Après tant de tapage autour de ce match, finalement c’est le fair-play qui est sorti vainqueur. Tant mieux pour le football. De même on ne peut que nous féliciter, nous les Marocains, de l’intégration de la VAR dans la gestion de notre football.
Une reprise sans le 12ème pilier
Malheusement le huis clos si est indispensable « sanitairement », il est catastrophique « spectaclement ». ! Les joueurs ne diront pas le contraire. Le public anime et donne vie à un match. Le public peut changer le cours d’un match; le public est à lui tout seul n’est plus seulement un élément d’un match; il est devenu le clou du spectacle. Malheureusement, c’est un fait auquel on doit s’habituer, la santé d’abord !
L’hommage au corps médical
Cela avait été constaté lors de la reprise du D2, il a été revu au stade El Abdi : un hommage spécial au corps médical au premier plan dans la lutte contre le Covid-19. Une belle initiative !
Un début en mode rodage
Longtemps en mode stand-by, notre football passe au mode rodage. Pour éviter les blessures et afin de ménager les subtilités du fonctionnement biologique du corps humain, une période de transition progressive est nécessaire. Les joueurs avaient reçu des consignes en ce sens. On ne peut pas leur reprocher la lenteur du rythme. D’ailleurs, la différence du rythme entre les deux mi-temps est frappante : le rythme a monté.
Aboucharouane : Une première !
Tout au long de la partie debout, on le voyait bien stressé. Etre le patron sur le banc du Raja n’est pas facile à gérer mentalement. Promu par des évènements spéciaux au grade de coach premier, il s’en est bien tiré. Aboucharouane n’oubliera pas de sa vie cette soirée !
Metoualli, le patron rajaoui !
Encore une fois Metoualli a prouvé qu’il est le patron. Au niveau du jeu, son influence est indiscutable. Il a été à l’origine de toutes les occasions des Verts. La plus importante est sa transversale vers El Hafidi dont la reprise aérienne a failli offrir au Raja son premier but à la 18ème minute. Au niveau de la gestion du groupe, il a été constamment le conseiller, le meneur, le soutien, l’animateur, le régulateur. Metoualli est l’élément maitresse du jeu rajaoui.
El Hadhoudi, la sentinelle jdidie !
Il a été pour beaucoup dans le résultat final. Défensivement il a été l’homme fort du côté du DHJ. Lui seul, il a empêché la finalisation de diverses offensives dangereuses rajaouies. Sur les balles aériennes, les duels et la récupération, il s’est montré intraitable.
Simon le malheureux !
L’attaquant tanzanien aurait pu être le héros heureux de cette soirée de reprise sur le terrain d’El Abdi, il n’en a pas voulu. Trop confiant et tirant dans l’air en force son penalty, il a raté l’occasion, son ballon étant repoussé par la transversale. Touché au mental, il a passé le reste du match à errer sur le terrain. Dommage pour le Tanzanien mais même les grands joueurs sont passés par là !
Constat final
Pour un match de reprise après un long arrêt forcé, le niveau du jeu produit est normal et même audessus du normal. Si le match était équilibré en première partie, l’avantage était rajaoui en seconde phase du jeu : Le Raja s’est montré plus entreprenant, plus offensif et plus dangereux à l’approche de la surface de réparation. Le DHJ a opté pour les contres et la défense basse de zone surtout après l’expulsion de Hadraf pour jeu dangereux. Le nul est équitable pour les deux parties.
Une reprise sans le 12ème pilier
Malheusement le huis clos si est indispensable « sanitairement », il est catastrophique « spectaclement ». ! Les joueurs ne diront pas le contraire. Le public anime et donne vie à un match. Le public peut changer le cours d’un match; le public est à lui tout seul n’est plus seulement un élément d’un match; il est devenu le clou du spectacle. Malheureusement, c’est un fait auquel on doit s’habituer, la santé d’abord !
L’hommage au corps médical
Cela avait été constaté lors de la reprise du D2, il a été revu au stade El Abdi : un hommage spécial au corps médical au premier plan dans la lutte contre le Covid-19. Une belle initiative !
Un début en mode rodage
Longtemps en mode stand-by, notre football passe au mode rodage. Pour éviter les blessures et afin de ménager les subtilités du fonctionnement biologique du corps humain, une période de transition progressive est nécessaire. Les joueurs avaient reçu des consignes en ce sens. On ne peut pas leur reprocher la lenteur du rythme. D’ailleurs, la différence du rythme entre les deux mi-temps est frappante : le rythme a monté.
Aboucharouane : Une première !
Tout au long de la partie debout, on le voyait bien stressé. Etre le patron sur le banc du Raja n’est pas facile à gérer mentalement. Promu par des évènements spéciaux au grade de coach premier, il s’en est bien tiré. Aboucharouane n’oubliera pas de sa vie cette soirée !
Metoualli, le patron rajaoui !
Encore une fois Metoualli a prouvé qu’il est le patron. Au niveau du jeu, son influence est indiscutable. Il a été à l’origine de toutes les occasions des Verts. La plus importante est sa transversale vers El Hafidi dont la reprise aérienne a failli offrir au Raja son premier but à la 18ème minute. Au niveau de la gestion du groupe, il a été constamment le conseiller, le meneur, le soutien, l’animateur, le régulateur. Metoualli est l’élément maitresse du jeu rajaoui.
El Hadhoudi, la sentinelle jdidie !
Il a été pour beaucoup dans le résultat final. Défensivement il a été l’homme fort du côté du DHJ. Lui seul, il a empêché la finalisation de diverses offensives dangereuses rajaouies. Sur les balles aériennes, les duels et la récupération, il s’est montré intraitable.
Simon le malheureux !
L’attaquant tanzanien aurait pu être le héros heureux de cette soirée de reprise sur le terrain d’El Abdi, il n’en a pas voulu. Trop confiant et tirant dans l’air en force son penalty, il a raté l’occasion, son ballon étant repoussé par la transversale. Touché au mental, il a passé le reste du match à errer sur le terrain. Dommage pour le Tanzanien mais même les grands joueurs sont passés par là !
Constat final
Pour un match de reprise après un long arrêt forcé, le niveau du jeu produit est normal et même audessus du normal. Si le match était équilibré en première partie, l’avantage était rajaoui en seconde phase du jeu : Le Raja s’est montré plus entreprenant, plus offensif et plus dangereux à l’approche de la surface de réparation. Le DHJ a opté pour les contres et la défense basse de zone surtout après l’expulsion de Hadraf pour jeu dangereux. Le nul est équitable pour les deux parties.