A fin mars 2020 et en comparaison avec la même période de 2019, l’exécution de la loi de finances, sur la base des recettes encaissées et des dépenses émises, laisse apparaitre une augmentation de 8,1% sur les recettes ordinaires brutes, qui se sont établies à 68,5 MMDH contre 63,4 MMDH à fin mars 2019,. Cette évolution s’explique par l’augmentation des impôts directs de 1%, des droits de douane de 16,5%, des impôts indirects de 6,7%, des droits d’enregistrement et de timbre de 1,3% et des recettes non fiscales de 77,4%, souligne la Trésorerie.
Les recettes nettes de la fiscalité domestique ont également enregistré une hausse de 1,4%, compte tenu des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux qui ont été de 3.370 MDH à fin mars 2020 contre 2.726 MDH un an auparavant.
Au niveau des dépenses ordinaires, une croissance de 14,9% a été enregistrée, résultant de la hausse des dépenses de biens et services de 17,1% due à l’accroissement des dépenses de personnel (DDP) de 12,2% et des autres biens et services de 26,1%, de la hausse des charges en intérêts de la dette de 9,1%, des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux de 24,3% et des dépenses d’investissement de 5,7%, conjuguée à la baisse des émissions de la compensation de 13,5%. Par ailleurs, les dépenses émises au titre du budget général ont été de 102,7 MMDH à fin mars 2020, en hausse de 17,7% par rapport à leur niveau à fin mars 2019, en raison de l’augmentation de 15,5% des dépenses de fonctionnement, de 5,7% des dépenses d’investissement et de 46,9% des charges de la dette budgétisée.
En outre, la TGR fait savoir que la situation des charges et ressources du Trésor arrêtée à fin mars 2020 laisse apparaitre une hausse des recettes ordinaires brutes de 8,1% et des dépenses ordinaires émises de 14,9% dégageant ainsi un solde ordinaire positif de 1,1 MMDH. Compte tenu d’un besoin de financement de 249 MDH et d’un flux net négatif du financement extérieur de 1,4 MMDH, le Trésor a eu recours au financement intérieur pour un montant de 1,7 MMDH.
Les recettes nettes de la fiscalité domestique ont également enregistré une hausse de 1,4%, compte tenu des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux qui ont été de 3.370 MDH à fin mars 2020 contre 2.726 MDH un an auparavant.
Au niveau des dépenses ordinaires, une croissance de 14,9% a été enregistrée, résultant de la hausse des dépenses de biens et services de 17,1% due à l’accroissement des dépenses de personnel (DDP) de 12,2% et des autres biens et services de 26,1%, de la hausse des charges en intérêts de la dette de 9,1%, des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux de 24,3% et des dépenses d’investissement de 5,7%, conjuguée à la baisse des émissions de la compensation de 13,5%. Par ailleurs, les dépenses émises au titre du budget général ont été de 102,7 MMDH à fin mars 2020, en hausse de 17,7% par rapport à leur niveau à fin mars 2019, en raison de l’augmentation de 15,5% des dépenses de fonctionnement, de 5,7% des dépenses d’investissement et de 46,9% des charges de la dette budgétisée.
En outre, la TGR fait savoir que la situation des charges et ressources du Trésor arrêtée à fin mars 2020 laisse apparaitre une hausse des recettes ordinaires brutes de 8,1% et des dépenses ordinaires émises de 14,9% dégageant ainsi un solde ordinaire positif de 1,1 MMDH. Compte tenu d’un besoin de financement de 249 MDH et d’un flux net négatif du financement extérieur de 1,4 MMDH, le Trésor a eu recours au financement intérieur pour un montant de 1,7 MMDH.