A l’occasion d’une conférence virtuelle de haut niveau organisée mardi par le Maroc à l’ONU sur «Le rôle des leaders religieux pour relever les défis de la pandémie de COVID-19», le Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, a déclaré que « nous sommes tous vulnérables - et cette vulnérabilité partagée révèle notre humanité commune. Elle met à nu notre responsabilité de promouvoir la solidarité comme fondement de notre réponse - une solidarité fondée sur les droits de l'homme et la dignité humaine de tous ».
Ainsi, il a présenté quatre domaines dans lesquels ces leaders peuvent jouer un rôle central pour proposer des solutions permettant non seulement de lutter contre la pandémie, mais aussi de mieux récupérer et se relever de cette crise :
Promouvoir les discours non-violents
Face à la poursuite des conflits violents dans de nombreux endroits dans le monde - ainsi qu'une montée de l'ethno-nationalisme, de la stigmatisation et des discours de haine ciblant les communautés vulnérables et exacerbant les souffrances, les chefs religieux sont appelés à contester activement les messages inexacts et nuisibles, et d'encourager toutes les communautés à promouvoir la non-violence et à rejeter la xénophobie, le racisme et toutes les formes d'intolérance.
Condamner la violence contre les femmes
Le monde connait une augmentation alarmante de la violence contre les femmes et les filles à mesure que la pandémie se propage, en violation des principes communs à toutes les confessions. Le Secrétaire général de l’ONU appelle les chefs religieux à condamner catégoriquement de tels actes et à soutenir les principes communs de partenariat, d'égalité, de respect et de compassion. Le partenariat signifie également assurer aux femmes une voix et une représentation égales dans tous les domaines.
Combattre les fake news
Alors que le monde lutte contre la propagation de la désinformation et de la désinformation, les leaders religieux sont invités à tirer parti de leurs réseaux et de leurs capacités de communication pour aider les gouvernements à promouvoir les mesures de santé publique recommandées par l'OMS - de l'éloignement physique à une bonne hygiène - et pour garantir que les activités confessionnelles, y compris le culte, les cérémonies religieuses et les pratiques funéraires, soient conformes à ces mesures.
Veiller à la continuité de l’éducation
En cette période où la grande majorité des étudiants dans le monde ne sont pas scolarisés, Antonio Guterres exhorte les chefs religieux à soutenir la continuité de l'éducation, en travaillant avec les prestataires de services éducatifs pour trouver des solutions afin que l'apprentissage ne s'arrête jamais.
Ainsi, il a présenté quatre domaines dans lesquels ces leaders peuvent jouer un rôle central pour proposer des solutions permettant non seulement de lutter contre la pandémie, mais aussi de mieux récupérer et se relever de cette crise :
Promouvoir les discours non-violents
Face à la poursuite des conflits violents dans de nombreux endroits dans le monde - ainsi qu'une montée de l'ethno-nationalisme, de la stigmatisation et des discours de haine ciblant les communautés vulnérables et exacerbant les souffrances, les chefs religieux sont appelés à contester activement les messages inexacts et nuisibles, et d'encourager toutes les communautés à promouvoir la non-violence et à rejeter la xénophobie, le racisme et toutes les formes d'intolérance.
Condamner la violence contre les femmes
Le monde connait une augmentation alarmante de la violence contre les femmes et les filles à mesure que la pandémie se propage, en violation des principes communs à toutes les confessions. Le Secrétaire général de l’ONU appelle les chefs religieux à condamner catégoriquement de tels actes et à soutenir les principes communs de partenariat, d'égalité, de respect et de compassion. Le partenariat signifie également assurer aux femmes une voix et une représentation égales dans tous les domaines.
Combattre les fake news
Alors que le monde lutte contre la propagation de la désinformation et de la désinformation, les leaders religieux sont invités à tirer parti de leurs réseaux et de leurs capacités de communication pour aider les gouvernements à promouvoir les mesures de santé publique recommandées par l'OMS - de l'éloignement physique à une bonne hygiène - et pour garantir que les activités confessionnelles, y compris le culte, les cérémonies religieuses et les pratiques funéraires, soient conformes à ces mesures.
Veiller à la continuité de l’éducation
En cette période où la grande majorité des étudiants dans le monde ne sont pas scolarisés, Antonio Guterres exhorte les chefs religieux à soutenir la continuité de l'éducation, en travaillant avec les prestataires de services éducatifs pour trouver des solutions afin que l'apprentissage ne s'arrête jamais.