Dépendant de la province de Benslimane, cette station balnéaire attire de plus en plus des investisseurs, un grand nombre d’estivants ainsi que des habitants des villes avoisinantes qui optent pour cette ville afin de s’y installer définitivement. Mais, les belles réalisations de Bouznika, dont le grand stade qui sera bientôt opérationnel, sont entachées par deux phénomènes qui préoccupent ces résidants venant de Rabat, Salé, Mohammedia, Casablanca, etc. Ces derniers font désormais face à un calvaire qui est venu détruire leur envie de s’installer dans un bel endroit, sûr et calme.
Préoccupation des habitants
En effet, le premier phénomène concerne les marchands des matériaux de constructions qui, outre le fait de fermer les ruelles par leurs marchandises (briques, ciments, sables, barres de fer,…), barrent la route à la fois aux conducteurs et aux piétons. Le second problème tourne autour du fait de la présence massive des animaux. Ceux-ci se promènent en toute liberté entre les villas, les maisons et même les espaces verts, dans tous les coins et recoins de cette cité.
Un paysage commun…
Pour les habitants, c’est devenu habituel de voir des chevaux, des chèvres et des moutons qui remplacent les tondeuses à gazon, endommageant ainsi tout après leur passage. Même les voitures garées n’échappent pas aux cornes et sabots de ses ruminants. Ceci, sans parler des hordes sauvages des chiens errants qui constituent un réel danger pour les petits et les grands et leur aboiement, jour et nuit, brise le silence de cette ville paisible.
La Commune rassure
Contactés par nos soins, le président de la commission permanente pour le développement humain chargée des affaires culturelles, économiques et sociales, Mohamed Amine Abkari, nous a entretenu des efforts fournis par les autorités compétentes, et ce, dans un seul but : limiter la présence des animaux errant dans la ville. « La commune organise régulièrement des campagnes de ramassage des chiens errants », a-t-il souligné, tout en notant que « les autorités compétentes procèdent à leurs transferts dans des régions, loin de la ville, pour la protection des riverains des maladies qu’ils peuvent contracter et transmettre à l’humain ».
M Abkari a souligné que « cette semaine, nous avons ramassé quelque 24 chiens, mais nous considérons que ce problème persistera tant qu’il n’y a pas de stratégie nationale, claire, pour diminuer la taille de la population canine ».
Préoccupation des habitants
En effet, le premier phénomène concerne les marchands des matériaux de constructions qui, outre le fait de fermer les ruelles par leurs marchandises (briques, ciments, sables, barres de fer,…), barrent la route à la fois aux conducteurs et aux piétons. Le second problème tourne autour du fait de la présence massive des animaux. Ceux-ci se promènent en toute liberté entre les villas, les maisons et même les espaces verts, dans tous les coins et recoins de cette cité.
Un paysage commun…
Pour les habitants, c’est devenu habituel de voir des chevaux, des chèvres et des moutons qui remplacent les tondeuses à gazon, endommageant ainsi tout après leur passage. Même les voitures garées n’échappent pas aux cornes et sabots de ses ruminants. Ceci, sans parler des hordes sauvages des chiens errants qui constituent un réel danger pour les petits et les grands et leur aboiement, jour et nuit, brise le silence de cette ville paisible.
La Commune rassure
Contactés par nos soins, le président de la commission permanente pour le développement humain chargée des affaires culturelles, économiques et sociales, Mohamed Amine Abkari, nous a entretenu des efforts fournis par les autorités compétentes, et ce, dans un seul but : limiter la présence des animaux errant dans la ville. « La commune organise régulièrement des campagnes de ramassage des chiens errants », a-t-il souligné, tout en notant que « les autorités compétentes procèdent à leurs transferts dans des régions, loin de la ville, pour la protection des riverains des maladies qu’ils peuvent contracter et transmettre à l’humain ».
M Abkari a souligné que « cette semaine, nous avons ramassé quelque 24 chiens, mais nous considérons que ce problème persistera tant qu’il n’y a pas de stratégie nationale, claire, pour diminuer la taille de la population canine ».
Siham MDIJI
Pour désenclaver la région de Bouznika
Plusieurs projets de renforcement des infrastructures, dont des chantiers spécialisés dans les domaines de l’éclairage public et de l’aménagement des pistes dans les douars de la commune Bouznika, ont été récemment réalisés. Le premier projet d’éclairage public vise à désenclaver les douars de la zone rurale de la commune et à lutter contre la déperdition scolaire. Il bénéficiera à 26 groupements d’habitation pour un total de 501 lampes et un taux de couverture d’environ 90%. Tandis que le deuxième chantier, relatif à l’aménagement des pistes communales, consiste à lutter contre la déperdition scolaire et à faciliter le transport des produits et marchandises de et vers les douars concernés