"Le 20 janvier, lors de son premier jour en fonction, le président Biden a signé le décret pour le retour des États-Unis dans l'Accord de Paris. Selon les termes de l'accord, les États-Unis redeviennent officiellement partie aujourd'hui", a indiqué le communiqué signé par le Secrétaire d'Etat US, Antony Blinken.
Il a ajouté que l'Accord de Paris est un "cadre d'action mondial sans précédent" avec pour objectif de"nous aider tous à éviter un réchauffement planétaire catastrophique et à renforcer la résilience du monde entier face aux impacts du changement climatique que nous constatons déjà".
Pour Blinken, "aussi important que notre adhésion à l'Accord ait été en 2016 - et aussi important que soit notre réintégration aujourd'hui- ce que nous faisons dans les semaines, les mois et les années à venir est encore plus important", relevant que dorénavant la question du changement climatique fera partie des conversations bilatérales et multilatérales les plus importantes à tous les niveaux. "Le changement climatique et la diplomatie scientifique ne pourront plus jamais être des «ajouts» dans nos discussions sur la politique étrangère", a-t-il promis, relevant que les menaces réelles du changement climatique seront "au centre de nos priorités de politique intérieure et étrangère".
Le secrétaire d'Etat américain a cité deux rendez-vous: le Sommet international sur le climat, annoncé par Joe Biden pour le 22 avril, et la COP26 à Glasgow en novembre prochain.
Il a ajouté que l'Accord de Paris est un "cadre d'action mondial sans précédent" avec pour objectif de"nous aider tous à éviter un réchauffement planétaire catastrophique et à renforcer la résilience du monde entier face aux impacts du changement climatique que nous constatons déjà".
Pour Blinken, "aussi important que notre adhésion à l'Accord ait été en 2016 - et aussi important que soit notre réintégration aujourd'hui- ce que nous faisons dans les semaines, les mois et les années à venir est encore plus important", relevant que dorénavant la question du changement climatique fera partie des conversations bilatérales et multilatérales les plus importantes à tous les niveaux. "Le changement climatique et la diplomatie scientifique ne pourront plus jamais être des «ajouts» dans nos discussions sur la politique étrangère", a-t-il promis, relevant que les menaces réelles du changement climatique seront "au centre de nos priorités de politique intérieure et étrangère".
Le secrétaire d'Etat américain a cité deux rendez-vous: le Sommet international sur le climat, annoncé par Joe Biden pour le 22 avril, et la COP26 à Glasgow en novembre prochain.