Le scénario était attendu. L’ambiance est surchauffée à Kinshasa. Le barrage RDC-Maroc est une cause nationale. C’est ainsi qu’il est présenté par les autorités du pays au plus haut niveau.
L’arrivée mouvementée de l'équipe nationale à l'aéroport de Kinshasa et au stade des Martyres documentée par des vidéos et des images en est une des conséquences. Elle n’est que le début. On promet l’enfer aux Marocains avant, pendant et après le match.
Protestations marocaines :
FRMF a protesté auprès de la CAF dénonçant les conditions d’accueil. Elle s’est plainte de l’absence de représentant officiel de la Fédération congolaise, du manque de fair-play et de la non-disponibilité des bus loués par la Fédération pour assurer la liaison aéroport-hôtel ‘’qui simultanément, subitement et étrangement ont eu des pannes soudaines” selon les termes utilisés par le courrier fédéral.
Le même courrier fédéral ajoute : « D’autres bus ont été loués par la FRMF en catastrophe. Pour y accéder, de l'aéroport jusqu'à ceux-ci, un grand nombre de supporters locaux empêchaient le passage…sans aucun cordon de sécurité établi. Des vidéos attestent de cette situation indigne (en annexe) ».
Réaction congolaise :
La Fédération congolaise a vite réagi. Elle a adressé à son tour un écrit à la CAF et une copie à la FIFA. Elle a bien sûr rejeté les affirmations marocaines les présentant comme «dénuées de tout fondement», détaillant ’’le programme de l'accueil réservé à l'équipe marocaine’’ et rappelant ‘’la présence à l'aéroport de Kinshasa, de son officier de sûreté et sécurité qui a facilité les choses à la presse marocaine.’.
La FECOFA a par ailleurs précisé que ”son protocole était bien présent à temps pour accueillir l'équipe marocaine. Avec notamment un bus de très bonne qualité‘.’
Quant au moyen du transport, la FECOFA s’est défendu ainsi : « Nous aurions aimé que la FRMF fasse allusion au bus de la FECOFA, qui a confortablement transporté la délégation marocaine de l'aéroport jusqu'à l'hôtel. Avec l'escorte de notre police et de ne pas laisser sous silence le bus en mauvais état loué par leurs propres délégués, Nous sommes désolés du mauvais choix opéré. Mais, cela ne peut nullement être imputé à la FECOFA. Par conséquent, nous demandons à la FRMF le retrait des propos infondés contenus dans sa correspondance pré-rappelée».
L’arrivée mouvementée de l'équipe nationale à l'aéroport de Kinshasa et au stade des Martyres documentée par des vidéos et des images en est une des conséquences. Elle n’est que le début. On promet l’enfer aux Marocains avant, pendant et après le match.
Protestations marocaines :
FRMF a protesté auprès de la CAF dénonçant les conditions d’accueil. Elle s’est plainte de l’absence de représentant officiel de la Fédération congolaise, du manque de fair-play et de la non-disponibilité des bus loués par la Fédération pour assurer la liaison aéroport-hôtel ‘’qui simultanément, subitement et étrangement ont eu des pannes soudaines” selon les termes utilisés par le courrier fédéral.
Le même courrier fédéral ajoute : « D’autres bus ont été loués par la FRMF en catastrophe. Pour y accéder, de l'aéroport jusqu'à ceux-ci, un grand nombre de supporters locaux empêchaient le passage…sans aucun cordon de sécurité établi. Des vidéos attestent de cette situation indigne (en annexe) ».
Réaction congolaise :
La Fédération congolaise a vite réagi. Elle a adressé à son tour un écrit à la CAF et une copie à la FIFA. Elle a bien sûr rejeté les affirmations marocaines les présentant comme «dénuées de tout fondement», détaillant ’’le programme de l'accueil réservé à l'équipe marocaine’’ et rappelant ‘’la présence à l'aéroport de Kinshasa, de son officier de sûreté et sécurité qui a facilité les choses à la presse marocaine.’.
La FECOFA a par ailleurs précisé que ”son protocole était bien présent à temps pour accueillir l'équipe marocaine. Avec notamment un bus de très bonne qualité‘.’
Quant au moyen du transport, la FECOFA s’est défendu ainsi : « Nous aurions aimé que la FRMF fasse allusion au bus de la FECOFA, qui a confortablement transporté la délégation marocaine de l'aéroport jusqu'à l'hôtel. Avec l'escorte de notre police et de ne pas laisser sous silence le bus en mauvais état loué par leurs propres délégués, Nous sommes désolés du mauvais choix opéré. Mais, cela ne peut nullement être imputé à la FECOFA. Par conséquent, nous demandons à la FRMF le retrait des propos infondés contenus dans sa correspondance pré-rappelée».