Nous sommes à Aïn Tizgha, une localité verdoyante longeant la plus grande étendue sylvestre du Maroc, dépendant de la commune de Benslimane et limitrophe de Bouznika. Vivement recommandée par des pneumologues chevronnés pour son microclimat, elle arrive en tête des destinations «healthy » du Royaume. Parmi ses adeptes, il y a lieu de mentionner les personnes atteintes d’asthme qui prennent d’assaut ses maisons d’hôtes et hôtels, majoritairement construits à des fins curatives.
En effet, selon l’International Study of Asthma and Allergies in Childhood (ISAAC), 10 à 20% de la population marocaine est touchée par l’asthme.
Face à cette sonnette tout au moins alarmante, le tourisme curatif reste de mise, car il s’agit d’une échappatoire, parmi quelques autres, de cette maladie qui cause la mort de près de 461.000 personnes de par le globe. « Le suivi thérapeutique et le tourisme curatif permettent, grâce au microclimat ambiant, de réduire à minima, voire à néant le risque de crises d’asthme sévère, que ce soit chez les jeunes patients ou bien chez l’adulte », affirme El Mostafa Moubarik, médecin généraliste exerçant depuis plusieurs décennies à Benslimane.
Recommandé par la médecine régénérative et situé quelque part entre les thérapies holistiques et les activités dites de détente, le tourisme hospitalier dans les zones à microclimat attractif permet aussi de «renforcer le système immunitaire de la personne asthmatique », continue notre source. Mais qu’est-ce qu’un bon microclimat ou, alors, le microclimat tout court ? «Le microclimat n’est ni plus ni moins qu’un ensemble d’éléments environnementaux et climatiques liés à un spot géographique donné », explique notre médecin, avant de poursuivre que « la proximité de la localité rurale d’Aïn Tizgha d’une forêt connue pour son climat constant, son humidité élevée, la diversité de sa végétation et l’absence de pollution industrielle lui valent son climat sain et salutaire pour les grands et les petits, a fortiori atteints d’asthme, de bronchite virale, de rhinite allergique, de sinusites ou autres maladies ORL ».
Notons que selon la classification climatique de Köppen-Geiger, la localité possède un climat méditerranéen chaud et été sec. Sur l’année, la température moyenne y est de 17.3°C et les précipitations y sont en moyenne de mois de 530 mm.
Pour le médecin, ces éléments font d’elle un spot exempt d’allergènes et autres facteurs nocifs pour le système respiratoire, à l’instar de la proximité des usines ou toute autres sources de monoxyde de carbone et dioxyde d’azote déclenchés par les gaz d’échappement.
En effet, selon l’International Study of Asthma and Allergies in Childhood (ISAAC), 10 à 20% de la population marocaine est touchée par l’asthme.
Face à cette sonnette tout au moins alarmante, le tourisme curatif reste de mise, car il s’agit d’une échappatoire, parmi quelques autres, de cette maladie qui cause la mort de près de 461.000 personnes de par le globe. « Le suivi thérapeutique et le tourisme curatif permettent, grâce au microclimat ambiant, de réduire à minima, voire à néant le risque de crises d’asthme sévère, que ce soit chez les jeunes patients ou bien chez l’adulte », affirme El Mostafa Moubarik, médecin généraliste exerçant depuis plusieurs décennies à Benslimane.
Recommandé par la médecine régénérative et situé quelque part entre les thérapies holistiques et les activités dites de détente, le tourisme hospitalier dans les zones à microclimat attractif permet aussi de «renforcer le système immunitaire de la personne asthmatique », continue notre source. Mais qu’est-ce qu’un bon microclimat ou, alors, le microclimat tout court ? «Le microclimat n’est ni plus ni moins qu’un ensemble d’éléments environnementaux et climatiques liés à un spot géographique donné », explique notre médecin, avant de poursuivre que « la proximité de la localité rurale d’Aïn Tizgha d’une forêt connue pour son climat constant, son humidité élevée, la diversité de sa végétation et l’absence de pollution industrielle lui valent son climat sain et salutaire pour les grands et les petits, a fortiori atteints d’asthme, de bronchite virale, de rhinite allergique, de sinusites ou autres maladies ORL ».
Notons que selon la classification climatique de Köppen-Geiger, la localité possède un climat méditerranéen chaud et été sec. Sur l’année, la température moyenne y est de 17.3°C et les précipitations y sont en moyenne de mois de 530 mm.
Pour le médecin, ces éléments font d’elle un spot exempt d’allergènes et autres facteurs nocifs pour le système respiratoire, à l’instar de la proximité des usines ou toute autres sources de monoxyde de carbone et dioxyde d’azote déclenchés par les gaz d’échappement.
