Ce cahier de charges, qui sera approuvé lors de la session ordinaire de mai, obligera les entreprises délégataires pour la gestion des plages à concevoir des idées d’activités économiques et commerciales telles que les cafés, restaurants et kiosques, en plus de réaliser des activités récréatives de compétitions et de jeux au profit des clients.
Ce document stipule également que ces entreprises, autorisées à exploiter les plages de Lalla Meryem, Aïn Diab, Madame Choual, Nahla Aïn-Sebaâ, Chahdia, et Nahla Sidi Bernoussi, utilisent uniquement des chaises et des tables conformes aux normes sanitaires en vigueur dans les restaurants, tout en respectant les normes de protection de l’environnement et de l’hygiène.
Quant au chaos créé par les propriétaires de parasols sur les plages, le cahier de charges impose la nécessité de déterminer l’emplacement de ces parasols sur les plages, en plus de la nécessité d’unifier leurs couleurs pour apporter une esthétique à la plage.
En ce qui concerne l’aspect de préservation de la santé, le nouveau cahier de charges empêche les personnes qui bénéficieront de l’exploitation temporaire de la plage de cuisiner des repas sur place, indiquant que ce qui est autorisé est de fournir des plats préalablement préparés.
Dans le cas où les élus du Conseil de la Commune de Casablanca approuveraient ce cahier de charges pour l’exploitation, la gestion et la revitalisation des plages en été, les gestionnaires de ces espaces seront tenus de faire clairement connaître les différents tarifs des services qu’ils rendent aux plagistes, qu’ils soient liés au prix des parasols, des repas ou des jeux pour enfants.
S’agissant de l’animation, les futurs gestionnaires des plages seront tenus de mener des activités artistiques et culturelles et de mettre en place des haut-parleurs, à condition que les activités musicales soient arrêtées à minuit.
Ce nouveau cahier de charges stipule également, dans son article 19, l’interdiction de la consommation de tout type de drogue à l’intérieur du lot sablonneux que l’entreprise déléguée pour la gestion sera autorisées à exploiter. De plus, et selon ce nouveau document, l’indemnisation de tout dommage au niveau des installations et équipements incombera à l’entreprise gestionnaire.
Ce document stipule également que ces entreprises, autorisées à exploiter les plages de Lalla Meryem, Aïn Diab, Madame Choual, Nahla Aïn-Sebaâ, Chahdia, et Nahla Sidi Bernoussi, utilisent uniquement des chaises et des tables conformes aux normes sanitaires en vigueur dans les restaurants, tout en respectant les normes de protection de l’environnement et de l’hygiène.
Quant au chaos créé par les propriétaires de parasols sur les plages, le cahier de charges impose la nécessité de déterminer l’emplacement de ces parasols sur les plages, en plus de la nécessité d’unifier leurs couleurs pour apporter une esthétique à la plage.
En ce qui concerne l’aspect de préservation de la santé, le nouveau cahier de charges empêche les personnes qui bénéficieront de l’exploitation temporaire de la plage de cuisiner des repas sur place, indiquant que ce qui est autorisé est de fournir des plats préalablement préparés.
Dans le cas où les élus du Conseil de la Commune de Casablanca approuveraient ce cahier de charges pour l’exploitation, la gestion et la revitalisation des plages en été, les gestionnaires de ces espaces seront tenus de faire clairement connaître les différents tarifs des services qu’ils rendent aux plagistes, qu’ils soient liés au prix des parasols, des repas ou des jeux pour enfants.
S’agissant de l’animation, les futurs gestionnaires des plages seront tenus de mener des activités artistiques et culturelles et de mettre en place des haut-parleurs, à condition que les activités musicales soient arrêtées à minuit.
Ce nouveau cahier de charges stipule également, dans son article 19, l’interdiction de la consommation de tout type de drogue à l’intérieur du lot sablonneux que l’entreprise déléguée pour la gestion sera autorisées à exploiter. De plus, et selon ce nouveau document, l’indemnisation de tout dommage au niveau des installations et équipements incombera à l’entreprise gestionnaire.
Campagnes contre les loueurs de parasols
Suite aux doléances des estivants, les autorités locales de Casablanca ont procédé, l’été dernier, à la libération de l’espace public des plages de la capitale économique, occupé illégalement par les nombreux loueurs de parasols, de transats et de chaises.
Cette opération réussie et matériel de plage saisi, cette libération de l’espace public sur la côte de la capitale économique a encouragé les internautes à lancer des campagnes similaires sur toutes les plages méditerranéennes et atlantiques du Royaume.
Aussi, la Toile marocaine demande-t-elle aux autorités concernées de sévir partout contre ces exploiteurs d’espaces publics, sans nulle autorisation, et proposant leur matériel de plage à des prix exorbitants.
Cette opération réussie et matériel de plage saisi, cette libération de l’espace public sur la côte de la capitale économique a encouragé les internautes à lancer des campagnes similaires sur toutes les plages méditerranéennes et atlantiques du Royaume.
Aussi, la Toile marocaine demande-t-elle aux autorités concernées de sévir partout contre ces exploiteurs d’espaces publics, sans nulle autorisation, et proposant leur matériel de plage à des prix exorbitants.