Cet encours se répartit sur les agents non financiers avec 947,4 MMDH et les agents financiers (173,7 MMDH), précise BAM dans son récent tableau de bord "Crédits-Dépôts bancaires".
Le crédit aux entreprises non financières privées a marqué, en glissement annuel, une hausse de 1,5% reflétant la progression de 6,9% des crédits à l’équipement et de 0,2% des facilités de trésorerie. Dans le même sens, les prêts à la promotion immobilière se sont accrus de 4,5%.
Selon l’enquête sur les conditions d’octroi de crédit au titre du troisième trimestre (T3) de 2024, les critères auraient été maintenus inchangés pour les crédits de trésorerie et à l’équipement et se seraient assouplis pour les prêts à la promotion immobilière.
Ces constats sont valables aussi bien pour les prêts aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) que pour ceux aux grandes entreprises (GE). Pour ce qui est de la demande, les banques déclarent une hausse pour tous les objets de crédit et pour toutes les tailles d’entreprises, GE et TPME.
L’enquête de conjoncture de BAM indique que l’accès au financement bancaire, au T3-2024, a été jugé "normal" par les industriels. Par ailleurs, le coût du crédit aurait été en stagnation selon 83% des entreprises industrielles.
Concernant les crédits accordés aux ménages, ils ont enregistré une hausse annuelle de 1%, en lien principalement avec la hausse de 1,6% aussi bien des prêts à l'habitat que des prêts à la consommation.
Le financement participatif destiné à l’habitat, sous forme notamment de Mourabaha immobilière, a poursuivi sa progression et s’est établi à 24,1 MMDH après 21,1 MMDH une année auparavant.
Au T3-2024, les banques indiquent des critères d’octroi inchangés aussi bien pour les prêts à l’habitat que pour ceux à la consommation.
Pour la demande, elle aurait augmenté, tant pour les prêts à la consommation que pour ceux à l'habitat.
Pour ce qui est des taux appliqués aux nouveaux crédits, ils ressortent, au T3-2024, globalement en quasi-stagnation à 5,92%, avec un repli à 4,76% pour les prêts à l’habitat et une hausse à 7,06% pour les crédits à la consommation.
Le crédit aux entreprises non financières privées a marqué, en glissement annuel, une hausse de 1,5% reflétant la progression de 6,9% des crédits à l’équipement et de 0,2% des facilités de trésorerie. Dans le même sens, les prêts à la promotion immobilière se sont accrus de 4,5%.
Selon l’enquête sur les conditions d’octroi de crédit au titre du troisième trimestre (T3) de 2024, les critères auraient été maintenus inchangés pour les crédits de trésorerie et à l’équipement et se seraient assouplis pour les prêts à la promotion immobilière.
Ces constats sont valables aussi bien pour les prêts aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) que pour ceux aux grandes entreprises (GE). Pour ce qui est de la demande, les banques déclarent une hausse pour tous les objets de crédit et pour toutes les tailles d’entreprises, GE et TPME.
L’enquête de conjoncture de BAM indique que l’accès au financement bancaire, au T3-2024, a été jugé "normal" par les industriels. Par ailleurs, le coût du crédit aurait été en stagnation selon 83% des entreprises industrielles.
Concernant les crédits accordés aux ménages, ils ont enregistré une hausse annuelle de 1%, en lien principalement avec la hausse de 1,6% aussi bien des prêts à l'habitat que des prêts à la consommation.
Le financement participatif destiné à l’habitat, sous forme notamment de Mourabaha immobilière, a poursuivi sa progression et s’est établi à 24,1 MMDH après 21,1 MMDH une année auparavant.
Au T3-2024, les banques indiquent des critères d’octroi inchangés aussi bien pour les prêts à l’habitat que pour ceux à la consommation.
Pour la demande, elle aurait augmenté, tant pour les prêts à la consommation que pour ceux à l'habitat.
Pour ce qui est des taux appliqués aux nouveaux crédits, ils ressortent, au T3-2024, globalement en quasi-stagnation à 5,92%, avec un repli à 4,76% pour les prêts à l’habitat et une hausse à 7,06% pour les crédits à la consommation.