Au Royaume-Uni, confronté à une résurgence menaçant de submerger ses hôpitaux, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé un reconfinement en Angleterre à partir de jeudi et jusqu’au 2 décembre (sachant que le Pays de Galles était déjà confiné, et l’Irlande du Nord en confinement partiel).
Ecoles et universités resteront ouvertes, mais les déplacements sont sévèrement restreints, les habitants appelés à télétravailler, et seuls les pubs et restaurants proposant de la nourriture à emporter ou des livraisons pourront rester ouverts. La pandémie a fait au moins 46.555 morts au Royaume-Uni, pays le plus endeuillé en Europe, qui enregistre plus de 50.000 nouveaux cas par jour et a dépassé samedi le million de cas.
En Autriche, «un second confinement est mis en place à compter de mardi et ce jusqu’à fin novembre», a déclaré le chancelier Sebastian Kurz.
Le pays de 8,8 millions d’habitants enregistre désormais plus de 5.000 cas quotidiens, contre seulement 1.000 début octobre, pour 1.109 décès depuis l’émergence de la pandémie.
La France (plus de 36.500 morts), elle, s’est déjà reconfinée, jusqu’au 1er décembre. 35.641 nouveaux cas d’infection ont été enregistrés sur 24 heures, contre 49.215 la veille, portant le nombre de personnes contaminées à plus 1,3 million. L’épidémie y a d’ailleurs suspendu samedi soir le procès des attentats de janvier 2015 car le principal accusé a été testé positif au coronavirus.
La Belgique a annoncé vendredi un confinement plus sévère, et l’Allemagne a également durci les restrictions en place dans le pays pour ralentir la pandémie.
Sauver les fêtes de Noël
Le Portugal sera, lui, soumis à partir de mercredi à un reconfinement partiel concernant 70% de sa population, a annoncé samedi soir le Premier ministre Antonio Costa. La Grèce avait annoncé plus tôt dans la journée un confinement partiel d’un mois à Athènes et dans les autres grandes villes du pays à partir de mardi. Comme ailleurs, l’objectif est d’»essayer de sauver les fêtes de Noël», a expliqué le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.
En Italie, le gouvernement a imposé ces derniers jours ce que les médias qualifient de «semi-confinement»: un couvre-feu dans plusieurs grandes régions, la fermeture des bars et des restaurants à 18h00, ainsi que celle des salles de sport, de cinéma et de concert.
L’opposition aux restrictions a donné lieu à de nouveaux heurts samedi soir à Rome entre la police et des centaines de manifestants, après déjà des incidents similaires la veille à Florence et dans d’autres grandes villes ces derniers jours.
Afin d’assouplir les restrictions, la Slovaquie a, elle, choisi de lancer samedi un programme de dépistage du coronavirus au sein de l’ensemble de la population avec des tests antigéniques, une première mondiale, d’ores et déjà critiquée pour une mauvaise préparation.
Ecoles et universités resteront ouvertes, mais les déplacements sont sévèrement restreints, les habitants appelés à télétravailler, et seuls les pubs et restaurants proposant de la nourriture à emporter ou des livraisons pourront rester ouverts. La pandémie a fait au moins 46.555 morts au Royaume-Uni, pays le plus endeuillé en Europe, qui enregistre plus de 50.000 nouveaux cas par jour et a dépassé samedi le million de cas.
En Autriche, «un second confinement est mis en place à compter de mardi et ce jusqu’à fin novembre», a déclaré le chancelier Sebastian Kurz.
Le pays de 8,8 millions d’habitants enregistre désormais plus de 5.000 cas quotidiens, contre seulement 1.000 début octobre, pour 1.109 décès depuis l’émergence de la pandémie.
La France (plus de 36.500 morts), elle, s’est déjà reconfinée, jusqu’au 1er décembre. 35.641 nouveaux cas d’infection ont été enregistrés sur 24 heures, contre 49.215 la veille, portant le nombre de personnes contaminées à plus 1,3 million. L’épidémie y a d’ailleurs suspendu samedi soir le procès des attentats de janvier 2015 car le principal accusé a été testé positif au coronavirus.
La Belgique a annoncé vendredi un confinement plus sévère, et l’Allemagne a également durci les restrictions en place dans le pays pour ralentir la pandémie.
Sauver les fêtes de Noël
Le Portugal sera, lui, soumis à partir de mercredi à un reconfinement partiel concernant 70% de sa population, a annoncé samedi soir le Premier ministre Antonio Costa. La Grèce avait annoncé plus tôt dans la journée un confinement partiel d’un mois à Athènes et dans les autres grandes villes du pays à partir de mardi. Comme ailleurs, l’objectif est d’»essayer de sauver les fêtes de Noël», a expliqué le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.
En Italie, le gouvernement a imposé ces derniers jours ce que les médias qualifient de «semi-confinement»: un couvre-feu dans plusieurs grandes régions, la fermeture des bars et des restaurants à 18h00, ainsi que celle des salles de sport, de cinéma et de concert.
L’opposition aux restrictions a donné lieu à de nouveaux heurts samedi soir à Rome entre la police et des centaines de manifestants, après déjà des incidents similaires la veille à Florence et dans d’autres grandes villes ces derniers jours.
Afin d’assouplir les restrictions, la Slovaquie a, elle, choisi de lancer samedi un programme de dépistage du coronavirus au sein de l’ensemble de la population avec des tests antigéniques, une première mondiale, d’ores et déjà critiquée pour une mauvaise préparation.