WhatsApp confirme avoir réussi à endiguer la propagation de messages viraux sur sa plateforme qui circulent à propos du coronavirus dans le monde. C'est ce qu'a déclaré, en tout cas, une porte-parole de la plateforme de messagerie au site d'information économique Business Insider. « Depuis la mise en place de cette nouvelle limite, il y a eu globalement une réduction de 70% du nombre de messages transférés en masse et envoyés sur WhatsApp. Ce changement contribue à maintenir WhatsApp comme un lieu de conversations personnelles et privées », a-t-elle souligné.
Pour rappel, le service de messagerie privé a annoncé début avril qu’elle allait limiter les transferts massifs de messages afin d'endiguer la propagation de fausses informations qui circulent à propos du coronavirus dans le monde. Plus précisément, WhatsApp a fixé une nouvelle limite aux messages «fréquemment transférés» — définis comme des messages qui ont déjà été transférés cinq fois. Ce changement signifie que ces messages ne peuvent être transférés qu'à une seule conversation de groupe à la fois, et non plus en masse.
« Nous avons également remarqué une hausse significative des transferts de messages, que les utilisateurs trouvent trop nombreux d’après leurs témoignages, et qui peuvent contribuer à la propagation de fausses informations. Nous pensons qu’il est important de ralentir la diffusion de ces messages pour que WhatsApp reste une application de conversation personnelle» a déclaré WhatsApp dans un billet de blog le 7 avril.
Un réseau de fact-checkers (vérificateurs des faits) a été alors mis en place à travers le monde. Il s’agit d’organes de presse spécialisés qui partagent leurs conclusions sur des informations leur paraissant louches ou imprécises.
La branche de Facebook avait, de son côté, déjà ajouté une icône en forme de «double flèche» pour signaler un message ne provenant pas d’un contact direct et ayant été partagé avec au moins cinq autres utilisateurs. «Cela avait alors permis de réduire de 25 % les transferts de message dans le monde entier», explique WhatsApp.
Pour rappel, le service de messagerie privé a annoncé début avril qu’elle allait limiter les transferts massifs de messages afin d'endiguer la propagation de fausses informations qui circulent à propos du coronavirus dans le monde. Plus précisément, WhatsApp a fixé une nouvelle limite aux messages «fréquemment transférés» — définis comme des messages qui ont déjà été transférés cinq fois. Ce changement signifie que ces messages ne peuvent être transférés qu'à une seule conversation de groupe à la fois, et non plus en masse.
« Nous avons également remarqué une hausse significative des transferts de messages, que les utilisateurs trouvent trop nombreux d’après leurs témoignages, et qui peuvent contribuer à la propagation de fausses informations. Nous pensons qu’il est important de ralentir la diffusion de ces messages pour que WhatsApp reste une application de conversation personnelle» a déclaré WhatsApp dans un billet de blog le 7 avril.
Un réseau de fact-checkers (vérificateurs des faits) a été alors mis en place à travers le monde. Il s’agit d’organes de presse spécialisés qui partagent leurs conclusions sur des informations leur paraissant louches ou imprécises.
La branche de Facebook avait, de son côté, déjà ajouté une icône en forme de «double flèche» pour signaler un message ne provenant pas d’un contact direct et ayant été partagé avec au moins cinq autres utilisateurs. «Cela avait alors permis de réduire de 25 % les transferts de message dans le monde entier», explique WhatsApp.