Le volcan Cumbre Vieja continue de déverser sa lave sur l’île de La Palma, dans l’archipel espagnol des Canaries.
Ce volcan, en sommeil depuis 1971, s’est réveillé dimanche, obligeant plus de 6000 personnes à évacuer les lieux. Les coulées de lave du volcan Cumbre Vieja continuaient de tout emporter sur leur passage mardi en descendant vers la côte de l’île espagnole de La Palma, où leur arrivée est redoutée en raison de la possible émission de gaz toxiques.
Cette éruption, la première depuis 1971 sur cette île peuplée de près de 85.000 habitants, a fait depuis dimanche 6000 déplacés après l’évacuation dans la nuit de 500 personnes supplémentaires. La lave « descend inexorablement vers la mer et on ne peut rien faire face à elle », a averti le président de la région des Canaries, Angel Victor Torres.
« Les nuages engendrés par l’interaction eau de mer et lave sont acides » et « peuvent être dangereux si on est trop près », explique à l’AFP Patrick Allard, directeur de recherche CNRS à l’Institut de Géophysique du Globe de Paris.
Ce volcan, en sommeil depuis 1971, s’est réveillé dimanche, obligeant plus de 6000 personnes à évacuer les lieux. Les coulées de lave du volcan Cumbre Vieja continuaient de tout emporter sur leur passage mardi en descendant vers la côte de l’île espagnole de La Palma, où leur arrivée est redoutée en raison de la possible émission de gaz toxiques.
Cette éruption, la première depuis 1971 sur cette île peuplée de près de 85.000 habitants, a fait depuis dimanche 6000 déplacés après l’évacuation dans la nuit de 500 personnes supplémentaires. La lave « descend inexorablement vers la mer et on ne peut rien faire face à elle », a averti le président de la région des Canaries, Angel Victor Torres.
« Les nuages engendrés par l’interaction eau de mer et lave sont acides » et « peuvent être dangereux si on est trop près », explique à l’AFP Patrick Allard, directeur de recherche CNRS à l’Institut de Géophysique du Globe de Paris.