L'ancien chef du Centro nacional de Inteligencia, s'est félicité, lors de la conférence de jeudi dernier, de "l'efficience et l'efficacité des services de renseignement marocains", exprimant sa gratitude pour le grand rôle qu'ils ont joué en matière de sécurité internationale.
Evoquant la sécurité bilatérale et régionale, la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel et la coopération entre le Maroc et l'Espagne, Félix Sanz Roldán a également appelé à la consolidation du partenariat stratégique régional avec le Maroc, «qui peut s’élargir à d’autres volets dans le cadre d’une coopération commune entre Rabat et Madrid».
Roldán a également reconnu le rôle de Rabat dans le partage de renseignements antiterroristes, ce qui a permis à Madrid de faire face aux «inquiétudes qui proviennent de l’Afrique», affirmant que le Maroc a beaucoup accompli avec Madrid «en tant qu’allié indéfectible du bloc occidental ».
Selon le lieutenant-général espagnol, ce partenariat se renforce grâce à l'anticipation par le Royaume « des dangers provenant de l’Afrique afin qu’elles ne puissent pas atteindre l’Europe, ou, du moins, circonscrire leur aspect négatif».
La sortie de l'ex-responsable du CNI intervient après l'amélioration des relations maroco-espagnoles suite à la reconnaissance de la marocanité du Sahara par Madrid. Une initiative suivie quelques jours plus tard par la visite du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez à Rabat. Cette visite a permis aux deux parties de s'entretenir et de s'engager pour une future coopération saine basée sur le respect mutuel, la transparence et la loyauté.
Evoquant la sécurité bilatérale et régionale, la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel et la coopération entre le Maroc et l'Espagne, Félix Sanz Roldán a également appelé à la consolidation du partenariat stratégique régional avec le Maroc, «qui peut s’élargir à d’autres volets dans le cadre d’une coopération commune entre Rabat et Madrid».
Roldán a également reconnu le rôle de Rabat dans le partage de renseignements antiterroristes, ce qui a permis à Madrid de faire face aux «inquiétudes qui proviennent de l’Afrique», affirmant que le Maroc a beaucoup accompli avec Madrid «en tant qu’allié indéfectible du bloc occidental ».
Selon le lieutenant-général espagnol, ce partenariat se renforce grâce à l'anticipation par le Royaume « des dangers provenant de l’Afrique afin qu’elles ne puissent pas atteindre l’Europe, ou, du moins, circonscrire leur aspect négatif».
La sortie de l'ex-responsable du CNI intervient après l'amélioration des relations maroco-espagnoles suite à la reconnaissance de la marocanité du Sahara par Madrid. Une initiative suivie quelques jours plus tard par la visite du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez à Rabat. Cette visite a permis aux deux parties de s'entretenir et de s'engager pour une future coopération saine basée sur le respect mutuel, la transparence et la loyauté.