Vendredi, Nasser Bourita, le ministre marocain des Affaires étrangères, s’est entretenu avec son homologue américain, Antony Blinken. Au cours de cette discussion, les deux responsables ont évoqué tous les dossiers mutuels et sensibles qui concernent notre pays, mais également l’ensemble de la région. Parmi ces dossiers, celui du Sahara, même s’il n’a pas été nommément cité dans les communiqués publiés à l’issue de l’entretien téléphonique par le MAE marocain et le Département d’Etat américain, était au centre de ladite discussion.
Concernant ce point névralgique, il ressort en gros que l’Amérique de Biden de laquelle les ennemis de notre cause nationale attendaient et espéraient un revirement, a décidé de maintenir telle qu’elle est la reconnaissance de la marocanité du Sahara, tout en œuvrant pour l’aboutissement à une solution politique basée sur la proposition marocaine d’une autonomie large et avancée pour nos provinces du Sud.
Nul besoin de préciser qu’à Alger, comme à Tindouf, à Pretoria ou même à Madrid qui s’est sensiblement rapproché durant les derniers mois de cet axe malfaisant, la décision de l’Administration Biden de ne pas revenir sur l’historique proclamation annoncée le 10 décembre 2020 par l’ex-Président Donald Trump, a dû résonner comme une énième claque venue s’ajouter à la batterie de gifles diplomatiques reçues durant les dernières années par les séparatistes et leurs mentors.
Le plus intéressant dans cette décision très attendue du côté marocain, c’est son timing. Intervenue au lendemain d’un entretien téléphonique entre Antony Blinken et l’Algérien Sabri Boukadoum, dont ce dernier est sorti complètement bredouille, la confirmation de la reconnaissance de la marocanité du Sahara se situe dans un contexte américain crucial : celui du bouclage des 100 premiers jours d’une Administration Biden au faîte de sa popularité et donc de sa puissance, en raison des précieux succès économiques, politiques et surtout sanitaires engrangés dans un laps de temps assez court.
C’est donc une Administration forte qui n’a nul besoin de s’encombrer de convenances diplomatiques ou autres qui vient de décider du maintien d’une décision historique en faveur du Maroc. A la bonne heure !
Concernant ce point névralgique, il ressort en gros que l’Amérique de Biden de laquelle les ennemis de notre cause nationale attendaient et espéraient un revirement, a décidé de maintenir telle qu’elle est la reconnaissance de la marocanité du Sahara, tout en œuvrant pour l’aboutissement à une solution politique basée sur la proposition marocaine d’une autonomie large et avancée pour nos provinces du Sud.
Nul besoin de préciser qu’à Alger, comme à Tindouf, à Pretoria ou même à Madrid qui s’est sensiblement rapproché durant les derniers mois de cet axe malfaisant, la décision de l’Administration Biden de ne pas revenir sur l’historique proclamation annoncée le 10 décembre 2020 par l’ex-Président Donald Trump, a dû résonner comme une énième claque venue s’ajouter à la batterie de gifles diplomatiques reçues durant les dernières années par les séparatistes et leurs mentors.
Le plus intéressant dans cette décision très attendue du côté marocain, c’est son timing. Intervenue au lendemain d’un entretien téléphonique entre Antony Blinken et l’Algérien Sabri Boukadoum, dont ce dernier est sorti complètement bredouille, la confirmation de la reconnaissance de la marocanité du Sahara se situe dans un contexte américain crucial : celui du bouclage des 100 premiers jours d’une Administration Biden au faîte de sa popularité et donc de sa puissance, en raison des précieux succès économiques, politiques et surtout sanitaires engrangés dans un laps de temps assez court.
C’est donc une Administration forte qui n’a nul besoin de s’encombrer de convenances diplomatiques ou autres qui vient de décider du maintien d’une décision historique en faveur du Maroc. A la bonne heure !
Majd EL ATOUABI