En dépit des efforts fournis par les chercheurs universitaires, le Royaume a encore un long chemin à parcourir pour développer la recherche scientifique, facteur de développement de la plupart des pays. Dans ce sillage, l’UM5 et CHUIS ont signé une convention de partenariat cadre, visant à instituer un partenariat stratégique entre les deux parties, axé notamment sur la recherche médicale.
Paraphée par le président de l’Université Mohammed V, Mohammed Rhachi, et le directeur du CHUIS, Abdelkader Errougani, cette convention est une collaboration pour la réalisation des activités pédagogiques et de formation, d’encadrement, de recherche scientifique et de transfert de technologie, ainsi que l’organisation de toute action ou événement.
L’accord scellé entre les deux parties définira le cadre général de la collaboration et les détails relatifs à la mise en oeuvre, indique un communiqué de l’UM5R, précisant qu’il portera en particulier sur la politique de recherche médicale de ladite université, ainsi que les modalités de son déploiement au sein du CHUIS et de sa participation à l’enseignement universitaire et post-universitaire.
Coopération dans plusieurs domaines
Les parties signataires s’engagent à coopérer dans plusieurs domaines, notamment la mise en place des actions de promotion de la santé, de prévention et de la sécurité sanitaire en faveur des étudiants et personnel de l’Université Mohammed V, la mise en place d’un dispositif garantissant l’accueil, la prise en charge et le suivi des patients relevant de cet établissement, en particulier ceux représentant des cas d’urgence, précise-t-on.
Ainsi, il s’agit également de l’accueil et l’encadrement des étudiants et des chercheurs, notamment dans le cadre de la réalisation de leurs travaux de fin d’étude, de leur stage, ou de leur thèse, de la réalisation conjointe d’études et de recherches scientifiques et cliniques et de l’organisation, dans des domaines scientifiques spécifiques, de sessions de formation destinées aux médecins et personnel médical du CHUIS, conclut le communiqué.
Il convient de noter que le Royaume consacre moins de 1% du PIB aux dépenses de la recherche et développement (R&D). D’où les nombreuses lacunes auxquelles font face les chercheurs qui peinent à faire de la recherche dans des conditions optimales.
« Le développement des sources de financement de la recherche scientifique et de l’innovation passe par l’introduction d’un package d’incitations à la recherche et développement, destiné à encourager les entreprises à investir et réaliser des programmes de R&D », a précisé la directrice du Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), Jamila El Alami.
Paraphée par le président de l’Université Mohammed V, Mohammed Rhachi, et le directeur du CHUIS, Abdelkader Errougani, cette convention est une collaboration pour la réalisation des activités pédagogiques et de formation, d’encadrement, de recherche scientifique et de transfert de technologie, ainsi que l’organisation de toute action ou événement.
L’accord scellé entre les deux parties définira le cadre général de la collaboration et les détails relatifs à la mise en oeuvre, indique un communiqué de l’UM5R, précisant qu’il portera en particulier sur la politique de recherche médicale de ladite université, ainsi que les modalités de son déploiement au sein du CHUIS et de sa participation à l’enseignement universitaire et post-universitaire.
Coopération dans plusieurs domaines
Les parties signataires s’engagent à coopérer dans plusieurs domaines, notamment la mise en place des actions de promotion de la santé, de prévention et de la sécurité sanitaire en faveur des étudiants et personnel de l’Université Mohammed V, la mise en place d’un dispositif garantissant l’accueil, la prise en charge et le suivi des patients relevant de cet établissement, en particulier ceux représentant des cas d’urgence, précise-t-on.
Ainsi, il s’agit également de l’accueil et l’encadrement des étudiants et des chercheurs, notamment dans le cadre de la réalisation de leurs travaux de fin d’étude, de leur stage, ou de leur thèse, de la réalisation conjointe d’études et de recherches scientifiques et cliniques et de l’organisation, dans des domaines scientifiques spécifiques, de sessions de formation destinées aux médecins et personnel médical du CHUIS, conclut le communiqué.
Il convient de noter que le Royaume consacre moins de 1% du PIB aux dépenses de la recherche et développement (R&D). D’où les nombreuses lacunes auxquelles font face les chercheurs qui peinent à faire de la recherche dans des conditions optimales.
« Le développement des sources de financement de la recherche scientifique et de l’innovation passe par l’introduction d’un package d’incitations à la recherche et développement, destiné à encourager les entreprises à investir et réaliser des programmes de R&D », a précisé la directrice du Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), Jamila El Alami.
UM5 : 1er rang au classement de «Clarivate Analytics»
Selon le département de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, L’organisation Clarivate Analytics, spécialisée dans l’étude et l’analyse d’indicateurs de la recherche scientifique et académique, a publié un rapport relatif à la production scientifique des universités et instituts de recherche scientifique marocains durant la période 2017-2020. L’Université Mohammed V de Rabat a été classée au premier rang en termes de nombre total de publications scientifiques indexées au Maroc, avec un total de 5.936 publications scientifiques. Elle est, en effet, suivie de l’Université Hassan II de Casablanca et de l’Université Cadi Ayyad de Marrakech avec 3.000 publications pour les deux établissements.