Le long métrage « Jrada Malha » du réalisateur Driss Roukhe a été projeté en avant-première, mardi soir au cinéma Megarama à Casablanca. Ce thriller psychologique, qui fait du suspense son seul mot d’ordre, revêt une écriture qui s’est détachée au gré du temps et de l’espace. Un abandon guidé par une trame dramatique ouvrant la voie à la narration et au caractère.
« Jrada Malha » narre au passé simple une histoire qui ne l’est pas du tout : à savoir celle de Ranya, victime d’un complot où la manipulation est le maître mot. Une machination bien rodée qui a fait basculer son long fleuve tranquille. Privée de son droit absolu à la tranquillité, sa mémoire en est devenue un chaos absolu. Le pari de ce film est de plonger le public dans un labyrinthe de sensations. Le piège en est de rapprocher le spectateur le plus averti des personnages et de leurs vécus, au point d’oublier que tout ceci n’est qu’une oeuvre cinématographique.
« Jrada Malha » narre au passé simple une histoire qui ne l’est pas du tout : à savoir celle de Ranya, victime d’un complot où la manipulation est le maître mot. Une machination bien rodée qui a fait basculer son long fleuve tranquille. Privée de son droit absolu à la tranquillité, sa mémoire en est devenue un chaos absolu. Le pari de ce film est de plonger le public dans un labyrinthe de sensations. Le piège en est de rapprocher le spectateur le plus averti des personnages et de leurs vécus, au point d’oublier que tout ceci n’est qu’une oeuvre cinématographique.
