que l’économie nationale est davantage diversifiée (automobile, aéronautique, offshoring…) et dépend principalement de l’exportation de matières premières. Et la même source d’ajouter que les secteurs du tourisme, des télécommunications et de la banque revêtent également une importance croissante pour l’économie marocaine. Ces secteurs représentent plus des deux tiers du PIB, bien qu’ils n’emploient qu’environ un tiers de la main-d’œuvre.
En plus, le Maroc est considéré seul des cinq pays les plus puissants économiquement d’Afrique à avoir une monnaie relativement solide, grâce à un ancrage sur les devises fortes que sont l’euro et le dollar.
Nigeria, 1ère puissance économique
Dans ce classement, le Nigeria, second producteur de pétrole du continent, conserve sa place de première puissance économique d’Afrique avec un PIB évalué à 448,12 milliards de dollars.
Loin derrière, suivent l’Afrique du Sud et l’Egypte, avec un PIB respectivement évalué à 351,43 et 303 milliards de dollars.
Si ces deux pays conservent leurs positions, à l’instar du Nigeria, l’Afrique du Sud continue, quant à elle, à voir son poids économique baisser. Son PIB a ainsi diminué de 65 milliards de dollars, soit une baisse de 15,62%, par rapport au pic que son activité économique a connu en 2011 (416,40 milliards de dollars).
Idem pour l’Egypte, dont le PIB a connu une baisse de 9%, se portant à 303,1 milliards de dollars, contre un pic enregistré en 2016 de l’ordre de 332,9 milliards de dollars.
La 4ème position revient à l’Algérie, dont le PIB s’est établi à 169,98 milliards de dollars en 2019, après avoir atteint un pic de 213,81 milliards de dollars en 2014, année de la flambée des cours du baril de pétrole (le baril avait atteint la barre des 140 dollars).
C’est l’Ethiopie qui occupe le 6ème rang des pays les plus développés d’Afrique avec un PIB qui s’établit à 96,11 milliards de dollars. Elle est talonnée de près par son voisin kényan qui, en l’espace d’une décennie, a vu son PIB passer de 40 milliards de dollars en 2010 à 95,5 milliards en 2019, soit une hausse de 138,75%.
Premier producteur de pétrole africain, l’Angola est en 8ème rang avec un PIB évalué à 94,63 milliards de dollars.
Enfin, le Top 10 des puissances économiques africaines est complété par le Ghana et la Tanzanie, avec des PIB respectifs de 66,98 et 63,18 milliards de dollars en 2019.
A. CHANNAJE