Moins de 500.000 personnes vaccinées en France, plus de 3,8 millions au Royaume-Uni. Depuis hier lundi, tous les plus de 75 ans et les personnes les plus à risques peuvent en théorie se faire vacciner en France, soit 6,4 millions de personnes. En pratique, il faudra faire preuve de patience. Les listes d’attente sont longues.
Après un démarrage laborieux, les autorités françaises tentent de passer la vitesse supérieure dans leur campagne de lutte contre le Covid-19. Dimanche soir, moins de 500.000 personnes avaient reçu une première injection dans le pays. Le gouvernement espère monter ce chiffre à un million d’ici la fin du mois.
Côté doses, après l’annonce d’une baisse de cadence, Pfizer a évoqué un «plan» pour accélérer la production et revenir au calendrier initial de livraisons pour l’Union européenne dès la semaine prochaine.
Italie et Espagne déjà à la 2ème dose
En Italie voisine, un million de personnes a déjà reçu une première injection, et la deuxième commence à être administrée. Rome a concentré ses efforts en priorité sur le personnel sanitaire.
«Avec la première dose, je n’ai pas eu d’effets secondaires, et je viens juste de recevoir la seconde. Je n’ai rien senti du tout. Il faut juste attendre une quinzaine de minutes pour surveiller les réactions et on rentre à la maison», explique Valeria Converti, une docteure qui vient de recevoir sa deuxième dose vaccinale.
En Espagne, on a également débuté les deuxièmes injections. Une résidente de 85 ans d’une maison de retraite en Catalogne a été la première à la recevoir. Les autorités qui utilisent aussi le vaccin Moderna, promettent que d’ici cet été 7 Espagnols sur 10 auront été vaccinés.
En Norvège, d’éventuels effets secondaires sur certains publics sont désormais pris en compte. Après le décès de treize personnes âgées et malades, l’Institut de santé publique recommande une évaluation approfondie des avantages et inconvénients de la vaccination chez les personnes les plus fragiles ou en fin de vie.
«Nous ne sommes pas inquiets. Il est tout à fait clair que ces vaccins présentent très peu de risques, à l’exception minime des patients les plus fragiles. Sinon nous ne voyons aucun problème à continuer les vaccinations», a déclaré un responsable de l’Agence norvégienne des médicaments, Steinar Madsen.
Premier pays à avoir débuté le processus, le Royaume-Uni a lui déjà administré plus de 3,8 millions de doses. Après les plus de 80 ans et le personnel de santé, ce lundi la campagne s’élargit au plus de 70 ans et aux personnes très vulnérables.
Le pays frappé par un variant très contagieux du virus est celui en Europe où le bilan est le plus lourd avec plus de 89.000 décès.
Après un démarrage laborieux, les autorités françaises tentent de passer la vitesse supérieure dans leur campagne de lutte contre le Covid-19. Dimanche soir, moins de 500.000 personnes avaient reçu une première injection dans le pays. Le gouvernement espère monter ce chiffre à un million d’ici la fin du mois.
Côté doses, après l’annonce d’une baisse de cadence, Pfizer a évoqué un «plan» pour accélérer la production et revenir au calendrier initial de livraisons pour l’Union européenne dès la semaine prochaine.
Italie et Espagne déjà à la 2ème dose
En Italie voisine, un million de personnes a déjà reçu une première injection, et la deuxième commence à être administrée. Rome a concentré ses efforts en priorité sur le personnel sanitaire.
«Avec la première dose, je n’ai pas eu d’effets secondaires, et je viens juste de recevoir la seconde. Je n’ai rien senti du tout. Il faut juste attendre une quinzaine de minutes pour surveiller les réactions et on rentre à la maison», explique Valeria Converti, une docteure qui vient de recevoir sa deuxième dose vaccinale.
En Espagne, on a également débuté les deuxièmes injections. Une résidente de 85 ans d’une maison de retraite en Catalogne a été la première à la recevoir. Les autorités qui utilisent aussi le vaccin Moderna, promettent que d’ici cet été 7 Espagnols sur 10 auront été vaccinés.
En Norvège, d’éventuels effets secondaires sur certains publics sont désormais pris en compte. Après le décès de treize personnes âgées et malades, l’Institut de santé publique recommande une évaluation approfondie des avantages et inconvénients de la vaccination chez les personnes les plus fragiles ou en fin de vie.
«Nous ne sommes pas inquiets. Il est tout à fait clair que ces vaccins présentent très peu de risques, à l’exception minime des patients les plus fragiles. Sinon nous ne voyons aucun problème à continuer les vaccinations», a déclaré un responsable de l’Agence norvégienne des médicaments, Steinar Madsen.
Premier pays à avoir débuté le processus, le Royaume-Uni a lui déjà administré plus de 3,8 millions de doses. Après les plus de 80 ans et le personnel de santé, ce lundi la campagne s’élargit au plus de 70 ans et aux personnes très vulnérables.
Le pays frappé par un variant très contagieux du virus est celui en Europe où le bilan est le plus lourd avec plus de 89.000 décès.