AVarsovie, l’obligation de porter des masques dans tous les espaces publics à partir de ce samedi passe mal. Des Polonais manifestent contre la décision, annoncée après un nouveau record quotidien de cas de coronavirus, la maladie a causé 2.867 décès en 2020.
Selon les autorités la Pologne a «environ 500 respirateurs de rechange», et au niveau national, 60 % des lits assignés aux patients atteints de Covid-19 sont encore libres. Les médias indiquent cependant que les capacités en lits sont épuisées dans les régions les plus touchées du pays.
Confrontées à une hausse inquiétante des infections, de grandes villes allemandes, dont Berlin, ont imposé des restrictions nocturnes aux bars et restaurants à partir de samedi.
Nouvelles restrictions au Royaume-Uni
En Grande-Bretagne, plusieurs élus expriment leur colère deux jours avant les nouvelles restrictions qui doivent être annoncées par le gouvernement. Les bars pourraient fermer.
La propagation du virus s’est accélérée ces derniers jours, la ville de Nottingham est la plus touchée par un virus qui a fait au total dans le pays 42 000 morts, chiffre le plus élevé de l’UE. Le gouvernement promet de verser deux tiers des salaires à ceux qui sont momentanément au chômage partiel ou total.
En Italie, le gouvernement impose le port du masque dehors. Pour la première fois depuis la première vague, les autorités avertissent que le système de santé est confronté à des «problèmes critiques importants» alors que les hôpitaux se remplissent.
A Rome deux manifestations s’étaient déroulées contre le port du masque dehors. La première réunissant quelques centaines de néo-fascistes, la seconde un millier de diverses personnes.
Ces dernières, des complotistes, des anti-vaccins, s’étaient données rendez-vous sur la grande place de San Giovanni, dans le centre de Rome, pour une «Marche de la libération».
«Nous n’avons toujours pas un protocole de soins pour la maladie. On improvise, chaque autorité régionale improvise», les vingt régions italiennes étant chacune responsable de manière autonome dans le domaine sanitaire, a déclaré à l’AFPTV Fabrizio Crisci, un manifestant venu de Caserte (Sud).
«Naturellement il y a le virus, mais d’un point de vue politique et philosophique ils (le gouvernement, ndlr) exagèrent», estime Giulio Lessi, tandis que Paolo Dalle Luche «veut s’opposer aux mesures que ce gouvernement prend».
Le gouvernement italien a décidé de rendre obligatoire le port du masque dans toutes les circonstances et lieux en-dehors de son propre domicile et a prolongé l’état d’urgence en raison de l’épidémie de Covid-19 jusqu’au 31 janvier.
Premier pays touché en Europe, l’Italie a payé un lourd tribut à l’épidémie et a dépassé les 36.000 morts, avec environ 350.000 cas diagnostiqués depuis le début de l’épidémie. Elle enregistre dernièrement une recrudescence de cas avec 5.724 nouveaux cas et 29 décès vendredi.
«Le masque est un symbole de soumission»
«Je ne suis pas négationniste, je suis ici car je ne veux pas la dictature», proclamait une pancarte. D’autres disaient «Stop 5G», «Italexit» ou «In Trump we trust» (Nous croyons en Trump), le président américain connu pour son scepticisme sur l’utilité du port du masque.
La deuxième manifestation, organisée par le groupuscule d’extrême-droite néofasciste Forza Nuova, a réuni quelques centaines de personnes sur une autre place, plus petite, du centre de Rome.
«Le masque est un symbole de soumission», a affirmé à des journalistes un manifestant. «Ils (les autorités, ndlr) ont fait mourir 35.000 personnes et ils n’ont même pas fait d’autopsie», a-t-il ajouté.
Rome a déjà connu début septembre une manifestation similaire avec un millier de personnes environ qui protestaient contre le port du masque ou l’obligation de vacciner les enfants en âge scolaire.
Selon les autorités la Pologne a «environ 500 respirateurs de rechange», et au niveau national, 60 % des lits assignés aux patients atteints de Covid-19 sont encore libres. Les médias indiquent cependant que les capacités en lits sont épuisées dans les régions les plus touchées du pays.
Confrontées à une hausse inquiétante des infections, de grandes villes allemandes, dont Berlin, ont imposé des restrictions nocturnes aux bars et restaurants à partir de samedi.
Nouvelles restrictions au Royaume-Uni
En Grande-Bretagne, plusieurs élus expriment leur colère deux jours avant les nouvelles restrictions qui doivent être annoncées par le gouvernement. Les bars pourraient fermer.
La propagation du virus s’est accélérée ces derniers jours, la ville de Nottingham est la plus touchée par un virus qui a fait au total dans le pays 42 000 morts, chiffre le plus élevé de l’UE. Le gouvernement promet de verser deux tiers des salaires à ceux qui sont momentanément au chômage partiel ou total.
En Italie, le gouvernement impose le port du masque dehors. Pour la première fois depuis la première vague, les autorités avertissent que le système de santé est confronté à des «problèmes critiques importants» alors que les hôpitaux se remplissent.
A Rome deux manifestations s’étaient déroulées contre le port du masque dehors. La première réunissant quelques centaines de néo-fascistes, la seconde un millier de diverses personnes.
Ces dernières, des complotistes, des anti-vaccins, s’étaient données rendez-vous sur la grande place de San Giovanni, dans le centre de Rome, pour une «Marche de la libération».
«Nous n’avons toujours pas un protocole de soins pour la maladie. On improvise, chaque autorité régionale improvise», les vingt régions italiennes étant chacune responsable de manière autonome dans le domaine sanitaire, a déclaré à l’AFPTV Fabrizio Crisci, un manifestant venu de Caserte (Sud).
«Naturellement il y a le virus, mais d’un point de vue politique et philosophique ils (le gouvernement, ndlr) exagèrent», estime Giulio Lessi, tandis que Paolo Dalle Luche «veut s’opposer aux mesures que ce gouvernement prend».
Le gouvernement italien a décidé de rendre obligatoire le port du masque dans toutes les circonstances et lieux en-dehors de son propre domicile et a prolongé l’état d’urgence en raison de l’épidémie de Covid-19 jusqu’au 31 janvier.
Premier pays touché en Europe, l’Italie a payé un lourd tribut à l’épidémie et a dépassé les 36.000 morts, avec environ 350.000 cas diagnostiqués depuis le début de l’épidémie. Elle enregistre dernièrement une recrudescence de cas avec 5.724 nouveaux cas et 29 décès vendredi.
«Le masque est un symbole de soumission»
«Je ne suis pas négationniste, je suis ici car je ne veux pas la dictature», proclamait une pancarte. D’autres disaient «Stop 5G», «Italexit» ou «In Trump we trust» (Nous croyons en Trump), le président américain connu pour son scepticisme sur l’utilité du port du masque.
La deuxième manifestation, organisée par le groupuscule d’extrême-droite néofasciste Forza Nuova, a réuni quelques centaines de personnes sur une autre place, plus petite, du centre de Rome.
«Le masque est un symbole de soumission», a affirmé à des journalistes un manifestant. «Ils (les autorités, ndlr) ont fait mourir 35.000 personnes et ils n’ont même pas fait d’autopsie», a-t-il ajouté.
Rome a déjà connu début septembre une manifestation similaire avec un millier de personnes environ qui protestaient contre le port du masque ou l’obligation de vacciner les enfants en âge scolaire.