Sous le titre « Le jardin en soi », cette exposition explore la part secrète de tout un chacun en même temps que notre rapport physique inévitable et quotidien au textile, comme la « couche qui nous sépare du monde extérieur », indique la galerie dans un communiqué.
Crochetée, tissée ou brodée, de soie ou de laine, la matérialité des œuvres de l’exposition invite à explorer notre rapport à l’intime et notre rapport au temps, dans un lien omniprésent avec la Nature. C’est ainsi qu’est présentée l’exposition, qu’il s’agisse du jardin intérieur, du jardin d’Éden, du jardin de pierreries de l’Épopée de Gilgamesh, il apparaît ici, selon la théorie de Michel Foucault comme une hétérotopie, un espace d’intimité, un espace à part qui configure ou reconfigure le monde à sa manière. Ainsi, le jardin devient métaphore.
Il incarne un espace bienveillant invitant à une reconnexion avec la joie et la puissance. « Le jardin en soi » devient le lieu d’imaginaires variés qui alimentent une définition plurielle et complexe d’un mouvement nourri des urgences du monde contemporain, souligne le communiqué.
« Jardin en soi » est représenté par trois artistes : l’Ivoirienne, Joana Choumali, qui propose des œuvres d’une belle précision, dessinées au tissu, et les Marocaines, Amina Agueznay et Ghizlane Sahli, qui ont opté pour des installations, du volume, de la symétrie pour exprimer leur être intérieur.
« Cette exposition se positionne comme une première dans la valorisation de la création textile contemporaine au Maroc et en Afrique, puisqu’elle sera dédiée de manière inédite et exclusive à ce médium déployé sous une pluralité de formes et offrant de surcroît les possibilités de la monumentalité. Alors que les contraintes sanitaires restent fortes et nous obligent à rester à l’intérieur de nos frontières, la galerie souhaite offrir au monde la possibilité de visiter virtuellement l’exposition », confie la commissaire d’exposition qui confirme que la galerie a dû s’adapter aux règles sanitaires imposées par la pandémie.
Les visites se font par prise de rende-zvous, des mesures sanitaires strictes sont mises en place. « Organiser une exposition par les temps qui courent est non seulement un véritable parcours du combattant, mais aussi un acte militant. « Initiée avant le confinement, l’idée d’une exposition sur l’art textile a largement évolué au fil du temps pour prendre une forme plus intimiste suscitée par les expériences de ces dernières semaines », conclut la commissaire d’exposition.
Crochetée, tissée ou brodée, de soie ou de laine, la matérialité des œuvres de l’exposition invite à explorer notre rapport à l’intime et notre rapport au temps, dans un lien omniprésent avec la Nature. C’est ainsi qu’est présentée l’exposition, qu’il s’agisse du jardin intérieur, du jardin d’Éden, du jardin de pierreries de l’Épopée de Gilgamesh, il apparaît ici, selon la théorie de Michel Foucault comme une hétérotopie, un espace d’intimité, un espace à part qui configure ou reconfigure le monde à sa manière. Ainsi, le jardin devient métaphore.
Il incarne un espace bienveillant invitant à une reconnexion avec la joie et la puissance. « Le jardin en soi » devient le lieu d’imaginaires variés qui alimentent une définition plurielle et complexe d’un mouvement nourri des urgences du monde contemporain, souligne le communiqué.
« Jardin en soi » est représenté par trois artistes : l’Ivoirienne, Joana Choumali, qui propose des œuvres d’une belle précision, dessinées au tissu, et les Marocaines, Amina Agueznay et Ghizlane Sahli, qui ont opté pour des installations, du volume, de la symétrie pour exprimer leur être intérieur.
« Cette exposition se positionne comme une première dans la valorisation de la création textile contemporaine au Maroc et en Afrique, puisqu’elle sera dédiée de manière inédite et exclusive à ce médium déployé sous une pluralité de formes et offrant de surcroît les possibilités de la monumentalité. Alors que les contraintes sanitaires restent fortes et nous obligent à rester à l’intérieur de nos frontières, la galerie souhaite offrir au monde la possibilité de visiter virtuellement l’exposition », confie la commissaire d’exposition qui confirme que la galerie a dû s’adapter aux règles sanitaires imposées par la pandémie.
Les visites se font par prise de rende-zvous, des mesures sanitaires strictes sont mises en place. « Organiser une exposition par les temps qui courent est non seulement un véritable parcours du combattant, mais aussi un acte militant. « Initiée avant le confinement, l’idée d’une exposition sur l’art textile a largement évolué au fil du temps pour prendre une forme plus intimiste suscitée par les expériences de ces dernières semaines », conclut la commissaire d’exposition.