Un certain nombre de professionnels des grands taxis ont observé une manifestation, mardi, dans le quartier de “Lissasfa” à Casablanca, afin de dénoncer les conditions sociales des chauffeurs professionnels et certaines pratiques illégales dans le secteur. Les manifestants ont scandé plusieurs slogans de protestation appelant au règlement des problèmes des professionnels du taxi dans cette région, réclamant aux autorités publiques de lutter contre le “transport clandestin”, qui est considérablement répandu dans la capitale économique ces derniers mois.
« Les chauffeurs professionnels se sont rendus aujourd’hui à la station de taxis à Lissasfa afin de faire entendre leurs revendications aux autorités concernées », a expliqué El Habib Bonzal, secrétaire régional du Syndicat national des Taxis du Maroc à Al Fida-Mers Sultan, dans une déclaration à Hespress.
« Le transport clandestin représente actuellement un vrai problème pour les professionnels, soit en matière de réglementation de la profession, soit en ce qui concerne les accidents qu’il provoque », a-t-il ajouté.
« D’autres problèmes sectoriels sont liés à ce qui est local à Lissasfa, et concernent principalement la gestion de la station des grands taxis, ainsi que la gestion du trafic », a-t-il poursuivi. Certains professionnels ont également invoqué les problèmes sociaux dont souffrent les chauffeurs dans le contexte des récentes circulaires du ministère de l’Intérieur sur les « permis de taxis », rejetant l’approche gouvernementale adoptée il y a des décennies concernant ce dossier.
« Les chauffeurs professionnels se sont rendus aujourd’hui à la station de taxis à Lissasfa afin de faire entendre leurs revendications aux autorités concernées », a expliqué El Habib Bonzal, secrétaire régional du Syndicat national des Taxis du Maroc à Al Fida-Mers Sultan, dans une déclaration à Hespress.
« Le transport clandestin représente actuellement un vrai problème pour les professionnels, soit en matière de réglementation de la profession, soit en ce qui concerne les accidents qu’il provoque », a-t-il ajouté.
« D’autres problèmes sectoriels sont liés à ce qui est local à Lissasfa, et concernent principalement la gestion de la station des grands taxis, ainsi que la gestion du trafic », a-t-il poursuivi. Certains professionnels ont également invoqué les problèmes sociaux dont souffrent les chauffeurs dans le contexte des récentes circulaires du ministère de l’Intérieur sur les « permis de taxis », rejetant l’approche gouvernementale adoptée il y a des décennies concernant ce dossier.
