Après avoir envoyé un courrier au Ministre, le 18 mars dernier, relatif aux mesures devant êtres prises pour atténuer les effets néfastes de l’épidémie du coronavirus sur la croissance de l'économie, le président de l'Union Générale des Entreprises et des Professions (UGEP), M. Moulay Ahmed Afilal, a publié un communiqué, ce vendredi 3 avril, dans le but de sensibiliser, au nom de l'UGEP, l'ensemble des membres du Comité de Veille Economique (CVE), présidé par le Ministre de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’Administration sur la situation des chauffeurs de taxi dans les centres urbains.
Dans son communiqué, le président de l’UGEP a précisé que plus de 200.000 chauffeurs de taxis se sont vus du fait de l'obligation de confinement sanitaire signifier un arrêt de travail dans la majorité des villes, sans possibilité d'avoir un revenu quotidien pour subvenir à leurs besoins et ceux de leurs familles, sans oublier les charges auxquelles ils doivent faire face (location de l'agrément, loyer, électricité et eau, crédits, dépenses de santé…).
L’UGEP a rappelé ensuite que ces chauffeurs de taxi disposent d'un permis de confiance délivré par les autorités, d'une carte professionnelle et ont tous subi une formation qualifiante sur la sécurité routière, ce qui rend inadmissible le fait qu'ils soient soient exclus de ces mesures et considérés comme travaillant dans le secteur informel.
Malgré tout, l'UGEP demande sur cette même base au CVE de prendre en compte les soucis de cette catégorie de travailleurs afin de les faire bénéficier de l'aide mise en place par l'Etat au profit de la population travaillant dans les secteurs informels et n'ayant pas de carte RAMED.
Dans son communiqué, le président de l’UGEP a précisé que plus de 200.000 chauffeurs de taxis se sont vus du fait de l'obligation de confinement sanitaire signifier un arrêt de travail dans la majorité des villes, sans possibilité d'avoir un revenu quotidien pour subvenir à leurs besoins et ceux de leurs familles, sans oublier les charges auxquelles ils doivent faire face (location de l'agrément, loyer, électricité et eau, crédits, dépenses de santé…).
L’UGEP a rappelé ensuite que ces chauffeurs de taxi disposent d'un permis de confiance délivré par les autorités, d'une carte professionnelle et ont tous subi une formation qualifiante sur la sécurité routière, ce qui rend inadmissible le fait qu'ils soient soient exclus de ces mesures et considérés comme travaillant dans le secteur informel.
Malgré tout, l'UGEP demande sur cette même base au CVE de prendre en compte les soucis de cette catégorie de travailleurs afin de les faire bénéficier de l'aide mise en place par l'Etat au profit de la population travaillant dans les secteurs informels et n'ayant pas de carte RAMED.