Les Marocains n’ont pas été rassurants. Ils se sont compliqués la tâche devant une formation pas terrible et à la portée. Une première mi-temps très insuffisante, une deuxième plus active. Mais encore une fois, Vahid a mal géré et mal coaché son match. Faire entrer Boufal à la 89e minute en est la meilleure illustration !
Une première mi-temps marocaine décevante
Dans leur stade des Martyrs de Kinshasa, les Léopards, après un début difficile lors des 10 premières minutes, ont ouvert le score, par l'intermédiaire de Yoane Wissa (13e) sur le premier et unique tir cadré de la première mi-temps se libérant du coup de la pression. Un tir enroulé, chanceux, dévié par Saiss trompant Bounou.
A part les 10 premières minutes, les Marocains ont été bousculés approximatifs, décevants, apathiques sans cohésion entre les lignes, en difficulté de récupération, de transition et sans solutions offensives. Les Congolais auraient même pu faire le break mais Yassine Bounou (28e) puis Nayef Aguerd (30e) ont sauvé la situation.
En première mi-temps, les Congolais ont logiquement gagné face à des Marocains qui devaient se remobiliser sous peine d'attaquer le match retour en ballotage très défavorable.
Une deuxième assurante mais pas rassurante
Après la pause, le Maroc s'est repris mais Maee a manqué l'opportunité de changer le score et le cours du match. Il n’a pas cadré la transformation du penalty obtenu à la 53e après une faute de main congolaise.
Les Congolais ont eu l'occasion de faire le break mais in extremis grâce à un superbe tacle, Nayef Aguerd a sauvé la situation, entraînant sur le contre l'égalisation de Tarik Tissoudali (76e). Massina a lancé une longue balle en profondeur. El Kaâbi, à la réception, a remis le ballon devant Tissoudali dont la reprise a été superbe et concluante (1-1).
Malgré leur supériorité numérique après l'exclusion de Ngonda (85e), les Marocains n’ont pas pu changer le score et gagner à Kinshasa (1-1).
Mais ils ont tout de même assuré l'essentiel et recevront les Léopards mardi à Casablanca. Ils sont en ballotage favorable pour valider leur billet pour le Qatar. Toutefois, ils devront améliorer leur prestation.
Vahid Halilhodzic devra revoir ses cartes, son système et sa gestion de l’effectif.
Une première mi-temps marocaine décevante
Dans leur stade des Martyrs de Kinshasa, les Léopards, après un début difficile lors des 10 premières minutes, ont ouvert le score, par l'intermédiaire de Yoane Wissa (13e) sur le premier et unique tir cadré de la première mi-temps se libérant du coup de la pression. Un tir enroulé, chanceux, dévié par Saiss trompant Bounou.
A part les 10 premières minutes, les Marocains ont été bousculés approximatifs, décevants, apathiques sans cohésion entre les lignes, en difficulté de récupération, de transition et sans solutions offensives. Les Congolais auraient même pu faire le break mais Yassine Bounou (28e) puis Nayef Aguerd (30e) ont sauvé la situation.
En première mi-temps, les Congolais ont logiquement gagné face à des Marocains qui devaient se remobiliser sous peine d'attaquer le match retour en ballotage très défavorable.
Une deuxième assurante mais pas rassurante
Après la pause, le Maroc s'est repris mais Maee a manqué l'opportunité de changer le score et le cours du match. Il n’a pas cadré la transformation du penalty obtenu à la 53e après une faute de main congolaise.
Les Congolais ont eu l'occasion de faire le break mais in extremis grâce à un superbe tacle, Nayef Aguerd a sauvé la situation, entraînant sur le contre l'égalisation de Tarik Tissoudali (76e). Massina a lancé une longue balle en profondeur. El Kaâbi, à la réception, a remis le ballon devant Tissoudali dont la reprise a été superbe et concluante (1-1).
Malgré leur supériorité numérique après l'exclusion de Ngonda (85e), les Marocains n’ont pas pu changer le score et gagner à Kinshasa (1-1).
Mais ils ont tout de même assuré l'essentiel et recevront les Léopards mardi à Casablanca. Ils sont en ballotage favorable pour valider leur billet pour le Qatar. Toutefois, ils devront améliorer leur prestation.
Vahid Halilhodzic devra revoir ses cartes, son système et sa gestion de l’effectif.