Entamés le 7 décembre dernier, ces ateliers thématiques, au nombre de 6, constituent la deuxième phase dans l’élaboration du SRAT de la région de Casablanca- Settat. Ils s’étaient tenus autour de la thématique «La vision de développement, les orientations stratégiques et les espaces projets». Le dernier en date a eu lieu le 23 décembre dernier autour du système institutionnel, de la gouvernance et de l’activation. Quant à la première phase, elle avait porté sur le diagnostic territorial stratégique et les recommandations, alors que la troisième et ultime phase portera sur l’élaboration du SRAT sur la base des recommandations issues de ces ateliers thématiques et des travaux d’experts chargés de la synthèse de ce document.
Le SRAT, un document majeur pour une région exemplaire
Le Schéma régional d’aménagement du territoire (SRAT), constitue un document stratégique qui apporte un diagnostic précis des difficultés et des solutions réalistes pour piloter le développement régional à long terme.
Ce document traduit, en effet, une vision stratégique pour la mise en place de projets structurants, élaborés en concertation entre l’ensemble des acteurs locaux, dans le but de répondre aux attentes actuelles et futures des habitants de la région.
De ce fait lors de l’élaboration du SRAT de la région Casablanca-Settat, plus de 143 orientations, projets territoriaux et projets structurants, ont été présentés pour, in fine, sortir avec une dizaines d’axes prioritaires de vision de développement et d’orientations stratégiques. Il s’agit des «Ressources hydriques», «Attractivité et compétitivité des secteurs : orientations économiques et commercialisation territoriale», «Casablanca et la dynamique urbaine», «Construction et immobilier», «Habitat», «Transport et mobilité urbaine durable», «Environnement et durabilité», «Formation, recherche scientifique et emploi », «Transformation numérique» et, enfin, «Système institutionnel et gouvernance».
L’objectif étant de faire de la région Casablanca -Settat, une région intégrante, valorisant son patrimoine humain et attrayante pour ses habitants, sa diaspora et ses visiteurs, tout en se dotant d’une structure urbaine organisée et qui s’inscrit en harmonie avec le milieu rural.
Dans le concret, il est question de la mise en place de stations de dessalement de l’eau de mer, la construction de nouveaux barrages pour répondre aux besoins de toutes les collectivités territoriales relevant de la région, ou encore la mise en place de projets intégrés de recyclage des eaux usées issues des unités industrielles aux fins de leur réutilisation.
Il y va aussi de la qualification des zones industrielles et logistiques, de la création et l’encouragement d’autres zones spécialisées et intégrées qui prennent en compte les identités des pôles de la région en dehors de la bande côtière, l’élaboration d’un plan minutieux pour motiver et attirer les investissements, tant nationaux qu’internationaux, basé sur la commercialisation territoriale, qui met en évidence la compétitivité des différents pôles régionaux.
Dans le monde rural, il est question de faire bénéficier ces communautés d’activités économiques et de technologies modernes, ainsi que de généraliser la scolarisation, les cantines et le transport scolaire en milieu rural, ou encore de mettre en place des projets pour mettre fin au phénomène de l’exode rural ou, du moins, en ralentir le rythme, entre autres.
Le SRAT, un document majeur pour une région exemplaire
Le Schéma régional d’aménagement du territoire (SRAT), constitue un document stratégique qui apporte un diagnostic précis des difficultés et des solutions réalistes pour piloter le développement régional à long terme.
Ce document traduit, en effet, une vision stratégique pour la mise en place de projets structurants, élaborés en concertation entre l’ensemble des acteurs locaux, dans le but de répondre aux attentes actuelles et futures des habitants de la région.
De ce fait lors de l’élaboration du SRAT de la région Casablanca-Settat, plus de 143 orientations, projets territoriaux et projets structurants, ont été présentés pour, in fine, sortir avec une dizaines d’axes prioritaires de vision de développement et d’orientations stratégiques. Il s’agit des «Ressources hydriques», «Attractivité et compétitivité des secteurs : orientations économiques et commercialisation territoriale», «Casablanca et la dynamique urbaine», «Construction et immobilier», «Habitat», «Transport et mobilité urbaine durable», «Environnement et durabilité», «Formation, recherche scientifique et emploi », «Transformation numérique» et, enfin, «Système institutionnel et gouvernance».
L’objectif étant de faire de la région Casablanca -Settat, une région intégrante, valorisant son patrimoine humain et attrayante pour ses habitants, sa diaspora et ses visiteurs, tout en se dotant d’une structure urbaine organisée et qui s’inscrit en harmonie avec le milieu rural.
Dans le concret, il est question de la mise en place de stations de dessalement de l’eau de mer, la construction de nouveaux barrages pour répondre aux besoins de toutes les collectivités territoriales relevant de la région, ou encore la mise en place de projets intégrés de recyclage des eaux usées issues des unités industrielles aux fins de leur réutilisation.
Il y va aussi de la qualification des zones industrielles et logistiques, de la création et l’encouragement d’autres zones spécialisées et intégrées qui prennent en compte les identités des pôles de la région en dehors de la bande côtière, l’élaboration d’un plan minutieux pour motiver et attirer les investissements, tant nationaux qu’internationaux, basé sur la commercialisation territoriale, qui met en évidence la compétitivité des différents pôles régionaux.
Dans le monde rural, il est question de faire bénéficier ces communautés d’activités économiques et de technologies modernes, ainsi que de généraliser la scolarisation, les cantines et le transport scolaire en milieu rural, ou encore de mettre en place des projets pour mettre fin au phénomène de l’exode rural ou, du moins, en ralentir le rythme, entre autres.
C. B.