L’un des fiefs électoraux du Parti de l’Istiqlal, la région Dakhla-Oued Ed-Dahab a connu un essor sans précédent durant ces dernières années, grâce aux multiples projets de méga-infrastructures qui y ont été mis en place ou lancés, faisant d’elle l’une des potentielles portes d’entrée des investissements vers l’Afrique subsaharienne dans les années à venir. En témoignent le rayonnement diplomatique de la ville qui a vu plusieurs pays ouvrir leurs consulats sur son sol et la volonté des Etats-Unis d’y installer une antenne dédiée exclusivement au soutien des investisseurs en Afrique.
Conscient de ces enjeux, le Parti de l’Istiqlal compte capitaliser sur ces acquis pour redonner un nouveau souffle à la « Perle du Sahara », comme on la surnomme, et ce après avoir présidé le Conseil de la région en la personne de l’istiqlalien Yenja El Khattat. Ce dernier brigue un nouveau mandat à la tête du Conseil pour poursuivre la politique de développement engagée il y a quelques années.
Durant ses meetings, le candidat istiqlalien fait part de son intime conviction de la grande place qu’occupe le parti de la Balance dans le coeur des habitants des provinces du Sud, notamment de la région de Dakhla, grâce au bilan satisfaisant de la gestion de la région.
Priorité au social
Partant de son bilan de gestion de la région, le Parti de l’Istiqlal, comme c’est le cas des autres régions, veut gérer celle de Dakhla-Oued Ed-Dahab par la même logique de son programme national. Ceci dit, la justice sociale et le renforcement du secteur public sont les mots d’ordre de sa stratégie.
M. El Khattat s’est engagé à améliorer l’accès des habitants aux services sociaux telles que l’éducation des enfants issus des familles précaires et la Santé de proximité, promettant plus d’investissements. S’agissant du logement, l’Istiqlal fixe l’objectif de mettre en place 1600 logements sociaux d’ici cinq ans.
Ces projets seront répartis sur quatre communes, à savoir El Argoub, Bir El Gandouz, Bir Anzerane et Imlili. Le parti vise également d’allouer un budget de 20,5 millions de dirhams à la construction de nouveaux complexes d’habitations dans la ville de Dakhla.
Concernant la gestion urbaine, le programme istiqlalien vise à accorder plus d’attention à l’aménagement du territoire et à la politique de ville, de sorte à engager plus de moyens dans les espaces verts, le traitement des déchets et le réseau d’assainissement et de la distribution de l’eau et de l’électricité. Idem pour le sport, sachant que le président du Conseil régional actuel veut investir davantage dans les centres et terrains sportifs de proximité.
Pour ce qui est de la Santé, le candidat istiqlalien entend bien continuer la concrétisation du grand projet de la Polyclinique internationale de Dakhla, dont les travaux vont commencer prochainement. Ce projet est élaboré dans le cadre d’un partenariat entre les autorités de la Région et le groupe « NAMAT INTERNATIONAL ». Il s’agit d’un projet d’envergure dont la vocation est de permettre aux habitants de la région de se faire soigner localement sans éprouver le besoin d’aller dans les grandes villes du Royaume à la recherche d’un CHU.
Par ailleurs, le dynamisme économique figure parmi les priorités de l’Istiqlal et notamment de Yenja El Khattat. Ce dernier veut réaménager le marché d’El Massira, promettant de le moderniser et d'aider les commerçants à y développer leurs activités.
« Je suis convaincu que les citoyens de Dakhla méritent un marché mieux équipé et mieux entretenu que celui devant nos yeux », a-t-il indiqué à la chaîne locale du Parti de l’Istiqlal, réaffirmant son engagement de transformer le marché en une nouvelle plateforme commerciale, digne des espérances des habitants.
Vers un sursaut de la région
Aspirant à réaliser un sursaut de la région, le Parti de l’Istiqlal fixe un objectif ambitieux, celui de remporter à la fois la présidence du Conseil régional, le Conseil municipal de Dakhla et les autres communes de la Région, confie Yanja El Khattat. Ceci permettra d’harmoniser et faciliter la coopération entre les autorités régionales et les collectivités locales.
Une région à grand potentiel de développement
Lorsqu’on parle de Dakhla, on parle d’une région vouée à devenir un Hub économique dans les provinces du Sahara et un carrefour de passage des investisseurs et des flux commerciaux vers la Mauritanie et les pays d’Afrique subsaharienne.
Dotée de 150.000 habitants, qui participent à 2% du PIB, la région de Dakhla s’apprête à accueillir des projets d’infrastructures gigantesques tel que le Port Dakhla Atlantique, dont les travaux débuteront prochainement, selon Yanja El Khattat qui nous avait indiqué dans une interview précédente que la présélection de la société délégataire a eu lieu en avril dernier.
La finalisation de ce projet devrait hisser la région en une plateforme d’exportation de toute la région du Sahara. S’ajoute à cela la voie express Dakhla-Tiznit, dont les travaux ont avancé de 33%. Cette autoroute, qui s’étend sur 1.055 km, nécessitera un investissement d’environ 10 milliards de dirhams.
Selon Omar El Alaoui Balrhiti, Vice-président du Conseil Régional du Tourisme Dakhla-Oued Eddahab, après l’installation de plusieurs représentations diplomatiques à Dakhla et la reconnaissance par les USA de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, la région Dakhla-Oued Eddahab est devenue un hub de croissance pour les entreprises internationales qui souhaitent se développer dans cette partie du continent, vu sa position géographique avantageuse qui lui confère le rôle de pivot et de plateforme d’échanges entre le Maroc et l’Europe via l’océan Atlantique, d’une part, et entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne via la Mauritanie, d’autre part.
Conscient de ces enjeux, le Parti de l’Istiqlal compte capitaliser sur ces acquis pour redonner un nouveau souffle à la « Perle du Sahara », comme on la surnomme, et ce après avoir présidé le Conseil de la région en la personne de l’istiqlalien Yenja El Khattat. Ce dernier brigue un nouveau mandat à la tête du Conseil pour poursuivre la politique de développement engagée il y a quelques années.
Durant ses meetings, le candidat istiqlalien fait part de son intime conviction de la grande place qu’occupe le parti de la Balance dans le coeur des habitants des provinces du Sud, notamment de la région de Dakhla, grâce au bilan satisfaisant de la gestion de la région.
Priorité au social
Partant de son bilan de gestion de la région, le Parti de l’Istiqlal, comme c’est le cas des autres régions, veut gérer celle de Dakhla-Oued Ed-Dahab par la même logique de son programme national. Ceci dit, la justice sociale et le renforcement du secteur public sont les mots d’ordre de sa stratégie.
M. El Khattat s’est engagé à améliorer l’accès des habitants aux services sociaux telles que l’éducation des enfants issus des familles précaires et la Santé de proximité, promettant plus d’investissements. S’agissant du logement, l’Istiqlal fixe l’objectif de mettre en place 1600 logements sociaux d’ici cinq ans.
Ces projets seront répartis sur quatre communes, à savoir El Argoub, Bir El Gandouz, Bir Anzerane et Imlili. Le parti vise également d’allouer un budget de 20,5 millions de dirhams à la construction de nouveaux complexes d’habitations dans la ville de Dakhla.
Concernant la gestion urbaine, le programme istiqlalien vise à accorder plus d’attention à l’aménagement du territoire et à la politique de ville, de sorte à engager plus de moyens dans les espaces verts, le traitement des déchets et le réseau d’assainissement et de la distribution de l’eau et de l’électricité. Idem pour le sport, sachant que le président du Conseil régional actuel veut investir davantage dans les centres et terrains sportifs de proximité.
Pour ce qui est de la Santé, le candidat istiqlalien entend bien continuer la concrétisation du grand projet de la Polyclinique internationale de Dakhla, dont les travaux vont commencer prochainement. Ce projet est élaboré dans le cadre d’un partenariat entre les autorités de la Région et le groupe « NAMAT INTERNATIONAL ». Il s’agit d’un projet d’envergure dont la vocation est de permettre aux habitants de la région de se faire soigner localement sans éprouver le besoin d’aller dans les grandes villes du Royaume à la recherche d’un CHU.
Par ailleurs, le dynamisme économique figure parmi les priorités de l’Istiqlal et notamment de Yenja El Khattat. Ce dernier veut réaménager le marché d’El Massira, promettant de le moderniser et d'aider les commerçants à y développer leurs activités.
« Je suis convaincu que les citoyens de Dakhla méritent un marché mieux équipé et mieux entretenu que celui devant nos yeux », a-t-il indiqué à la chaîne locale du Parti de l’Istiqlal, réaffirmant son engagement de transformer le marché en une nouvelle plateforme commerciale, digne des espérances des habitants.
Vers un sursaut de la région
Aspirant à réaliser un sursaut de la région, le Parti de l’Istiqlal fixe un objectif ambitieux, celui de remporter à la fois la présidence du Conseil régional, le Conseil municipal de Dakhla et les autres communes de la Région, confie Yanja El Khattat. Ceci permettra d’harmoniser et faciliter la coopération entre les autorités régionales et les collectivités locales.
Une région à grand potentiel de développement
Lorsqu’on parle de Dakhla, on parle d’une région vouée à devenir un Hub économique dans les provinces du Sahara et un carrefour de passage des investisseurs et des flux commerciaux vers la Mauritanie et les pays d’Afrique subsaharienne.
Dotée de 150.000 habitants, qui participent à 2% du PIB, la région de Dakhla s’apprête à accueillir des projets d’infrastructures gigantesques tel que le Port Dakhla Atlantique, dont les travaux débuteront prochainement, selon Yanja El Khattat qui nous avait indiqué dans une interview précédente que la présélection de la société délégataire a eu lieu en avril dernier.
La finalisation de ce projet devrait hisser la région en une plateforme d’exportation de toute la région du Sahara. S’ajoute à cela la voie express Dakhla-Tiznit, dont les travaux ont avancé de 33%. Cette autoroute, qui s’étend sur 1.055 km, nécessitera un investissement d’environ 10 milliards de dirhams.
Selon Omar El Alaoui Balrhiti, Vice-président du Conseil Régional du Tourisme Dakhla-Oued Eddahab, après l’installation de plusieurs représentations diplomatiques à Dakhla et la reconnaissance par les USA de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, la région Dakhla-Oued Eddahab est devenue un hub de croissance pour les entreprises internationales qui souhaitent se développer dans cette partie du continent, vu sa position géographique avantageuse qui lui confère le rôle de pivot et de plateforme d’échanges entre le Maroc et l’Europe via l’océan Atlantique, d’une part, et entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne via la Mauritanie, d’autre part.
Anass MACHLOUKH