Le sondage confirme la primauté des questions de la formation (80,78%) et de l’insertion des jeunes dans le marché du travail (76,62%), lesquelles doivent être érigées, selon les participants au sondage, en priorité par les programmes publics. Il n’en demeure pas moins que les thèmes de la culture (50%), du sport et des loisirs (48,37%) et de la santé (45,37%) occupent aussi une importance primordiale que ces programmes doivent davantage considérer, indique la même source.
Par ailleurs, pour 12,73% des participants, les programmes destinés aux jeunes devraient s’atteler à des thématiques cruciales telles que l’environnement, la recherche scientifique, la citoyenneté, l’éducation financière et l’économie sociale et solidaire. Le sondage montre aussi que 49% des sondés considèrent les programmes destinés aux jeunes comme non performants, notant que cette insuffisance en matière de communication se traduit par une opinion mitigée concernant la performance de ces programmes.
Ainsi, près de la moitié des sondés (49,11%) considère les programmes destinés aux jeunes comme non performants, alors que ces programmes demeurent moyennement performants pour 44,05% des participants et performants pour seulement 6,84%. Quant à l’aspiration à une meilleure participation des jeunes à l’élaboration des programmes, celle-ci vient en tête des revendications (69,90%), suivie de l’amélioration de l’ensemble de l’écosystème (64,35%) et de la proximité dans l’accompagnement des jeunes (63,42%), ressort- il des résultats du sondage lancé à travers la plateforme de participation citoyenne «ouchariko.ma» sur les programmes publics destinés aux jeunes.
La communication autour de l’offre des programmes et leurs résultats sont réclamés respectivement par 57,17% et 58,6% des sondés, poursuit la même source, ajoutant qu’une meilleure cohérence et visibilité des interventions publiques en faveur des jeunes suppose selon les sondés une plus grande complémentarité et cohérence entre les programmes (51,15%) ainsi qu’une évaluation à laquelle doivent participer les jeunes (57,17%).
Enfin, selon 8% des sondés, une bonne implémentation desdits programmes passe par une gestion plus transparente, une bonne gouvernance, l’implication de la société civile et la promotion des “success stories”. Le sondage montre également que 71% déclarent n’avoir jamais participé à un programme ciblant les jeunes.
L’insuffisance des efforts de communication et de sensibilisation autour des programmes publics destinés aux jeunes est confirmée par les résultats du sondage qui montrent que plus des trois quarts des participants sont peu ou pas informés sur ces programmes et sur leurs résultats, tandis qu’environ 4% seulement s’estiment être bien informés. 71.57% d’entre eux déclarent n’avoir jamais participé à un programme ciblant les jeunes.
Dans le cadre de l’élaboration de son avis, suite à la demande de la Chambre des Conseillers, sur les programmes publics destinés aux jeunes durant la période 2016-2021, le CESE a sollicité, du 29 juin au 22 juillet 2022, la contribution des citoyen(ne)s à travers sa plateforme «ouchariko. ma».
Les résultats de la consultation reflètent la perception des participant(e)s concernant les programmes publics destinés aux jeunes, notamment dans les domaines de la formation, de l’emploi, de l’entrepreneuriat et de l’intégration sociale. Le nombre des interactions avec le sujet est de 27.881 dont 432 réponses au questionnaire.
Par ailleurs, pour 12,73% des participants, les programmes destinés aux jeunes devraient s’atteler à des thématiques cruciales telles que l’environnement, la recherche scientifique, la citoyenneté, l’éducation financière et l’économie sociale et solidaire. Le sondage montre aussi que 49% des sondés considèrent les programmes destinés aux jeunes comme non performants, notant que cette insuffisance en matière de communication se traduit par une opinion mitigée concernant la performance de ces programmes.
Ainsi, près de la moitié des sondés (49,11%) considère les programmes destinés aux jeunes comme non performants, alors que ces programmes demeurent moyennement performants pour 44,05% des participants et performants pour seulement 6,84%. Quant à l’aspiration à une meilleure participation des jeunes à l’élaboration des programmes, celle-ci vient en tête des revendications (69,90%), suivie de l’amélioration de l’ensemble de l’écosystème (64,35%) et de la proximité dans l’accompagnement des jeunes (63,42%), ressort- il des résultats du sondage lancé à travers la plateforme de participation citoyenne «ouchariko.ma» sur les programmes publics destinés aux jeunes.
La communication autour de l’offre des programmes et leurs résultats sont réclamés respectivement par 57,17% et 58,6% des sondés, poursuit la même source, ajoutant qu’une meilleure cohérence et visibilité des interventions publiques en faveur des jeunes suppose selon les sondés une plus grande complémentarité et cohérence entre les programmes (51,15%) ainsi qu’une évaluation à laquelle doivent participer les jeunes (57,17%).
Enfin, selon 8% des sondés, une bonne implémentation desdits programmes passe par une gestion plus transparente, une bonne gouvernance, l’implication de la société civile et la promotion des “success stories”. Le sondage montre également que 71% déclarent n’avoir jamais participé à un programme ciblant les jeunes.
L’insuffisance des efforts de communication et de sensibilisation autour des programmes publics destinés aux jeunes est confirmée par les résultats du sondage qui montrent que plus des trois quarts des participants sont peu ou pas informés sur ces programmes et sur leurs résultats, tandis qu’environ 4% seulement s’estiment être bien informés. 71.57% d’entre eux déclarent n’avoir jamais participé à un programme ciblant les jeunes.
Dans le cadre de l’élaboration de son avis, suite à la demande de la Chambre des Conseillers, sur les programmes publics destinés aux jeunes durant la période 2016-2021, le CESE a sollicité, du 29 juin au 22 juillet 2022, la contribution des citoyen(ne)s à travers sa plateforme «ouchariko. ma».
Les résultats de la consultation reflètent la perception des participant(e)s concernant les programmes publics destinés aux jeunes, notamment dans les domaines de la formation, de l’emploi, de l’entrepreneuriat et de l’intégration sociale. Le nombre des interactions avec le sujet est de 27.881 dont 432 réponses au questionnaire.