La Corée du Nord a tiré jeudi un missile balistique intercontinental (ICBM), a déclaré le président sud-coréen Moon Jae-in, constituant le premier lancement d'une arme aussi puissante depuis 2017.
Il s'agit d'une "violation de la suspension des tirs de missiles balistiques intercontinentaux promise par le président Kim Jong Un à la communauté internationale", a déclaré M. Moon dans un communiqué, ajoutant que cela constituait également une violation du régime de sanctions de l'ONU.
"Nos analyses indiquent que le missile balistique a volé pendant 71 minutes et est tombé vers 15H44 (06H44 GMT) dans la zone économique exclusive, dans la mer du Japon, à environ 150 km à l'ouest de la péninsule d'Oshima" (île septentrionale d'Hokkaido), a déclaré le numéro deux du ministère de la Défense Makoto Oniki, ajoutant qu'il pourrait s'agir d'un missile balistique intercontinental (ICBM).
Le ministère de la Défense japonais n'avait reçu aucune information faisant état de dégâts causés à des navires ou des avions, qualifiant cependant ce tir de "menace sérieuse" pour la sécurité du Japon.
Il s'agit d'une "violation de la suspension des tirs de missiles balistiques intercontinentaux promise par le président Kim Jong Un à la communauté internationale", a déclaré M. Moon dans un communiqué, ajoutant que cela constituait également une violation du régime de sanctions de l'ONU.
"Nos analyses indiquent que le missile balistique a volé pendant 71 minutes et est tombé vers 15H44 (06H44 GMT) dans la zone économique exclusive, dans la mer du Japon, à environ 150 km à l'ouest de la péninsule d'Oshima" (île septentrionale d'Hokkaido), a déclaré le numéro deux du ministère de la Défense Makoto Oniki, ajoutant qu'il pourrait s'agir d'un missile balistique intercontinental (ICBM).
Le ministère de la Défense japonais n'avait reçu aucune information faisant état de dégâts causés à des navires ou des avions, qualifiant cependant ce tir de "menace sérieuse" pour la sécurité du Japon.