Les Théâtrales de Casablanca se veulent un lieu de rencontre de comédiens issus de plusieurs pays francophones dont la France, la Belgique et le Maroc. Le jeudi 20 octobre à 21 heures, l’amphithéâtre du Studio des Arts Vivants de Casablanca a accueilli, en grande pompe, quelques centaines de mordus de théâtre venus de part et d’autre pour n’avoir d’yeux et d’oreilles que pour la pièce de la soirée, dont l’histoire est désopilante à souhait.
Le silence se fait au milieu de quelques chuchotements entrecoupés : alea jacta est. Les fous-rires du public étaient les seuls maîtres des lieux, ce soir, au STAV de Casablanca. La raison : «Le plus beau jour de ma vie» est une comédie fondée sur une histoire vraie, mais dans laquelle tout est factice.
En effet, Camille et Arnaud filent le parfait amour jusqu’à ce que ce dernier demande la douce main de sa tendre et chère pour convoler en justes noces. Et c’est à ce moment si précis que tout bascule… Camille n’est, en fait, pas la juriste chevronnée née avec une cuillère en or dans la bouche, comme le pensait Arnaud.
Il s’agit d’une enfant de la DASS, née sous X, adoptée, puis abandonnée à maintes reprises. Mais elle n’a jamais osé le dire à celui qu’elle aime de tout son être pour éviter qu’il ne prenne la poudre d’escampette, et qu’il ne lui file entre les doigts, comme tous ses prédécesseurs. Pour échapper à cet imbroglio de causes et de conséquences, elle a eu la piètre idée de faire appel aux services de deux acteurs au chômage depuis belle lurette. Deux artistes «de qualité » qui devront jouer les rôles de sa mère et de son frère. Et quelle idée d’opter pour des acteurs tout droit sortis de chez Paul… enfin…de chez Pôle emploi.
Des trous de mémoire, des idées cocasses, des blagues qui font rire jaune, des devinettes qui partent dans tous les sens et une improvisation des plus approximatives… Avec une telle association, le déroulement des choses est passé aux antipodes des attentes de Camille.
La pièce est interprétée par des acteurs de talent, à savoir : Jean Claude Muaka, Déborah Cohen Levi et Claire Conty. Et selon les mots de son auteur Alil Vardar, cette histoire est puisée dans des faits réels. Avant «Le plus beau jour de ma vie», il a fait d’autres salles combles grâce à «Clan de divorcés », «10 ans de mariage », et «Un week-end tranquille », parmi d’autres pépites drolatiques.
Le silence se fait au milieu de quelques chuchotements entrecoupés : alea jacta est. Les fous-rires du public étaient les seuls maîtres des lieux, ce soir, au STAV de Casablanca. La raison : «Le plus beau jour de ma vie» est une comédie fondée sur une histoire vraie, mais dans laquelle tout est factice.
En effet, Camille et Arnaud filent le parfait amour jusqu’à ce que ce dernier demande la douce main de sa tendre et chère pour convoler en justes noces. Et c’est à ce moment si précis que tout bascule… Camille n’est, en fait, pas la juriste chevronnée née avec une cuillère en or dans la bouche, comme le pensait Arnaud.
Il s’agit d’une enfant de la DASS, née sous X, adoptée, puis abandonnée à maintes reprises. Mais elle n’a jamais osé le dire à celui qu’elle aime de tout son être pour éviter qu’il ne prenne la poudre d’escampette, et qu’il ne lui file entre les doigts, comme tous ses prédécesseurs. Pour échapper à cet imbroglio de causes et de conséquences, elle a eu la piètre idée de faire appel aux services de deux acteurs au chômage depuis belle lurette. Deux artistes «de qualité » qui devront jouer les rôles de sa mère et de son frère. Et quelle idée d’opter pour des acteurs tout droit sortis de chez Paul… enfin…de chez Pôle emploi.
Des trous de mémoire, des idées cocasses, des blagues qui font rire jaune, des devinettes qui partent dans tous les sens et une improvisation des plus approximatives… Avec une telle association, le déroulement des choses est passé aux antipodes des attentes de Camille.
La pièce est interprétée par des acteurs de talent, à savoir : Jean Claude Muaka, Déborah Cohen Levi et Claire Conty. Et selon les mots de son auteur Alil Vardar, cette histoire est puisée dans des faits réels. Avant «Le plus beau jour de ma vie», il a fait d’autres salles combles grâce à «Clan de divorcés », «10 ans de mariage », et «Un week-end tranquille », parmi d’autres pépites drolatiques.
Alil Vardar, metteur en scène et pas seulement
Metteur en scène de la pièce «Le plus beau jour de ma vie», Alil Vardar fait partie des acteurs et dramaturges belges, originaires de Bruxelles. Né le 7 février 1970, il est surtout connu pour avoir écrit et interprété la pièce à succès « Le Clan des divorcées » et créé une série télévisée dérivée, diffusée sur Comédie. Issu de parents albanais immigrés à Bruxelles, Alil Vardar est le plus jeune d’une fratrie de cinq enfants.
Dès son enfance, il est fasciné par l’humour. Après avoir exercé de multiples métiers, notamment chauffeur-livreur et agent immobilier, il décide d’en faire son métier. En 1995, il rachète un café-théâtre à Bruxelles, le Comiqu’Art.
En même temps, il crée, produit et anime avec ses frères Hazis et Hamdi, une émission de radio intitulée La Bande de Contact, pour Radio Contact Belgique. Le Comiqu’Art devenant trop petit, Alil et ses frères décident de dupliquer le même projet à Liège, puis à Charleroi.