Un manège à l'ancienne suspendu qui fait des étincelles, des dragons terrifiants, un char couleur feu qui rappelle la sécheresse : tout le faste et la créativité irrévérencieuse du carnaval de Rio était au rendez-vous dimanche, dans un sambodrome vibrant au son des percussions endiablées. De quoi en mettre plein la vue aux 70.000 spectateurs et millions de Brésiliens scotchés devant leur télé pour la première des deux nuits de défilés des écoles de samba.
Celle de Grande Rio a replongé dimanche soir le public en enfance, avec un manège tournant et suspendu à trois mètres de haut. Sur les chevaux roses, pas d'enfants, mais des cavaliers intrépides en costumes dorés qui n'ont pas intérêt à avoir le vertige, sous un ciel illuminé par les étincelles envoyées dans les airs par les chars.
Quelques mètres plus loin, des danseurs arborent des costumes en barbe à papa plus vrais que nature, jusqu'à en donner l'eau à la bouche. Plus tôt dans la soirée, Imperio Serrano avait ouvert le bal avec un immense char aux têtes de dragons saillantes.
Cette année marque le grand retour du carnaval de Rio dans toute sa splendeur. En 2021, il avait été annulé en raison de la pandémie de Covid et l'an dernier, il avait été reporté à avril, les cortèges de rue n'ayant pas été autorisés.
Celle de Grande Rio a replongé dimanche soir le public en enfance, avec un manège tournant et suspendu à trois mètres de haut. Sur les chevaux roses, pas d'enfants, mais des cavaliers intrépides en costumes dorés qui n'ont pas intérêt à avoir le vertige, sous un ciel illuminé par les étincelles envoyées dans les airs par les chars.
Quelques mètres plus loin, des danseurs arborent des costumes en barbe à papa plus vrais que nature, jusqu'à en donner l'eau à la bouche. Plus tôt dans la soirée, Imperio Serrano avait ouvert le bal avec un immense char aux têtes de dragons saillantes.
Cette année marque le grand retour du carnaval de Rio dans toute sa splendeur. En 2021, il avait été annulé en raison de la pandémie de Covid et l'an dernier, il avait été reporté à avril, les cortèges de rue n'ayant pas été autorisés.