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Les quatre conventions-cadres signées par le Parti de la Justice et du Développement (PJD), quand il était aux commandes du Conseil préfectoral de Casablanca (2015-2021), seront annulées par l’actuel conseil présidé par Said Naciri du Parti authenticité et modernité (PAM).
Ces conventions concernant l’enseignement, la santé, l’hygiène et la précarité ont été examinées par les commissions permanentes du Conseil, pour être présentées au bureau dirigeant qui les soumettra au Conseil pour annulation.
Outre ces points liés aux conventions qui seront annulées, les commissions ont validé le projet d’un programme d’urgence pour l’année 2022 avec une enveloppe budgétaire de l’ordre de 373 millions de dirhams, comme le rapporte le quotidien Assabah dans son édition du mardi 18 janvier.
La première convention qui sera annulée est relative au domaine de l’enseignement préscolaire. Elle visait à dépenser 40 millions de dirhams pour la construction de 20 centres d’éducation préscolaire. En vertu de cette convention signée avec la société Idmaj Sakan, un budget de 35 millions de dirhams a été dédié aux travaux, alors que 5 millions de dirhams ont été consacrés aux équipements.
De même, l’ancien Conseil préfectoral s’était engagé à verser 9,8 millions de dirhams par an à l’entreprise délégataire. Pour le secteur de la santé, le Conseil présidé par Said Naciri compte annuler la convention relative au renforcement des infrastructures sanitaires de l’hôpital préfectoral Ben M’Sik pour une enveloppe budgétaire de 13,3 millions de dirhams.
Passant au domaine social, le projet annulé porte sur la construction d’un centre d’accueil des personnes en situation de handicap dans la préfecture d’El Fida-Mers Sultan pour un budget de 12 millions de dirhams. En annulant ces conventions signées par l’ancien Conseil préfectoral, l’actuel bureau aux commandes du Conseil entend récupérer les budgets qui étaient alloués à ces projets, pour financer son programme d’urgence pour l’année 2022.
Mais, fait remarquer le quotidien, toutes ces annulations ne rapporteraient qu’environ 50 millions de dirhams, ce qui ne représente pas grand-chose comparé à l’enveloppe de 380 millions de dirhams que nécessite la réalisation du programme d’urgence 2022.
Ces conventions concernant l’enseignement, la santé, l’hygiène et la précarité ont été examinées par les commissions permanentes du Conseil, pour être présentées au bureau dirigeant qui les soumettra au Conseil pour annulation.
Outre ces points liés aux conventions qui seront annulées, les commissions ont validé le projet d’un programme d’urgence pour l’année 2022 avec une enveloppe budgétaire de l’ordre de 373 millions de dirhams, comme le rapporte le quotidien Assabah dans son édition du mardi 18 janvier.
La première convention qui sera annulée est relative au domaine de l’enseignement préscolaire. Elle visait à dépenser 40 millions de dirhams pour la construction de 20 centres d’éducation préscolaire. En vertu de cette convention signée avec la société Idmaj Sakan, un budget de 35 millions de dirhams a été dédié aux travaux, alors que 5 millions de dirhams ont été consacrés aux équipements.
De même, l’ancien Conseil préfectoral s’était engagé à verser 9,8 millions de dirhams par an à l’entreprise délégataire. Pour le secteur de la santé, le Conseil présidé par Said Naciri compte annuler la convention relative au renforcement des infrastructures sanitaires de l’hôpital préfectoral Ben M’Sik pour une enveloppe budgétaire de 13,3 millions de dirhams.
Passant au domaine social, le projet annulé porte sur la construction d’un centre d’accueil des personnes en situation de handicap dans la préfecture d’El Fida-Mers Sultan pour un budget de 12 millions de dirhams. En annulant ces conventions signées par l’ancien Conseil préfectoral, l’actuel bureau aux commandes du Conseil entend récupérer les budgets qui étaient alloués à ces projets, pour financer son programme d’urgence pour l’année 2022.
Mais, fait remarquer le quotidien, toutes ces annulations ne rapporteraient qu’environ 50 millions de dirhams, ce qui ne représente pas grand-chose comparé à l’enveloppe de 380 millions de dirhams que nécessite la réalisation du programme d’urgence 2022.
Un Conseil aux prérogatives sociales
Le Conseil préfectoral a pour principales attributions, l’élaboration et la mise en oeuvre des programmes visant à réduire la pauvreté et la précarité dans la métropole. Et ce via le diagnostic des besoins dans les domaines de la santé, de l’habitat, de l’enseignement et de l’hygiène.
Le Conseil exerce également des compétences qui lui ont été transférées par l’Etat dans le domaine du développement social, toujours dans les secteurs cités plus haut, en plus de la culture et du sport.
Le Conseil peut également apporter sa contribution à la réalisation et à l’entretien des routes provinciales en collaboration avec les autorités et départements compétents au niveau national. L’instance a également été le théâtre de la débâcle électoral du PJD qui n’a plus aucun élu en son sein.