Les changements climatiques et la pandémie de Covid-19 ont provoqué de grosses perturbations dans l'organisation du secteur agricole à la fois en amont et en aval des filières, ce qui rend urgent l’impératif d’adopter un changement de paradigme dans les modèles de production, ont plaidé les participants à ce congrès.
Les intervenants à ce congrès scientifique, organisé par Faculté des sciences et techniques (FST) de Béni Mellal et l'association ADAR, ont également souligné la nécessité d’adopter une approche systémique et intégrée en matière de recherche en agronomie en prenant en considération toutes les composantes de l’agroécosystème ainsi que les services associés.
Ils ont insisté aussi sur la nécessité d’adopter une démarche de co-construction inclusive de l'ensemble des parties prenantes intervenant dans l’agriculture et les domaines associés, ainsi que sur l’importance de la prise en compte de la dimension économique et sociétale dans la construction de projets de recherche et d’innovations au service d’une agriculture durable et équitable.
Les participants ont souligné aussi l’urgence de renforcer les compétences humaines à travers la conception de projets de formations agricoles alliant connaissances théoriques et pratiques, qui soient ouvertes sur les innovations en matière de biotechnologie et de technologie d’information et de communication.
Ce congrès de quatre jours avait pour objectif d’apporter une contribution innovante et proactive aux défis qui se posent à l’agriculture mondiale dans un contexte de changement climatique aux impacts de plus en plus forts sur l'ensemble des filières agricoles.
Il a connu la participation de 407 chercheurs dont 26 conférenciers représentant 22 pays et 14 organisations publiques et privées. Cette première édition a fait la part belle aux jeunes étudiants doctorants et post-doctorants avec 246 communications et 135 posters, pour présenter les résultats de leurs recherches et les confronter à l’analyse experte de chercheurs confirmés dans le monde.
Cette manifestation scientifique s’est organisée sous forme de huit sessions dédiées à la présentation des nouvelles avancées en matière de R&D dans des domaines aussi variés que, la gestion des ressources en eau, la santé des sols, les modèles agricoles durables tels que l’agriculture de conservation, la caractérisation de la biodiversité cultivée et l’amélioration génétique.
Les résultats des travaux de recherches présentés lors de cette rencontre seront mis au profit du secteur agricole et des agriculteurs à travers l’Association ADAR. En tant qu’acteur de la société civile, cette association entend diffuser et vulgariser les résultats de cette édition afin de tisser des liens entre la communauté scientifique et les populations cibles, notamment les agriculteurs, les producteurs, les industriels, les coopératives.
Les intervenants à ce congrès scientifique, organisé par Faculté des sciences et techniques (FST) de Béni Mellal et l'association ADAR, ont également souligné la nécessité d’adopter une approche systémique et intégrée en matière de recherche en agronomie en prenant en considération toutes les composantes de l’agroécosystème ainsi que les services associés.
Ils ont insisté aussi sur la nécessité d’adopter une démarche de co-construction inclusive de l'ensemble des parties prenantes intervenant dans l’agriculture et les domaines associés, ainsi que sur l’importance de la prise en compte de la dimension économique et sociétale dans la construction de projets de recherche et d’innovations au service d’une agriculture durable et équitable.
Les participants ont souligné aussi l’urgence de renforcer les compétences humaines à travers la conception de projets de formations agricoles alliant connaissances théoriques et pratiques, qui soient ouvertes sur les innovations en matière de biotechnologie et de technologie d’information et de communication.
Ce congrès de quatre jours avait pour objectif d’apporter une contribution innovante et proactive aux défis qui se posent à l’agriculture mondiale dans un contexte de changement climatique aux impacts de plus en plus forts sur l'ensemble des filières agricoles.
Il a connu la participation de 407 chercheurs dont 26 conférenciers représentant 22 pays et 14 organisations publiques et privées. Cette première édition a fait la part belle aux jeunes étudiants doctorants et post-doctorants avec 246 communications et 135 posters, pour présenter les résultats de leurs recherches et les confronter à l’analyse experte de chercheurs confirmés dans le monde.
Cette manifestation scientifique s’est organisée sous forme de huit sessions dédiées à la présentation des nouvelles avancées en matière de R&D dans des domaines aussi variés que, la gestion des ressources en eau, la santé des sols, les modèles agricoles durables tels que l’agriculture de conservation, la caractérisation de la biodiversité cultivée et l’amélioration génétique.
Les résultats des travaux de recherches présentés lors de cette rencontre seront mis au profit du secteur agricole et des agriculteurs à travers l’Association ADAR. En tant qu’acteur de la société civile, cette association entend diffuser et vulgariser les résultats de cette édition afin de tisser des liens entre la communauté scientifique et les populations cibles, notamment les agriculteurs, les producteurs, les industriels, les coopératives.