Le Conseil de la ville de Casablanca affiche ainsi, avec un peu plus de détermination, sa volonté d’assurer la libération du domaine public dans plusieurs quartiers à la faveur d’une vaste campagne. Malgré la grogne des animateurs de ce trafic, il convient de relever que le Conseil reste à l’écoute des réclamations pour assurer l’arrêt progressif, voire définitif, des charrettes à traction animale qui viennent désorganiser l’espace public à Casablanca, particulièrement dans certains quartiers et artères.
Ces derniers temps, l’intervention des autorités locales se fait remarquer de plus en plus et permet, notamment, de rendre le domaine public libre de toute entrave et autres formes d’occupation qui investit même les trottoirs de la plus grande métropole du Royaume. Face à ce chaos qui a trop duré, les autorités ne sont pas allées de main morte. De nombreuses charrettes ont été confisquées aux vendeurs ambulants qui monopolisaient la voie publique dans différentes avenues.
Cette action a été favorablement accueillie par les habitants, et la maire-présidente du Conseil municipal, Nabila Rmili, a annoncé, lors de sa récente séance ordinaire du Conseil, qu’elle et son équipe allaient sonner le glas de ce phénomène.
Ce message, selon la maire, s’inscrit «dans l’esprit de l’adoption conjointe d’un décret interdisant la circulation des charrettes tirées par des animaux dans l’espace urbain. Celui-ci devrait être mis en application dans les plus brefs délais selon la présidente du Conseil qui a affirmé ne plus souhaiter assister à ces « charrettes tirées par des animaux en circulation à Casablanca», qui battent en brèche sa vocation de « ville intelligente ».
Certainement, nombreux sont ceux qui s’interrogent déjà sur les incidences sociétales et financières que cette prohibition ne manquera pas d’entraîner sur des centaines, voire des milliers de charretiers qui s’activent dans l’informel et qui s’exposeront désormais à la chasse des autorités.
Pour le Conseil, l’objectif de ces dispositions est de pousser ces vendeurs ambulants à aller exhiber leurs marchandises dans des marchés spécialement aménagés à cet effet, où des places sont aménagées pour eux, ce qui n’est pas le cas pour tous.
Quand la banlieue en pâtit
Du côté de Mohammedia, dite «Cité des fleurs» le temps est aussi à la chasse des vendeurs ambulants avec ou sans charrette. Dernièrement, on a interdit à certains d’entre eux l’accès à l’espace public en tant que vendeurs de pain, et pourtant ils n’étaient pas des charretiers, mais des conducteurs de trois roues. Un accord a, par ailleurs, été paraphé entre les municipalités de Casablanca et de Nouaceur visant à atténuer le flux des chiens errants de la périphérie vers la ville de Casablanca. C’est là un autre fléau qui nuit à la vie des populations et qui mérite d’être maîtrisé, pour un cadre de vie urbain plus décent et plus agréable.
Ces derniers temps, l’intervention des autorités locales se fait remarquer de plus en plus et permet, notamment, de rendre le domaine public libre de toute entrave et autres formes d’occupation qui investit même les trottoirs de la plus grande métropole du Royaume. Face à ce chaos qui a trop duré, les autorités ne sont pas allées de main morte. De nombreuses charrettes ont été confisquées aux vendeurs ambulants qui monopolisaient la voie publique dans différentes avenues.
Cette action a été favorablement accueillie par les habitants, et la maire-présidente du Conseil municipal, Nabila Rmili, a annoncé, lors de sa récente séance ordinaire du Conseil, qu’elle et son équipe allaient sonner le glas de ce phénomène.
Ce message, selon la maire, s’inscrit «dans l’esprit de l’adoption conjointe d’un décret interdisant la circulation des charrettes tirées par des animaux dans l’espace urbain. Celui-ci devrait être mis en application dans les plus brefs délais selon la présidente du Conseil qui a affirmé ne plus souhaiter assister à ces « charrettes tirées par des animaux en circulation à Casablanca», qui battent en brèche sa vocation de « ville intelligente ».
Certainement, nombreux sont ceux qui s’interrogent déjà sur les incidences sociétales et financières que cette prohibition ne manquera pas d’entraîner sur des centaines, voire des milliers de charretiers qui s’activent dans l’informel et qui s’exposeront désormais à la chasse des autorités.
Pour le Conseil, l’objectif de ces dispositions est de pousser ces vendeurs ambulants à aller exhiber leurs marchandises dans des marchés spécialement aménagés à cet effet, où des places sont aménagées pour eux, ce qui n’est pas le cas pour tous.
Quand la banlieue en pâtit
Du côté de Mohammedia, dite «Cité des fleurs» le temps est aussi à la chasse des vendeurs ambulants avec ou sans charrette. Dernièrement, on a interdit à certains d’entre eux l’accès à l’espace public en tant que vendeurs de pain, et pourtant ils n’étaient pas des charretiers, mais des conducteurs de trois roues. Un accord a, par ailleurs, été paraphé entre les municipalités de Casablanca et de Nouaceur visant à atténuer le flux des chiens errants de la périphérie vers la ville de Casablanca. C’est là un autre fléau qui nuit à la vie des populations et qui mérite d’être maîtrisé, pour un cadre de vie urbain plus décent et plus agréable.