Dans le monde de la musique, la provocation a toujours été un outil puissant pour attirer l’attention. Mais où se situe la limite entre l’expression artistique et l’insolence ? C’est la question que soulève, une fois de plus, le cas d’un certain rappeur français dont les frasques ne cessent de faire couler de l’encre des deux côtés de la Méditerranée. Par le passé, ce personnage controversé s’était déjà illustré par des propos dégradants envers les femmes marocaines. Ses paroles, d’une vulgarité sans bornes, avaient suscité un tollé légitime. La société civile marocaine, indignée, s’était mobilisée avec une ferveur remarquable. Cette vague de protestation avait abouti à l’annulation de son concert prévu sur le sol marocain. Une victoire pour la dignité, certes, mais qui n’a manifestement pas servi de leçon à ce trublion.
Car voilà que ce même « artiste » récidive. Et cette fois-ci, il franchit une ligne rouge en s’attaquant aux plus hautes institutions du Royaume. Sa cible ? Sa Majesté le Roi Mohammed VI, caricaturé de manière outrancière et complètement incongrue. Un acte qui dépasse l’entendement et qui ne peut être justifié par aucune forme de liberté d’expression. Cette escalade dans la provocation pose la question de la responsabilité des artistes et de l’impact de leurs faits et gestes dans un monde hyperconnecté. Elle interroge aussi sur les moyens de réponse dont disposent les États face à ces dérives numériques qui, sous couvert d’une liberté mal placée et mal exprimée, portent atteinte à l’honneur des personnes et des institutions.
À cet égard, les récentes déclarations du ministre marocain de la Justice méritent notre attention. Annonçant des poursuites contre les excès constatés sur le web, il ouvre la voie à une réflexion plus large sur la régulation de l’espace numérique. Mais jusqu’où peut-on aller ? Ces sanctions pourraient-elles s’appliquer à ce (dé)rappeur, même par contumace ? Et quid des blogueurs franco-algériens qui au gré de leurs déplacements au Maroc, depuis nos terres ou une fois repartis à l’étranger, se livrent à un dénigrement systématique du Royaume, de sa culture et de son tourisme sur les réseaux sociaux, surfant sur pareilles polémiques ou en fomentant d’autres ? La question mérite réflexion car la violence verbale et l’irrespect ne peuvent être considérés comme des formes d’art ou d’expression légitimes. Honnis soient ceux qui confondent provocation et création artistique !
Car voilà que ce même « artiste » récidive. Et cette fois-ci, il franchit une ligne rouge en s’attaquant aux plus hautes institutions du Royaume. Sa cible ? Sa Majesté le Roi Mohammed VI, caricaturé de manière outrancière et complètement incongrue. Un acte qui dépasse l’entendement et qui ne peut être justifié par aucune forme de liberté d’expression. Cette escalade dans la provocation pose la question de la responsabilité des artistes et de l’impact de leurs faits et gestes dans un monde hyperconnecté. Elle interroge aussi sur les moyens de réponse dont disposent les États face à ces dérives numériques qui, sous couvert d’une liberté mal placée et mal exprimée, portent atteinte à l’honneur des personnes et des institutions.
À cet égard, les récentes déclarations du ministre marocain de la Justice méritent notre attention. Annonçant des poursuites contre les excès constatés sur le web, il ouvre la voie à une réflexion plus large sur la régulation de l’espace numérique. Mais jusqu’où peut-on aller ? Ces sanctions pourraient-elles s’appliquer à ce (dé)rappeur, même par contumace ? Et quid des blogueurs franco-algériens qui au gré de leurs déplacements au Maroc, depuis nos terres ou une fois repartis à l’étranger, se livrent à un dénigrement systématique du Royaume, de sa culture et de son tourisme sur les réseaux sociaux, surfant sur pareilles polémiques ou en fomentant d’autres ? La question mérite réflexion car la violence verbale et l’irrespect ne peuvent être considérés comme des formes d’art ou d’expression légitimes. Honnis soient ceux qui confondent provocation et création artistique !