Selon le marché de l'assurance Lloyd's of London, l'impact du coronavirus pour les assureurs sera de 203 milliards de dollars cette année.
Le Lloyd's of London est un marché de l'assurance britannique créé en 1688, dans lequel des assureurs (les « membres ») qu'ils soient personnes physiques (traditionnellement connus sous l'appellation de Names (nom) ou personnes morales se réunissent pour assurer des risques conjointement.
Ces pertes (203 milliards) comprennent 107 milliards d'indemnisations (annulation d'événements ou assurance sur les voyages par exemple) et 96 milliards de moins-value sur les portefeuilles d'investissement, en raison de la chute des marchés financiers inquiets de la récession provoquée par la paralysie des économies.
«Le secteur de l'assurance dans le monde indemnise les entreprises et les personnes affectées par le Covid-19 en faisant marcher un grand nombre de couvertures différentes», explique John Neal, directeur général de Lloyd's of London, rapporte l'AFP.
Ce qui rend cette pandémie «unique», selon lui «c'est non seulement l'impact humain et social mais également le choc économique», avec une explosion du chômage, des faillites et un effondrement du produit intérieur brut dans de nombreux pays.
Le Lloyd's of London est un marché de l'assurance britannique créé en 1688, dans lequel des assureurs (les « membres ») qu'ils soient personnes physiques (traditionnellement connus sous l'appellation de Names (nom) ou personnes morales se réunissent pour assurer des risques conjointement.
Ces pertes (203 milliards) comprennent 107 milliards d'indemnisations (annulation d'événements ou assurance sur les voyages par exemple) et 96 milliards de moins-value sur les portefeuilles d'investissement, en raison de la chute des marchés financiers inquiets de la récession provoquée par la paralysie des économies.
«Le secteur de l'assurance dans le monde indemnise les entreprises et les personnes affectées par le Covid-19 en faisant marcher un grand nombre de couvertures différentes», explique John Neal, directeur général de Lloyd's of London, rapporte l'AFP.
Ce qui rend cette pandémie «unique», selon lui «c'est non seulement l'impact humain et social mais également le choc économique», avec une explosion du chômage, des faillites et un effondrement du produit intérieur brut dans de nombreux pays.