Dans l’édition 2021 de l’hebdomadaire britannique The Economist, «The Global Liveability Index» Casablanca est la seule ville marocaine à y figurer. Publié chaque année, le rapport examine 140 villes dans le monde pour évaluer leur qualité de vie. Dans le détail, la métropole marocaine occupe la 114e position de ce classement au niveau mondial, avec un score de 51,2.
Selon la même source, ce score correspond à la catégorie des villes où la qualité de vie est inconfortable. Ce score est obtenu en prenant en compte une trentaine de critères, répartis en cinq grandes catégories: stabilité (sécurité, menace terroriste, conflits, etc.), soins de santé, culture et environnement (climat, liberté religieuse, équipements culturels et sportifs, etc.), éducation, et infrastructures (qualité des routes, transport public, télécommunications, etc.). Les scores pour chaque catégorie sont ensuite compilés et pondérés pour fournir un score sur une échelle de 1 à 100.
Dans le détail, Casablanca est plus performante en termes de “stabilité” et “infrastructures”, avec des notes respectives de 65 et 60,7 points. En revanche, son score dans la catégorie “soins de santé” est plus faible avec une note de 25 points. Au niveau de l’éducation, Casablanca obtient une note de 50 points, et 51 points dans la catégorie “culture et environnement”.
Sur le plan régional, Casablanca se classe 10e sur un total de 16 villes de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Abu Dhabi est la ville où il fait le plus bon vivre dans la région, grâce à son score de 73,5 points et le 63e rang mondial. Elle est suivie par Dubaï (70 points, 74e), Manama (64,4 points, 87e), Doha et Koweït (64,3 points, 88e), Mascate (60 points, 94e), Amman (57,7 points, 103e), Riyadh (53,3 points, 108e), Tunis (53 points, 110e).
A la dixième position, avec le même score que Casablanca, on retrouve Djeddah. Khobar en Arabie Saoudite est juste derrière (48,7 points, 120e), suivie du Caire (44 points, 128e), de Tripoli (34,2 points, 135e), d’Alger (34,1 points, 136e) et de Damas (26,5 points, 140e). Si les scores des villes de la région MENA n›ont cessé de baisser depuis la dernière édition de ce classement, le rapport de The Economist explique cela par les conséquences de la crise sanitaire du Covid-19. En chiffres, la moyenne de la région est tombée à 53,4 cette année contre 59,9 points en 2019.
Selon la même source, ce score correspond à la catégorie des villes où la qualité de vie est inconfortable. Ce score est obtenu en prenant en compte une trentaine de critères, répartis en cinq grandes catégories: stabilité (sécurité, menace terroriste, conflits, etc.), soins de santé, culture et environnement (climat, liberté religieuse, équipements culturels et sportifs, etc.), éducation, et infrastructures (qualité des routes, transport public, télécommunications, etc.). Les scores pour chaque catégorie sont ensuite compilés et pondérés pour fournir un score sur une échelle de 1 à 100.
Dans le détail, Casablanca est plus performante en termes de “stabilité” et “infrastructures”, avec des notes respectives de 65 et 60,7 points. En revanche, son score dans la catégorie “soins de santé” est plus faible avec une note de 25 points. Au niveau de l’éducation, Casablanca obtient une note de 50 points, et 51 points dans la catégorie “culture et environnement”.
Sur le plan régional, Casablanca se classe 10e sur un total de 16 villes de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Abu Dhabi est la ville où il fait le plus bon vivre dans la région, grâce à son score de 73,5 points et le 63e rang mondial. Elle est suivie par Dubaï (70 points, 74e), Manama (64,4 points, 87e), Doha et Koweït (64,3 points, 88e), Mascate (60 points, 94e), Amman (57,7 points, 103e), Riyadh (53,3 points, 108e), Tunis (53 points, 110e).
A la dixième position, avec le même score que Casablanca, on retrouve Djeddah. Khobar en Arabie Saoudite est juste derrière (48,7 points, 120e), suivie du Caire (44 points, 128e), de Tripoli (34,2 points, 135e), d’Alger (34,1 points, 136e) et de Damas (26,5 points, 140e). Si les scores des villes de la région MENA n›ont cessé de baisser depuis la dernière édition de ce classement, le rapport de The Economist explique cela par les conséquences de la crise sanitaire du Covid-19. En chiffres, la moyenne de la région est tombée à 53,4 cette année contre 59,9 points en 2019.
Economist Intelligence Unit
Par ses recherches et ses analyses, L’Economist Intelligence Unit (EIU) offre des prévisions et du conseil à ses clients. Il fournit aux pays, industries et entreprises des analyses mondiales. L’EIU est connu en particulier pour ses rapports mensuels par pays, ses prévisions nationales sur cinq ans, ses rapports de risque des pays, et ses rapports industriels. L’entreprise s’est également spécialisée dans les recherches sur mesure pour les entreprises qui demandent une analyse pour des marchés particuliers ou des secteurs de marchés.