Malgré cette baisse, l'Égypte reste le deuxième bénéficiaire d'IED en Afrique.
Les IDE dans les pays africains ont atteint un record de 83 milliards de dollars en 2021, ajoute la même source.
C'est plus du double du montant déclaré en 2020, lorsque la pandémie de COVID-19 a lourdement pesé sur les flux d'investissement vers le continent.
« Malgré la forte croissance, les flux d'investissement vers l'Afrique ne représentaient que 5,2 % des IDE mondiaux, contre 4,1 % en 2020 », fait remarquer la CNUCED.
Les plus grands détenteurs d'actifs étrangers en Afrique sont restés européens, menés par des investisseurs au Royaume-Uni (65 milliards de dollars) et en France (60 milliards de dollars).
Malgré la tendance globale positive des IDE sur le continent, la CNUCED estime que le nombre total d'annonces de nouveaux projets est resté faible à 39 milliards de dollars, ne montrant qu'une reprise modeste par rapport aux 32 milliards de dollars enregistrés en 2020 - et bien en deçà des 77 milliards de dollars enregistrés en 2019.
Parallèlement, le nombre de projets internationaux dans les énergies renouvelables en Afrique est passé à 71, soit près du double des 36 enregistrés en 2011. Il s'agit notamment d'un projet de 20 milliards de dollars visant à fournir de l'énergie solaire et éolienne du Maroc au Royaume-Uni via 3 800 km de câbles sous-marins.
Les IDE dans les pays africains ont atteint un record de 83 milliards de dollars en 2021, ajoute la même source.
C'est plus du double du montant déclaré en 2020, lorsque la pandémie de COVID-19 a lourdement pesé sur les flux d'investissement vers le continent.
« Malgré la forte croissance, les flux d'investissement vers l'Afrique ne représentaient que 5,2 % des IDE mondiaux, contre 4,1 % en 2020 », fait remarquer la CNUCED.
Les plus grands détenteurs d'actifs étrangers en Afrique sont restés européens, menés par des investisseurs au Royaume-Uni (65 milliards de dollars) et en France (60 milliards de dollars).
Malgré la tendance globale positive des IDE sur le continent, la CNUCED estime que le nombre total d'annonces de nouveaux projets est resté faible à 39 milliards de dollars, ne montrant qu'une reprise modeste par rapport aux 32 milliards de dollars enregistrés en 2020 - et bien en deçà des 77 milliards de dollars enregistrés en 2019.
Parallèlement, le nombre de projets internationaux dans les énergies renouvelables en Afrique est passé à 71, soit près du double des 36 enregistrés en 2011. Il s'agit notamment d'un projet de 20 milliards de dollars visant à fournir de l'énergie solaire et éolienne du Maroc au Royaume-Uni via 3 800 km de câbles sous-marins.
A. C.