Pour sa nouvelle saison culturelle 2022-2023 sous le thème « Art et territoire », l’Institut français décide de sortir de son cadre en quête du public du cinéma dans l’espace public. En effet, il a proposé aux cinéphiles de prolonger l’été et de profiter de la douceur des nuits sous la lune de la Capitale économique du Maroc avec trois projections nationales et internationales sans réservation et en entrée libre en partenariat avec le Park Casa Anfa.
La sélection pour ces trois soirées est éclectique et pointue : le 15 septembre, l’Institut a proposé le film « Les 3M, Histoire inachevée », réalisé par Saad Chraïbi, et d’autres films français, notamment « Peau d’âne », « Le Grand méchant Renard » et d’autres contes qui ont été sous titrés en dialecte marocain « darija ». Le 15 septembre à 20h30, les amoureux du Cinéma se sont réunis en fin de semaine pour entamer leur soirée de cinéma avec le film « Les 3M, Histoire inachevée ».
Avant d’entamer la soirée ciné, les staffs techniques galopent en mettant les dernières retouches avant le coup d’envoi, tout est prêt pour une projection open air. Les cliques d’amis et les familles se mettent carrément sur l’herbe verte ou se servent des chaises du Park pour bien profiter de la soirée et une atmosphère agréable envahit l’endroit. L’ambiance ne manque pas ! Parfois des rires, des larmes et des applaudissements, le public n’a pas cessé de faire part de son plaisir.
Selon le directeur de l’Institut français, Gaëtan Pellan, 600 personnes ont assisté à la première soirée de l’événement. En réaction à la première soirée ciné ouvert, l’avis des cinéphiles présents sur place s’annonce positif, mais pour eux, il est important de généraliser de telles activités dans le reste des villes du Royaume. « Nous sommes heureux d’assister à de telles soirées à Casablanca, ça nous a permis de nous soulager du stress quotidien », a indiqué une jeune fille en fin de soirée, ajoutant « en revanche, nous avons besoin de tels événements dans les petites villes, presque vides en activités culturelles ».
Pour sa part, un jeune a indiqué qu’« au-delà du plaisir d’assister à cet événement, le film projeté en soirée d’ouverture est en lui une opportunité pour penser à certaines questions sociales et sociétales, et aussi une occasion pour revenir à notre histoire ».
En s’exprimant sur le choix du film d’ouverture, le directeur de l’Institut français a indiqué que « l’idée est de rendre hommage au cinéma marocain et à l’histoire de Casablanca », poursuivant que « c’est pour cela que nous avons choisi ce film, car il est plein d’espoir et de tolérance ».
De son côté, Saad Chraïbi, présent lors de la première soirée, s’est réjouit de la projection de son film « Les 3M, Histoire inachevée », projeté en plein air, surtout qu’il a eu la malchance, selon lui, de sortir au début de l’année de 2020, deux semaines avant le Covid-19 au Maroc. Une production parmi d’autres qui a subi les dommages collatéraux de la Covid-19 avec la fermeture des salles de cinéma.
Les applaudissements du public ont marqué, le 17 septembre, la fin du voyage ciné sous les étoiles organisé par l’Institut français à Casablanca. Les amoureux de l’art, du cinéma et du théâtre en particulier devraient se retrouver dans les jours qui viennent avec une programmation artistique riche à découvrir.
La sélection pour ces trois soirées est éclectique et pointue : le 15 septembre, l’Institut a proposé le film « Les 3M, Histoire inachevée », réalisé par Saad Chraïbi, et d’autres films français, notamment « Peau d’âne », « Le Grand méchant Renard » et d’autres contes qui ont été sous titrés en dialecte marocain « darija ». Le 15 septembre à 20h30, les amoureux du Cinéma se sont réunis en fin de semaine pour entamer leur soirée de cinéma avec le film « Les 3M, Histoire inachevée ».
Avant d’entamer la soirée ciné, les staffs techniques galopent en mettant les dernières retouches avant le coup d’envoi, tout est prêt pour une projection open air. Les cliques d’amis et les familles se mettent carrément sur l’herbe verte ou se servent des chaises du Park pour bien profiter de la soirée et une atmosphère agréable envahit l’endroit. L’ambiance ne manque pas ! Parfois des rires, des larmes et des applaudissements, le public n’a pas cessé de faire part de son plaisir.
Selon le directeur de l’Institut français, Gaëtan Pellan, 600 personnes ont assisté à la première soirée de l’événement. En réaction à la première soirée ciné ouvert, l’avis des cinéphiles présents sur place s’annonce positif, mais pour eux, il est important de généraliser de telles activités dans le reste des villes du Royaume. « Nous sommes heureux d’assister à de telles soirées à Casablanca, ça nous a permis de nous soulager du stress quotidien », a indiqué une jeune fille en fin de soirée, ajoutant « en revanche, nous avons besoin de tels événements dans les petites villes, presque vides en activités culturelles ».
Pour sa part, un jeune a indiqué qu’« au-delà du plaisir d’assister à cet événement, le film projeté en soirée d’ouverture est en lui une opportunité pour penser à certaines questions sociales et sociétales, et aussi une occasion pour revenir à notre histoire ».
En s’exprimant sur le choix du film d’ouverture, le directeur de l’Institut français a indiqué que « l’idée est de rendre hommage au cinéma marocain et à l’histoire de Casablanca », poursuivant que « c’est pour cela que nous avons choisi ce film, car il est plein d’espoir et de tolérance ».
De son côté, Saad Chraïbi, présent lors de la première soirée, s’est réjouit de la projection de son film « Les 3M, Histoire inachevée », projeté en plein air, surtout qu’il a eu la malchance, selon lui, de sortir au début de l’année de 2020, deux semaines avant le Covid-19 au Maroc. Une production parmi d’autres qui a subi les dommages collatéraux de la Covid-19 avec la fermeture des salles de cinéma.
Les applaudissements du public ont marqué, le 17 septembre, la fin du voyage ciné sous les étoiles organisé par l’Institut français à Casablanca. Les amoureux de l’art, du cinéma et du théâtre en particulier devraient se retrouver dans les jours qui viennent avec une programmation artistique riche à découvrir.
L’Histoire portée par le cinéma
Interrogé sur le choix de la thématique de son film qui a bien gagné l’intérêt du public assistant à la première soirée de cinéma sous les étoiles, Saad Chraïbi a indiqué que « l’Histoire de notre pays m’a toujours été une source d’inspiration », poursuivant: « Les 3M est un projet que j’ai porté en moi avec la coscénariste Fatima Loukili lors des événements du printemps arabe en 2011 ».
Il a souligné que l’objectif du film est de revenir 60 ans en arrière pour faire le tour des événements ayant conduit au printemps arabe pour comprendre cette phase historique importante dans son intégralité. « C’est toujours un plaisir, pour moi, de telles productions qui traitent des sujets historiques gagnent l’intérêt de nos institutions mais aussi des nouvelles générations », s’est-il félicité.