Tous les regards seront rivés sur le commando marocain qui, il y a peu de temps, au Qatar, a étonné le monde en atteignant le cap des demi-finales de la Coupe du monde 2022. Jamais le « Team Maroc » ne s’est déplacé à une manifestation continentale avec autant de sérénité, de confiance et d’enthousiasme.
Une formation bien aguerrie, un amalgame réussi de joueurs de différentes générations, un coach maîtrisant parfaitement son sujet ; bref une unanimité sur le fait que ces Lions vont emplir l’air et l’atmosphère ivoirienne de leur rugissement et partant seront sacrés sinon finalistes. L’adversaire des Lions reste la Tanzanie ; un challenger que nous avons rencontré pas moins de quatre fois dont trois à notre avantage. Force est de reconnaître que les Etoiles du Kilimandjaro ont enregistré un score faible face aux Lions. Et les Lions de ml’Atlas de 2010, 2011, 2012 ne sont pas ceux d’aujourd’hui. Présentement les joueurs marocains sont infiniment supérieurs à leurs aînés.
Le groupe à Walid Regragui est supérieur à celui de 2018 ; quoique certains d’entre eux fassent partie de cette CAN ivoirienne. La seule différence réside dans le fait que nous disposons des meilleurs mondiaux à leurs postes. Les joueurs marocains sont enrôlés par les meilleures écuries du monde; jugez-en par vousmêmes: le PSG, Séville FC, le Bayern, Man United… Amrabat et ses coéquipiers opèrent dans des clubs huppés comme titulaires indiscutables à leurs postes.
Aujourd’hui, l’équipe du Maroc aspire à la consécration. Une consécration qui lui revient de droit. Car tout désigne comme vainqueur final d’un trophée qui nous fuit depuis le siècle dernier. Un seul titre dans l’escarcelle du Maroc. Alors qu’à chaque Coupe d’Afrique nous nous figurons parmi les prétendants. Cette CAN ivoirienne verra le demi-finaliste de la récente Coupe du monde orner son palmarès par un autre trophée africain auquel nous aspirons. Ce n’est de la fanfaronnade mais une analyse objective doublée d’envie indescriptible.
Une envie de rentrer de la Côte d’Ivoire avec le trophée tant convoité… comme il l’a fait Ahmed Faras en 1976 lorsqu’il brandit le trophée à sa descente du bus suivi de coéquipiers pétris de qualités à l’image de Acila, Baba, Chrif, Mellouk, Tazi, Zahraoui, Hazzaz…
Une formation bien aguerrie, un amalgame réussi de joueurs de différentes générations, un coach maîtrisant parfaitement son sujet ; bref une unanimité sur le fait que ces Lions vont emplir l’air et l’atmosphère ivoirienne de leur rugissement et partant seront sacrés sinon finalistes. L’adversaire des Lions reste la Tanzanie ; un challenger que nous avons rencontré pas moins de quatre fois dont trois à notre avantage. Force est de reconnaître que les Etoiles du Kilimandjaro ont enregistré un score faible face aux Lions. Et les Lions de ml’Atlas de 2010, 2011, 2012 ne sont pas ceux d’aujourd’hui. Présentement les joueurs marocains sont infiniment supérieurs à leurs aînés.
Le groupe à Walid Regragui est supérieur à celui de 2018 ; quoique certains d’entre eux fassent partie de cette CAN ivoirienne. La seule différence réside dans le fait que nous disposons des meilleurs mondiaux à leurs postes. Les joueurs marocains sont enrôlés par les meilleures écuries du monde; jugez-en par vousmêmes: le PSG, Séville FC, le Bayern, Man United… Amrabat et ses coéquipiers opèrent dans des clubs huppés comme titulaires indiscutables à leurs postes.
Aujourd’hui, l’équipe du Maroc aspire à la consécration. Une consécration qui lui revient de droit. Car tout désigne comme vainqueur final d’un trophée qui nous fuit depuis le siècle dernier. Un seul titre dans l’escarcelle du Maroc. Alors qu’à chaque Coupe d’Afrique nous nous figurons parmi les prétendants. Cette CAN ivoirienne verra le demi-finaliste de la récente Coupe du monde orner son palmarès par un autre trophée africain auquel nous aspirons. Ce n’est de la fanfaronnade mais une analyse objective doublée d’envie indescriptible.
Une envie de rentrer de la Côte d’Ivoire avec le trophée tant convoité… comme il l’a fait Ahmed Faras en 1976 lorsqu’il brandit le trophée à sa descente du bus suivi de coéquipiers pétris de qualités à l’image de Acila, Baba, Chrif, Mellouk, Tazi, Zahraoui, Hazzaz…
Pas d’excès de confiance !
Certes, le onze marocain est constellé d’étoiles de niveau mondial mais cela ne doit, en aucun cas, nous voiler la vérité. Nous partons, certes, avec la faveur des pronostics, non seulement devant la Tanzanie, mais devant tous nos adversaires dans cette CAN, à la seule condition de garder la tête froide et regarder nos adversaires avec beaucoup de respect et d’humilité.