La gestion du dossier de la décharge de Médiouna a toujours été un scandale, et a toujours enfoncé le Conseil de la ville de Casablanca à l’ère PJDiste. La Commune d’Al Majjatia Oulad Taleb, territoire où est sise la nouvelle décharge de la ville qui remplace l’ancienne décharge de Médiouna, opposait un niet catégorique à ce projet, en raison de l’absence des installations appropriées, et de non remise des dossiers relatifs au projet.
Toutefois, le nouveau Conseil municipal de Casablanca qui est entrée en négociations avec la Commune Rurale d’Al Majjatia Ouled Taleb, a su convaincre ses autorités locales, et a pu inaugurer la nouvelle décharge de Médiouna, indique Ahmed Afilal Idrissi, adjoint à la maire de Casablanca, chargé de la voirie, confirmant que l’ouverture de cette décharge est dans l’intérêt de la région. Après plus d’une dizaine d’années d’attente et de désagréments pour les Casablancais, ils ont enfin pu, le 19 novembre, pousser un soupir de soulagement.
La décharge sauvage de Médiouna a été fermée. C’est Nabila Rmili, maire de la métropole, qui a donné l’ordre de cette fermeture définitive. Depuis cette fermeture, une nouvelle décharge contrôlée a été mise en service à la commune de Majjatia pour accueillir les déchets de la ville et de sa région. Cette dernière est équipée de plusieurs caméras de surveillance haute définition. Immédiatement après son élection, Nabila Rmili a effectué une visite d’inspection à la décharge de Médiouna, pour analyser la situation et décider de la manière de gestion de cet espace.
Dans une déclaration à la presse, Ahmed Afilal Idrissi a affirmé que le Conseil de la ville, depuis son élection, avait placé ce dossier en tête de ses priorités, expliquant que cette nouvelle décharge contribuera à résoudre le problème de traitement et de gestion des déchets à Casablanca, en attendant le lancement d’un accord spécial pour la décharge, qui s’étend sur un espace de 24 hectares, et qui sera dédiée au recyclage et à la valorisation des déchets.
Des appels d’offres seront lancés dans les prochains mois pour l’instauration et la mise en service des équipements et des installations de la décharge, préciset- il, notant que cette nouvelle décharge a été dotée de divers équipements et moyens, dont du personnel de sécurité privé qui supervisera la sécurité de cette installation. En effet, il est prévu de mettre en place, dans le cadre de différents marchés, un centre de valorisation de déchets, un centre de tri et un centre de traitement de lixiviat.
Avec l’ouverture de cette nouvelle décharge et la fermeture de la décharge sauvage, qui s’étalait sur une surface d’environ 60 hectares, et qui était exploitée depuis 1986, les habitants de la région, mais aussi ceux du grand Casablanca, vont enfin pouvoir respirer à pleins poumons après plusieurs années de nuisance et d’odeurs insoutenables.
Toutefois, le nouveau Conseil municipal de Casablanca qui est entrée en négociations avec la Commune Rurale d’Al Majjatia Ouled Taleb, a su convaincre ses autorités locales, et a pu inaugurer la nouvelle décharge de Médiouna, indique Ahmed Afilal Idrissi, adjoint à la maire de Casablanca, chargé de la voirie, confirmant que l’ouverture de cette décharge est dans l’intérêt de la région. Après plus d’une dizaine d’années d’attente et de désagréments pour les Casablancais, ils ont enfin pu, le 19 novembre, pousser un soupir de soulagement.
La décharge sauvage de Médiouna a été fermée. C’est Nabila Rmili, maire de la métropole, qui a donné l’ordre de cette fermeture définitive. Depuis cette fermeture, une nouvelle décharge contrôlée a été mise en service à la commune de Majjatia pour accueillir les déchets de la ville et de sa région. Cette dernière est équipée de plusieurs caméras de surveillance haute définition. Immédiatement après son élection, Nabila Rmili a effectué une visite d’inspection à la décharge de Médiouna, pour analyser la situation et décider de la manière de gestion de cet espace.
Dans une déclaration à la presse, Ahmed Afilal Idrissi a affirmé que le Conseil de la ville, depuis son élection, avait placé ce dossier en tête de ses priorités, expliquant que cette nouvelle décharge contribuera à résoudre le problème de traitement et de gestion des déchets à Casablanca, en attendant le lancement d’un accord spécial pour la décharge, qui s’étend sur un espace de 24 hectares, et qui sera dédiée au recyclage et à la valorisation des déchets.
Des appels d’offres seront lancés dans les prochains mois pour l’instauration et la mise en service des équipements et des installations de la décharge, préciset- il, notant que cette nouvelle décharge a été dotée de divers équipements et moyens, dont du personnel de sécurité privé qui supervisera la sécurité de cette installation. En effet, il est prévu de mettre en place, dans le cadre de différents marchés, un centre de valorisation de déchets, un centre de tri et un centre de traitement de lixiviat.
Avec l’ouverture de cette nouvelle décharge et la fermeture de la décharge sauvage, qui s’étalait sur une surface d’environ 60 hectares, et qui était exploitée depuis 1986, les habitants de la région, mais aussi ceux du grand Casablanca, vont enfin pouvoir respirer à pleins poumons après plusieurs années de nuisance et d’odeurs insoutenables.
Kawtar CHAAT
D’une décharge sauvage à un espace vert
Faute d’étude pour déterminer son fonctionnement, toute une superficie de 60 hectares, consistait en une simple décharge sauvage, qui recevait les déchets produits par la ville de Casablanca et les communes avoisinantes, estimées à 3 800 tonnes par jour.
De plus, l’avancement du front de la pollution s’est fait en direction de la ville, et touchait une zone agricole. Une situation rejetée depuis plusieurs années, aussi bien par les Casablancais que par les habitants de la commune rurale qui abritait la décharge. Toutefois, un membre de la mairie de Casablanca a révélé dans une sortie médiatique que la décharge qui vient d’être fermée, laissera place à un espace vert à disposition du public, expliquant que l’ensemble du site sera recouvert de terre végétale en avril 2021.