Cet espace muséal dont la notoriété n’est plus à démontrer est à même d’enrichir la vocation de cette cité magique en tant que destination également du tourisme culturel.
Justement, l’intérêt porté à la promotion et à la découverte du tissage et le tapis «made in Morocco», émane du fait que ce «savoir- faire» séculaire est l’une des composantes essentielles du patrimoine culturel matériel, à laquelle ont contribué les artisans du Royaume depuis de longs siècles.
Au sein de cette structure muséale, au cœur de l’ancienne médina, on expose des tapis en provenance de toutes les régions du Royaume, afin de mettre en lumière tout un talent mais aussi, un volet radieux de la vie que ces artisans ont bien voulu consacrer à la pérennisation et à la préservation de cet art.
C’est dire que le thème du «tissage et tapis» se trouve en cohérence parfaite avec les aspects architectural et historique du Musée «Dar Si Said», un ancien palais, de toute beauté, construit à la fin du 19ème siècle.
D’une superficie de 2800 m2, le Musée National «Dar Si Said» offre un parcours scénographique bien pensé, à même de mettre en lumière l’art ancestral du tissage et du tapis.
Pour valoriser la richesse de l’art du tissage et du tapis, le musée a été divisé en deux grands axes. À la fois rurales et citadines, les créations relevant du premier axe, présentent des tissages (caftans, sacs, babouches, handira, djellaba…) d’hier et d’aujourd’hui, puisant leurs sources et leurs matières dans différents supports comme le velours, la soie, le brocart, le cuir….etc. Afin d’agrémenter l’exposition, ces collections inédites sont assorties et enrichies grâce à l’insertion «artistique» et bien «soignée» d’objets de toute splendeur à l’image des bijoux, des accessoires apparat féminin, des armes, ou encore d’une panoplie d’objets à usage quotidien… appartenant aux collections de la FNM.
Le deuxième axe, qui permet d’achever la découverte en toute beauté, propose, quant à lui, une section exclusivement dédiée au tapis en tant que véritable composante de l’identité nationale dans ses aspects social et historique les plus emblématiques.
Le visiteur pourra ainsi découvrir plusieurs confections de tapis réalisés dans toutes les régions du Royaume: l’Anti-Atlas, le Moyen Atlas, le Haut Atlas, le Haouz, le Citadin et enfin l’Oriental.
Mme Salima Aït Mbarek, conservateur du Musée national du tissage et du tapis, a indiqué que le tapis citadin est tissé traditionnellement à Rabat, Casablanca et Madiouna et se caractérise par la densité de sa moquette et par un riche décor floral, alors que le tapis rural se décline en deux grands ensembles : celui du Haut-Atlas et d’Al Haouz de Marrakech et celui du Moyen Atlas et du Maroc Oriental.
Le style rural est connu pour la dominance du registre géométrique avec un recours moins fréquent à des représentations anthropomorphiques ou zoomorphiques, a-t-elle expliqué. Et de poursuivre que cette structure muséale reçoit, chaque année, plus de 100.000 visiteurs parmi les touristes marocains et étrangers.
Pour Salima Aït Mbarek, ce musée, où sont exposés plus de 400 tapis, aspire à devenir un «centre de diffusion de l’information» relative à ce savoir-faire ancestral en quête permanente de valorisation.
Justement, l’intérêt porté à la promotion et à la découverte du tissage et le tapis «made in Morocco», émane du fait que ce «savoir- faire» séculaire est l’une des composantes essentielles du patrimoine culturel matériel, à laquelle ont contribué les artisans du Royaume depuis de longs siècles.
Au sein de cette structure muséale, au cœur de l’ancienne médina, on expose des tapis en provenance de toutes les régions du Royaume, afin de mettre en lumière tout un talent mais aussi, un volet radieux de la vie que ces artisans ont bien voulu consacrer à la pérennisation et à la préservation de cet art.
C’est dire que le thème du «tissage et tapis» se trouve en cohérence parfaite avec les aspects architectural et historique du Musée «Dar Si Said», un ancien palais, de toute beauté, construit à la fin du 19ème siècle.
D’une superficie de 2800 m2, le Musée National «Dar Si Said» offre un parcours scénographique bien pensé, à même de mettre en lumière l’art ancestral du tissage et du tapis.
Pour valoriser la richesse de l’art du tissage et du tapis, le musée a été divisé en deux grands axes. À la fois rurales et citadines, les créations relevant du premier axe, présentent des tissages (caftans, sacs, babouches, handira, djellaba…) d’hier et d’aujourd’hui, puisant leurs sources et leurs matières dans différents supports comme le velours, la soie, le brocart, le cuir….etc. Afin d’agrémenter l’exposition, ces collections inédites sont assorties et enrichies grâce à l’insertion «artistique» et bien «soignée» d’objets de toute splendeur à l’image des bijoux, des accessoires apparat féminin, des armes, ou encore d’une panoplie d’objets à usage quotidien… appartenant aux collections de la FNM.
Le deuxième axe, qui permet d’achever la découverte en toute beauté, propose, quant à lui, une section exclusivement dédiée au tapis en tant que véritable composante de l’identité nationale dans ses aspects social et historique les plus emblématiques.
Le visiteur pourra ainsi découvrir plusieurs confections de tapis réalisés dans toutes les régions du Royaume: l’Anti-Atlas, le Moyen Atlas, le Haut Atlas, le Haouz, le Citadin et enfin l’Oriental.
Mme Salima Aït Mbarek, conservateur du Musée national du tissage et du tapis, a indiqué que le tapis citadin est tissé traditionnellement à Rabat, Casablanca et Madiouna et se caractérise par la densité de sa moquette et par un riche décor floral, alors que le tapis rural se décline en deux grands ensembles : celui du Haut-Atlas et d’Al Haouz de Marrakech et celui du Moyen Atlas et du Maroc Oriental.
Le style rural est connu pour la dominance du registre géométrique avec un recours moins fréquent à des représentations anthropomorphiques ou zoomorphiques, a-t-elle expliqué. Et de poursuivre que cette structure muséale reçoit, chaque année, plus de 100.000 visiteurs parmi les touristes marocains et étrangers.
Pour Salima Aït Mbarek, ce musée, où sont exposés plus de 400 tapis, aspire à devenir un «centre de diffusion de l’information» relative à ce savoir-faire ancestral en quête permanente de valorisation.