Casablanca Finance City (CFC) a annoncé, il y a peu de temps, la publication de son 6ème rapport sur la série « CFC Africa Insights », « Rising to the Digital Challenge in Africa », en partenariat avec Boston Consulting Group (BCG), membre de la communauté CFC depuis 2012 et leader du conseil en stratégie d’entreprise.
Ce rapport, qui a été dévoilé lors d’un webinaire organisé par CFC et BCG, compte tenu de la situation sanitaire, a mis l’accent sur les possibilités à saisir en Afrique. Une occasion de présenter les défis et opportunités de la digitalisation comme conséquence de la pandémie du Coronavirus sur le continent africain. Plusieurs intervenants venant de plusieurs sociétés qui font partie de la communauté CFC, comme BCG, SAP, Orange, Kigali Innovation City… ont participé à ce webinaire.
L’Afrique face au reste du monde
S’il fallait le comparer à d’autres régions du monde, le continent africain reste en retard en matière d’adoption et de maturité digitales.
Plusieurs explications à cela : un manque de développement sur l’infrastructure de connectivité, une confiance faible envers les fournisseurs de services numériques ainsi qu’une déficience en talents digitaux.
Cependant, la volonté naissante de rattraper le reste du monde, l’adoption du digital et la construction des infrastructures qui sont plus rapides en Afrique que dans d’autres régions sont des raisons pour rester optimiste. Ces raisons offrent l’opportunité de passer outre certaines technologies.
La crise sanitaire du Covid-19 a permis l’accélération du passage au digital chez les consommateurs, en plus d’une transformation digitale des entreprises.
Comment relever le défi du digital en Afrique ?
Les entreprises et gouvernements doivent savoir se coordonner, pour cela, il faudrait créer des opportunités d’affaires à grande échelle. Une importante taille de marché est incontournable afin de pouvoir rendre les modèles économiques du numérique viables et durables sur un continent qui possède plusieurs frontières internationales et est moins peuplé que d’autres régions. C’est aux entreprises et gouvernements d’alimenter et attirer les talents digitaux, ce qui demande plusieurs initiatives de leur part. Ces initiatives doivent absolument être conçues afin de pouvoir correspondre aux priorités des collaborateurs.
C’est un écosystème ainsi que des pôles d’innovation qui doivent être construits par les entreprises au final, ce qui encourage toutes les parties concernées : gouvernements, entreprises, investisseurs, incubateurs, universités et opérateurs privés, d’œuvrer et libérer le potentiel des services digitaux, tout en améliorant l’accès aux nombreuses options de financement ainsi qu’à la réglementation et la technologie. Le rapport montre que la digitalisation arrive plus rapidement en Afrique que n’importe où dans le monde, ce qui crée des possibilités pour les consommateurs tout comme pour les entreprises.
Ce rapport, qui a été dévoilé lors d’un webinaire organisé par CFC et BCG, compte tenu de la situation sanitaire, a mis l’accent sur les possibilités à saisir en Afrique. Une occasion de présenter les défis et opportunités de la digitalisation comme conséquence de la pandémie du Coronavirus sur le continent africain. Plusieurs intervenants venant de plusieurs sociétés qui font partie de la communauté CFC, comme BCG, SAP, Orange, Kigali Innovation City… ont participé à ce webinaire.
L’Afrique face au reste du monde
S’il fallait le comparer à d’autres régions du monde, le continent africain reste en retard en matière d’adoption et de maturité digitales.
Plusieurs explications à cela : un manque de développement sur l’infrastructure de connectivité, une confiance faible envers les fournisseurs de services numériques ainsi qu’une déficience en talents digitaux.
Cependant, la volonté naissante de rattraper le reste du monde, l’adoption du digital et la construction des infrastructures qui sont plus rapides en Afrique que dans d’autres régions sont des raisons pour rester optimiste. Ces raisons offrent l’opportunité de passer outre certaines technologies.
La crise sanitaire du Covid-19 a permis l’accélération du passage au digital chez les consommateurs, en plus d’une transformation digitale des entreprises.
Comment relever le défi du digital en Afrique ?
Les entreprises et gouvernements doivent savoir se coordonner, pour cela, il faudrait créer des opportunités d’affaires à grande échelle. Une importante taille de marché est incontournable afin de pouvoir rendre les modèles économiques du numérique viables et durables sur un continent qui possède plusieurs frontières internationales et est moins peuplé que d’autres régions. C’est aux entreprises et gouvernements d’alimenter et attirer les talents digitaux, ce qui demande plusieurs initiatives de leur part. Ces initiatives doivent absolument être conçues afin de pouvoir correspondre aux priorités des collaborateurs.
C’est un écosystème ainsi que des pôles d’innovation qui doivent être construits par les entreprises au final, ce qui encourage toutes les parties concernées : gouvernements, entreprises, investisseurs, incubateurs, universités et opérateurs privés, d’œuvrer et libérer le potentiel des services digitaux, tout en améliorant l’accès aux nombreuses options de financement ainsi qu’à la réglementation et la technologie. Le rapport montre que la digitalisation arrive plus rapidement en Afrique que n’importe où dans le monde, ce qui crée des possibilités pour les consommateurs tout comme pour les entreprises.
Soukeina Guedira