L’observateur non averti verrait dans l’extrême fermeté du Maroc vis-à-vis de certaines puissances européennes, une forme de hardiesse irréfléchie qui pourrait avoir de graves répercussions politiques et économiques. Mais ce serait oublier que lorsqu’il s’agit de questions aussi vitales pour sa stabilité sociale et politique que ne l’est son intégrité territoriale, le Royaume qui est pourtant connu pour être un pays modéré et de tempérance, a toujours privilégié une attitude offensive, toute en audace et en fermeté.
Les exemples de cette constante de la politique étrangère marocaine sont nombreux qui attestent qu’à chaque fois qu’une puissance, réelle ou supposée, a tenté par quelque moyen que ce soit de s’immiscer dans des affaires internes ayant trait à notre souveraineté et à notre intégrité territoriale, la réponse du Maroc a toujours été d’une extrême fermeté. Et advienne que pourra !
Depuis la France de François Hollande, dont des policiers avaient osé profaner l’immunité de l’ambassade du Royaume à Paris, en passant par la Suède qui avait menacé de reconnaître la république chimérique de la RASD avant de se raviser, et l’Allemagne d’Angela Merkel qui a multiplié les manœuvres malveillantes dans les coulisses, jusqu’à l’Espagne de Pédro Sanchez qui s’est compromise dans une vulgaire opération de recel de malfaiteur avec la complicité de l’Algérie, la position du Maroc, faite de fermeté et d’audace, n’a pas changé d’un iota durant la dernière décennie, comme depuis des siècles.
Car n’en déplaise à Nasser Bourita, notre ministre des Affaires Etrangères qui vient de déclarer que le «Maroc d’aujourd’hui, n’est pas celui d’hier», cette posture, souveraine et légitime, s’inscrit au contraire, en droite lignée d’une longue histoire de succès militaires, politiques et diplomatiques engrangés justement grâce à cette attitude audacieuse et volontariste que le Maroc, en sa qualité d’Etat Nation riche d’une histoire millénaire, cultive depuis toujours.
Comment qualifier, sinon, des victoires militaires et politiques aussi audacieuses et éclatantes que celle de la bataille de Oued Al Makhazine en 1578, celle d’Anoual en 1921, ainsi que la Marche Verte en 1975, puis la récupération de Oued-Eddahab en 1979 ?
Les exemples de cette constante de la politique étrangère marocaine sont nombreux qui attestent qu’à chaque fois qu’une puissance, réelle ou supposée, a tenté par quelque moyen que ce soit de s’immiscer dans des affaires internes ayant trait à notre souveraineté et à notre intégrité territoriale, la réponse du Maroc a toujours été d’une extrême fermeté. Et advienne que pourra !
Depuis la France de François Hollande, dont des policiers avaient osé profaner l’immunité de l’ambassade du Royaume à Paris, en passant par la Suède qui avait menacé de reconnaître la république chimérique de la RASD avant de se raviser, et l’Allemagne d’Angela Merkel qui a multiplié les manœuvres malveillantes dans les coulisses, jusqu’à l’Espagne de Pédro Sanchez qui s’est compromise dans une vulgaire opération de recel de malfaiteur avec la complicité de l’Algérie, la position du Maroc, faite de fermeté et d’audace, n’a pas changé d’un iota durant la dernière décennie, comme depuis des siècles.
Car n’en déplaise à Nasser Bourita, notre ministre des Affaires Etrangères qui vient de déclarer que le «Maroc d’aujourd’hui, n’est pas celui d’hier», cette posture, souveraine et légitime, s’inscrit au contraire, en droite lignée d’une longue histoire de succès militaires, politiques et diplomatiques engrangés justement grâce à cette attitude audacieuse et volontariste que le Maroc, en sa qualité d’Etat Nation riche d’une histoire millénaire, cultive depuis toujours.
Comment qualifier, sinon, des victoires militaires et politiques aussi audacieuses et éclatantes que celle de la bataille de Oued Al Makhazine en 1578, celle d’Anoual en 1921, ainsi que la Marche Verte en 1975, puis la récupération de Oued-Eddahab en 1979 ?
Majd El Atouabi