Les habitants de la grande ville de Jilin, qui a signalé plus de 500 cas de variant Omicron, avaient terminé leurs six séries de tests de dépistage obligatoires dimanche, selon les autorités locales. Samedi, plusieurs centaines de quartiers de la ville ont été confinés.
Cela "montre que la propagation d'Omicron est (...) hautement contagieuse, rapide et difficile à détecter dans les premiers stades" de la transmission, a déclaré Zhang Yan, responsable de la santé de la province de Jilin, lors d'une conférence de presse dimanche.
"Cela reflète également la montée rapide (...) du virus dans les différentes régions et le manque de (...) ressources médicales", provoquant des retards d'admission dans les hôpitaux et de traitement des patients, a-t-il ajouté.
Ce pic intervient alors que les cas échappent à tout contrôle dans le territoire de Hong Kong, dans le sud de la Chine, où des dizaines de milliers de cas sont recensés chaque jour et où les hôpitaux débordent de patients.
Les frontières de la Chine restent pratiquement fermées, les responsables politiques continuant à appliquer une approche de tolérance zéro à l'égard du virus.
Confinement, dépistage massif et traçage
La Chine, où le coronavirus a été détecté pour la première fois à la fin de l'année 2019, réagit aux foyers épidémiques par des confinements locaux, un dépistage de masse, et le contrôle de sa population par l'intermédiaire d'applications de traçage.
Ainsi, les autorités chinoises ont décidé, vendredi, de confiner les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun, dans le nord-est du pays, suite à une flambée épidémique. Elles ont appelé les habitants de "rester chez eux", où seule une personne par famille est autorisée à sortir, une fois tous les deux jours, a rapporté l'Associated Press. Et d'ajouter que tous les habitants devront se faire dépister. Les autorités concernées ont également ordonné la fermeture des écoles et des commerces ainsi que des transports publics.
La Chine a enregistré vendredi 397 nouveaux cas, dont 98 dans la province de Jilin, adjacente à la ville de Changchun, tandis que le nombre de cas a dépassé les 1100 cas dans toute la province, depuis le déclenchement de la dernière vague, il y a une semaine dernière.
Aussi, le maire de Jilin et le responsable santé de Changchun ont été démis de leurs fonctions samedi, ont rapporté les médias d'État.
Rappelons que les autorités chinoises ont annoncé ces derniers mois des mesures ciblées, imposant des confinements stricts à certains quartiers où des cas ont été signalés.
Jusqu'à vendredi, la Chine a fait état d'un bilan d'environ 112.940 cas, dont 4636 décès, et 103.280 guérisons, selon les données recueillies par le site web Worldometer.
Cela "montre que la propagation d'Omicron est (...) hautement contagieuse, rapide et difficile à détecter dans les premiers stades" de la transmission, a déclaré Zhang Yan, responsable de la santé de la province de Jilin, lors d'une conférence de presse dimanche.
"Cela reflète également la montée rapide (...) du virus dans les différentes régions et le manque de (...) ressources médicales", provoquant des retards d'admission dans les hôpitaux et de traitement des patients, a-t-il ajouté.
Ce pic intervient alors que les cas échappent à tout contrôle dans le territoire de Hong Kong, dans le sud de la Chine, où des dizaines de milliers de cas sont recensés chaque jour et où les hôpitaux débordent de patients.
Les frontières de la Chine restent pratiquement fermées, les responsables politiques continuant à appliquer une approche de tolérance zéro à l'égard du virus.
Confinement, dépistage massif et traçage
La Chine, où le coronavirus a été détecté pour la première fois à la fin de l'année 2019, réagit aux foyers épidémiques par des confinements locaux, un dépistage de masse, et le contrôle de sa population par l'intermédiaire d'applications de traçage.
Ainsi, les autorités chinoises ont décidé, vendredi, de confiner les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun, dans le nord-est du pays, suite à une flambée épidémique. Elles ont appelé les habitants de "rester chez eux", où seule une personne par famille est autorisée à sortir, une fois tous les deux jours, a rapporté l'Associated Press. Et d'ajouter que tous les habitants devront se faire dépister. Les autorités concernées ont également ordonné la fermeture des écoles et des commerces ainsi que des transports publics.
La Chine a enregistré vendredi 397 nouveaux cas, dont 98 dans la province de Jilin, adjacente à la ville de Changchun, tandis que le nombre de cas a dépassé les 1100 cas dans toute la province, depuis le déclenchement de la dernière vague, il y a une semaine dernière.
Aussi, le maire de Jilin et le responsable santé de Changchun ont été démis de leurs fonctions samedi, ont rapporté les médias d'État.
Rappelons que les autorités chinoises ont annoncé ces derniers mois des mesures ciblées, imposant des confinements stricts à certains quartiers où des cas ont été signalés.
Jusqu'à vendredi, la Chine a fait état d'un bilan d'environ 112.940 cas, dont 4636 décès, et 103.280 guérisons, selon les données recueillies par le site web Worldometer.