En dépit des impacts de la pandémie de Covid-19 sur la performance de plusieurs secteurs vitaux, la filière de la pêche dans la perle du Sud est parvenu à tirer son épingle du jeu avec l’optimisation de la production, en vue de répondre à une demande nationale croissante, enregistrant ainsi des quantités de débarquement importantes par rapport à la même période de l’année écoulée.
Aucun arrêt ou diminution du rythme des activités n’a été observé dans ce secteur. Au contraire, une grande mobilisation a été constatée depuis le début de la pandémie afin de garantir l’approvisionnement régulier du marché de poisson, répondre au besoin accru en la matière et préserver les emplois dans cette filière.
Force est de dire que la région est l’une des zones les plus poissonneuses dans le Royaume. Ses eaux recèlent des ressources halieutiques abondantes et diversifiées, en sens que le port de Dakhla, considéré comme le plus important au niveau national, contribue largement au processus de développement socio-économique de la région.
Chiffres à l’appui, le secteur assure plus de 15.600 emplois directs, répartis sur les segments de la pêche hauturière (768 personnes) et artisanale (9.816), côtière et sardiniers (2.625) et la pêche côtière palangrier (2.400). Le filière de la pêche dans la région a bénéficié d’un investissement public soutenu, comme en témoignent l’acquisition de 1,5 millions de contenants normalisés et de 4 tunnels de lavage, en plus de 3.242 caissons isothermes au profit de 3.273 barques, ainsi que l’alimentation des sites de Ntireft, Labouirda, Ain Bida et Immoutlane en énergie renouvelable, pour un montant de 12 MDH, selon des chiffres de la délégation des pêches maritimes à Dakhla.
La perle du Sud dispose d’un potentiel halieutique de taille, représentant 65% du potentiel national exploitable, constitué de 80% de poissons pélagiques et de 20% de poissons démersales.
S’agissant de la répartition des débarquements par espèces en 2020, les poissons pélagiques forment 93% du total des débarquements des produits de la pêche au niveau de circonscription maritime de Dakhla, les céphalopodes (3,9%) et les poissons blancs (3,3%).
Quant au volume des sardines débarquées, cette année a enregistré près de 347.000 T, avec des transactions s’élevant à environ 586 MDH.
Composée de 26 navires de pêche hauturière, 3.273 barques de pêche artisanale, 150 Palangriers et 75 sardiniers, la flotte maritime au niveau de la région a réalisé en 2020 une production halieutique de plus de 500.000 T, d’une valeur globale d’environ 2 milliards de dirhams (MMDH).
A cet égard, le secteur de la pêche dans la région a bénéficié d’importantes infrastructures, dont deux ports, une halle au poisson, 6 sites de pêche équipés par des halles aux poissons, en plus de la construction en cours d’un nouveau hall au village de pêcheurs à Lamhiriz, une unité médicale au niveau du port et un Centre de qualification maritime et un Centre régional de l’Institut national de recherche halieutique (INRH).
Aucun arrêt ou diminution du rythme des activités n’a été observé dans ce secteur. Au contraire, une grande mobilisation a été constatée depuis le début de la pandémie afin de garantir l’approvisionnement régulier du marché de poisson, répondre au besoin accru en la matière et préserver les emplois dans cette filière.
Force est de dire que la région est l’une des zones les plus poissonneuses dans le Royaume. Ses eaux recèlent des ressources halieutiques abondantes et diversifiées, en sens que le port de Dakhla, considéré comme le plus important au niveau national, contribue largement au processus de développement socio-économique de la région.
Chiffres à l’appui, le secteur assure plus de 15.600 emplois directs, répartis sur les segments de la pêche hauturière (768 personnes) et artisanale (9.816), côtière et sardiniers (2.625) et la pêche côtière palangrier (2.400). Le filière de la pêche dans la région a bénéficié d’un investissement public soutenu, comme en témoignent l’acquisition de 1,5 millions de contenants normalisés et de 4 tunnels de lavage, en plus de 3.242 caissons isothermes au profit de 3.273 barques, ainsi que l’alimentation des sites de Ntireft, Labouirda, Ain Bida et Immoutlane en énergie renouvelable, pour un montant de 12 MDH, selon des chiffres de la délégation des pêches maritimes à Dakhla.
La perle du Sud dispose d’un potentiel halieutique de taille, représentant 65% du potentiel national exploitable, constitué de 80% de poissons pélagiques et de 20% de poissons démersales.
S’agissant de la répartition des débarquements par espèces en 2020, les poissons pélagiques forment 93% du total des débarquements des produits de la pêche au niveau de circonscription maritime de Dakhla, les céphalopodes (3,9%) et les poissons blancs (3,3%).
Quant au volume des sardines débarquées, cette année a enregistré près de 347.000 T, avec des transactions s’élevant à environ 586 MDH.
Composée de 26 navires de pêche hauturière, 3.273 barques de pêche artisanale, 150 Palangriers et 75 sardiniers, la flotte maritime au niveau de la région a réalisé en 2020 une production halieutique de plus de 500.000 T, d’une valeur globale d’environ 2 milliards de dirhams (MMDH).
A cet égard, le secteur de la pêche dans la région a bénéficié d’importantes infrastructures, dont deux ports, une halle au poisson, 6 sites de pêche équipés par des halles aux poissons, en plus de la construction en cours d’un nouveau hall au village de pêcheurs à Lamhiriz, une unité médicale au niveau du port et un Centre de qualification maritime et un Centre régional de l’Institut national de recherche halieutique (INRH).