Qu’ils soient supporters du WAC, de son rival le RCA ou d’un autre club national, les Marocains, désireux de regarder la finale de la Ligue des Champions qui opposera, lundi, le Wydad de la Nation au club d’Al Ahly, se sont rendus sur le site de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) afin de se procurer un billet, avant de se heurter à des problèmes de bug dudit site et à un état de ‘’Hors service’’. Frustrés, mais toujours optimistes, certains ont dû attendre pendant des heures avant que le service ne soit rétabli et le billet –sésame- enfin obtenu.
Si cette ‘’digitalisation’’ de l’opération de vente de billets est de plus en plus adoptée récemment au Maroc, c’est principalement pour lui assurer plus de fluidité. Pour cette finale, comme pour d’autres matches, notamment le dernier Derby casablancais, cette nouvelle méthode n'a pu que transformer l'encombrement de personnes physiques devant les guichets en un autre, d'internautes cette fois-ci, devant leurs ordinateurs ou téléphones et qui n'hésitent pas à exprimer leur ras-le-bol sur les réseaux sociaux.
Certes, ce bug est principalement dû aux énormes clics effectués de la part des milliers d’internautes cherchant à acheter le billet et aller supporter le WAC. Toutefois, la qualité du serveur utilisé par les organisateurs est à remettre en question, surtout si l’on tient compte de la facilité de prévoir un tel afflux massif de spectateurs pour ce genre de matches.
Une autre question, d’ordre organisationnel cette fois-ci, se pose. En quoi ce passage vers le numérique pour réserver des sièges au stade est-il utile si les spectateurs devraient quand même se diriger vers le Complexe Benjelloun, le Stade du Père Jégo, le Complexe Etoile sportive de Casablanca et le Complexe Roches noires, afin de reconvertir les reçus obtenus du site en billets réels ? Un énorme pas en arrière !
Nul ne pourra nier les grand bénéfices de cette transition –tant désirée mais jusqu’à présent ratée- vers la digitalisation de l’opération de vente de billets de matches, sous réserve que toutes les conditions nécessaires à sa réussite soient remplies. Ceci dit, les plus chanceux qui sont parvenus à avoir leurs billets sont priés de soutenir ardemment le WAC lors de cette finale afin que la prestigieuse Coupe puisse rester à Casablanca dessinant une troisième étoile sur le maillot du Wydad.
Si cette ‘’digitalisation’’ de l’opération de vente de billets est de plus en plus adoptée récemment au Maroc, c’est principalement pour lui assurer plus de fluidité. Pour cette finale, comme pour d’autres matches, notamment le dernier Derby casablancais, cette nouvelle méthode n'a pu que transformer l'encombrement de personnes physiques devant les guichets en un autre, d'internautes cette fois-ci, devant leurs ordinateurs ou téléphones et qui n'hésitent pas à exprimer leur ras-le-bol sur les réseaux sociaux.
Certes, ce bug est principalement dû aux énormes clics effectués de la part des milliers d’internautes cherchant à acheter le billet et aller supporter le WAC. Toutefois, la qualité du serveur utilisé par les organisateurs est à remettre en question, surtout si l’on tient compte de la facilité de prévoir un tel afflux massif de spectateurs pour ce genre de matches.
Une autre question, d’ordre organisationnel cette fois-ci, se pose. En quoi ce passage vers le numérique pour réserver des sièges au stade est-il utile si les spectateurs devraient quand même se diriger vers le Complexe Benjelloun, le Stade du Père Jégo, le Complexe Etoile sportive de Casablanca et le Complexe Roches noires, afin de reconvertir les reçus obtenus du site en billets réels ? Un énorme pas en arrière !
Nul ne pourra nier les grand bénéfices de cette transition –tant désirée mais jusqu’à présent ratée- vers la digitalisation de l’opération de vente de billets de matches, sous réserve que toutes les conditions nécessaires à sa réussite soient remplies. Ceci dit, les plus chanceux qui sont parvenus à avoir leurs billets sont priés de soutenir ardemment le WAC lors de cette finale afin que la prestigieuse Coupe puisse rester à Casablanca dessinant une troisième étoile sur le maillot du Wydad.