La finale de la 34è édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), prévue dimanche (21h00) au stade olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé, entre la Côte d’Ivoire, pays hôte et le Nigeria, sera sans aucun doute l’apothéose d’un tournoi riche en enseignements et surprises.
Toute la Côte d’Ivoire retiendra ainsi une nouvelle fois son souffle lors de cette finale très attendue, mais cette fois-ci avec plus d’assurance après les dernières prestations des Eléphants.
Les deux sélections, qui s’étaient déjà affrontées en phase de poules (victoire 1-0 du Nigeria), disputeront cette finale avec de nouveaux objectifs afin de finir en beauté une CAN exceptionnelle.
Si les Ivoiriens se sont hissés jusqu’en finale alors qu’ils étaient déjà au bord du gouffre à l’issue de la troisième journée des poules, les Nigérians, eux, ont affiché leur intention dès le début du tournoi en produisant un jeu collectif, séduisant et une animation défensive qui a fait ses preuves jusqu’ici.
Les Super Eagles ont empoché leur ticket pour la finale après leur victoire aux tirs au but face à la surprenante équipe d’Afrique du Sud (4-2 t.a.b, 1-1 temps réglementaire et prolongations). De leur côté, les Eléphants ont accédé à la finale à la faveur de leur victoire, courte mais méritée, contre la RD Congo (1-0).
Les Eléphants, qui se sont métamorphosés après leur qualification miraculeuse aux matches à élimination directe, sont loin de se contenter de l’argent d’une édition organisée à domicile et dont le titre leur semble à portée de main.
En effet, la Côte d’Ivoire tentera de remporter un troisième trophée après ceux décrochés en 1992 et 2015, alors que le Nigeria court derrière un 4è titre africain après ses sacres en 1980, 1994 et 2013.
"Je suis très content, très ému, c’est comme un rêve. Quand on revient deux semaines en arrière lors de la défaite ici contre la Guinée Equatoriale, on a du mal à l’imaginer", avait déclaré le sélectionneur de la Côte d’Ivoire, Emerse Faé.
"On analysera le Nigeria, même si on les a joués au premier tour, on verra la stratégie à mettre en place pour la finale", avait-t-il assuré. En se hissant en finale, la Côte d’Ivoire a brisé le signe indien qui pourchasse les pays organisateurs depuis la CAN 2006 où l’Égypte, future vainqueur, a réussi à se qualifier pour la finale du tournoi.
Afin d’espérer décrocher le titre de cette édition, le Nigeria doit compter sur un atout de taille, à savoir le ballon d’Or africain 2023, Victor Osimhen. Très attendu avant le début du tournoi, le Nigérian n’a inscrit qu’un seul but jusqu’ici, mais sa contribution dans les exploits de son équipe est là pour témoigner en sa faveur. Dimanche, il mettra assurément son altruisme au profit de sa sélection afin de s’adjuger le titre.
Le Nigeria, qui disputera sa 8è finale en 19 participations à la CAN, mettra indubitablement tout à profit afin de ne pas avoir des regrets, comme c’était le cas lors des finales perdues en 1984, 1988, 1990 et 2000.
Cette 34è édition de la CAN a été marquée, également, par la dégringolade de grandes équipes africaines, à l’image du Ghana, du Sénégal ou encore de l’Egypte, tandis que d’autres sélections sont montées en puissance et commencent à s’imposer sur la scène africaine, à l’instar de l’Angola, la Guinée Equatoriale ou la Mauritanie. La sélection marocaine, demi-finaliste du Mondial-2022 au Qatar, a été éliminée en huitièmes de finale par l’Afrique du Sud (2-0).
En match pour la troisième place, l’Afrique du Sud affrontera la RD Congo, samedi soir (21h00) au stade Félix-Houphouët-Boigny, d’Abidjan.
Une petite finale qui consolera certes le vainqueur, mais les deux protagonistes, véritables surprises de cette édition, n’ont pas démérité et ont signé une participation qui restera dans les annales de la CAN.
Toute la Côte d’Ivoire retiendra ainsi une nouvelle fois son souffle lors de cette finale très attendue, mais cette fois-ci avec plus d’assurance après les dernières prestations des Eléphants.
Les deux sélections, qui s’étaient déjà affrontées en phase de poules (victoire 1-0 du Nigeria), disputeront cette finale avec de nouveaux objectifs afin de finir en beauté une CAN exceptionnelle.
Si les Ivoiriens se sont hissés jusqu’en finale alors qu’ils étaient déjà au bord du gouffre à l’issue de la troisième journée des poules, les Nigérians, eux, ont affiché leur intention dès le début du tournoi en produisant un jeu collectif, séduisant et une animation défensive qui a fait ses preuves jusqu’ici.
Les Super Eagles ont empoché leur ticket pour la finale après leur victoire aux tirs au but face à la surprenante équipe d’Afrique du Sud (4-2 t.a.b, 1-1 temps réglementaire et prolongations). De leur côté, les Eléphants ont accédé à la finale à la faveur de leur victoire, courte mais méritée, contre la RD Congo (1-0).
Les Eléphants, qui se sont métamorphosés après leur qualification miraculeuse aux matches à élimination directe, sont loin de se contenter de l’argent d’une édition organisée à domicile et dont le titre leur semble à portée de main.
En effet, la Côte d’Ivoire tentera de remporter un troisième trophée après ceux décrochés en 1992 et 2015, alors que le Nigeria court derrière un 4è titre africain après ses sacres en 1980, 1994 et 2013.
"Je suis très content, très ému, c’est comme un rêve. Quand on revient deux semaines en arrière lors de la défaite ici contre la Guinée Equatoriale, on a du mal à l’imaginer", avait déclaré le sélectionneur de la Côte d’Ivoire, Emerse Faé.
"On analysera le Nigeria, même si on les a joués au premier tour, on verra la stratégie à mettre en place pour la finale", avait-t-il assuré. En se hissant en finale, la Côte d’Ivoire a brisé le signe indien qui pourchasse les pays organisateurs depuis la CAN 2006 où l’Égypte, future vainqueur, a réussi à se qualifier pour la finale du tournoi.
Afin d’espérer décrocher le titre de cette édition, le Nigeria doit compter sur un atout de taille, à savoir le ballon d’Or africain 2023, Victor Osimhen. Très attendu avant le début du tournoi, le Nigérian n’a inscrit qu’un seul but jusqu’ici, mais sa contribution dans les exploits de son équipe est là pour témoigner en sa faveur. Dimanche, il mettra assurément son altruisme au profit de sa sélection afin de s’adjuger le titre.
Le Nigeria, qui disputera sa 8è finale en 19 participations à la CAN, mettra indubitablement tout à profit afin de ne pas avoir des regrets, comme c’était le cas lors des finales perdues en 1984, 1988, 1990 et 2000.
Cette 34è édition de la CAN a été marquée, également, par la dégringolade de grandes équipes africaines, à l’image du Ghana, du Sénégal ou encore de l’Egypte, tandis que d’autres sélections sont montées en puissance et commencent à s’imposer sur la scène africaine, à l’instar de l’Angola, la Guinée Equatoriale ou la Mauritanie. La sélection marocaine, demi-finaliste du Mondial-2022 au Qatar, a été éliminée en huitièmes de finale par l’Afrique du Sud (2-0).
En match pour la troisième place, l’Afrique du Sud affrontera la RD Congo, samedi soir (21h00) au stade Félix-Houphouët-Boigny, d’Abidjan.
Une petite finale qui consolera certes le vainqueur, mais les deux protagonistes, véritables surprises de cette édition, n’ont pas démérité et ont signé une participation qui restera dans les annales de la CAN.