C’est depuis la multiplication des « médias de l’immédiat », notamment des réseaux sociaux, que les internautes marocains trouvent refuge pour, partager les nouvelles et collaborer sur divers projets, dénoncer et exprimer davantage leur insatisfaction, leurs besoins et leurs attentes. La preuve c’est le cas du fameux groupe « Save Casablanca » qui donne la possibilité aux habitants de la métropole de lancer leurs coups de gueule sur différents sujets, tel que « l’état déplorable des routes de Casablanca ». Le groupe, suivi par 250,4 K membres à ce jour, regorgent d’images et de photos qui illustrent l’état lamentable de l’infrastructure routière, manifestement dégradée par les récentes pluies torrentielles.
Nids-de-poule, un danger quotidien sur les artères de la métropole
Les nids-de-poules, les chaussées dégagés ou alors les routes déformées pullulent avec une fréquence sans précédent sur l’ensemble du grand Casablanca, menaçant ainsi la sécurité des usagers de la route. Si le conducteur doit rester maître de son véhicule et adapter sa vitesse à la situation rencontrée, la responsabilité des élus ou des services d’entretien et de maintenance des voies publiques ou privées n’en demeure pas moins mise en cause.
Face à cet état déplorable, les internautes pointent du doigt le silence des politiques qui sont, selon eux, les premiers responsables à qui il appartient de veiller à l’amélioration du mauvais état de la voirie et d’intervenir de façon urgente pour remédier à cette situation « intenable », selon leur expression. « Personnellement, mes trajets en voiture deviennent de plus en plus insupportables, je ne peux plus circuler aisément dans les avenues et les ruelles de la ville, tellement les routes sont impraticables. Cela devient de plus en plus irritant d’autant que nous payons nos taxes pour que les routes soient entretenues en permanence », a déclaré Anass, habitant de l’ancienne médina. L’état des routes casablancaises, qui est loin d’être optimal, est souvent la raison derrière la multiplication des accidents de la route, sans parler des dégâts causés aux véhicules.
Quid des responsables locaux
A ce propos, nous avons essayé d’approcher de plus prêt les responsables de la métropole afin d’obtenir une réponse claire et utile, pour s’enquérir des mesures prises pour améliorer la maintenance de l’infrastructure routière de la capitale économique, toutefois le silence est resté de mise, à l’exception d’Abdelkarim Lahouaichri, 8ème Vice-Président du Conseil de la Commune de Casablanca et président de l’arrondissement de Sidi Bernoussi. Ce dernier nous a indiqué qu’«il est normal que l’état des routes se détériore, après les pluies torrentielles qu’a connu la ville, nous sommes intervenues avec un plan d’urgence pour entretenir l’infrastructure impacté », ajoutant que « 90% des routes dégradés de la préfecture de Sidi Bernoussi ont été raccommodés ».
Nids-de-poule, un danger quotidien sur les artères de la métropole
Les nids-de-poules, les chaussées dégagés ou alors les routes déformées pullulent avec une fréquence sans précédent sur l’ensemble du grand Casablanca, menaçant ainsi la sécurité des usagers de la route. Si le conducteur doit rester maître de son véhicule et adapter sa vitesse à la situation rencontrée, la responsabilité des élus ou des services d’entretien et de maintenance des voies publiques ou privées n’en demeure pas moins mise en cause.
Face à cet état déplorable, les internautes pointent du doigt le silence des politiques qui sont, selon eux, les premiers responsables à qui il appartient de veiller à l’amélioration du mauvais état de la voirie et d’intervenir de façon urgente pour remédier à cette situation « intenable », selon leur expression. « Personnellement, mes trajets en voiture deviennent de plus en plus insupportables, je ne peux plus circuler aisément dans les avenues et les ruelles de la ville, tellement les routes sont impraticables. Cela devient de plus en plus irritant d’autant que nous payons nos taxes pour que les routes soient entretenues en permanence », a déclaré Anass, habitant de l’ancienne médina. L’état des routes casablancaises, qui est loin d’être optimal, est souvent la raison derrière la multiplication des accidents de la route, sans parler des dégâts causés aux véhicules.
Quid des responsables locaux
A ce propos, nous avons essayé d’approcher de plus prêt les responsables de la métropole afin d’obtenir une réponse claire et utile, pour s’enquérir des mesures prises pour améliorer la maintenance de l’infrastructure routière de la capitale économique, toutefois le silence est resté de mise, à l’exception d’Abdelkarim Lahouaichri, 8ème Vice-Président du Conseil de la Commune de Casablanca et président de l’arrondissement de Sidi Bernoussi. Ce dernier nous a indiqué qu’«il est normal que l’état des routes se détériore, après les pluies torrentielles qu’a connu la ville, nous sommes intervenues avec un plan d’urgence pour entretenir l’infrastructure impacté », ajoutant que « 90% des routes dégradés de la préfecture de Sidi Bernoussi ont été raccommodés ».
Siham MDIJI
Quand les taxis de Nouacer crient leur colère
Les propriétaires et chauffeurs de grands taxis, faisant le trajet de Dar Bouazza et Oulad Azzouz à Casablanca, ont organisé un sit-in, en janvier, pour protester contre l’état «catastrophique» de cette route. Ces derniers attendent depuis 2007 la réhabilitation et la rénovation de cette route située dans la province de Nouaceur, ont-ils souligné dans un courrier adressé au gouverneur de la province. Ils ont également indiqué que les dernières pluies qui se sont abattues sur la métropole ont dégradé davantage l’état, jugé « déjà déplorable de ladite route». Selon eux, la situation désastreuse de la route les a, apparemment, poussés à refuser de travailler sur ce tronçon jusqu’à la prise en considération de leurs doléances.