Les abonnés de Netflix auront droit à ce nouveau service de jeux vidéo issus de la même licence. À première vue, ces jeux sont destinés à un public plus large, et moins spécialisé dans la culture geek. Selon Netflix, cet ajout fait encore partie des phases de test et l’expérience des joueurs peut être imparfaite.
Le groupe a déjà tenté l’expérience des jeux virtuels en diffusant un épisode entièrement interactif de la série “Black Mirror” en 2018 ainsi qu’une version mobile d’un jeu gratuit basé sur la célèbre série “Stranger Things”. Les internautes pourront ainsi télécharger Stranger Things 1984 et Stranger Things 3 sur le Play Store ou l’App Store sans pour autant occasionner de frais supplémentaires.
Cette initiative a tout l’air d’être un test en conditions réelles pour une future offre disponible dans un nombre de pays plus large, avec un catalogue qui va s’enrichir au fur et à mesure. L’entreprise a pour ambition d’attirer le plus d’adhérents possible, et ce, par le biais de studios de développement de jeux mobiles et tester l’intérêt de ses abonnés pour le jeu vidéo.
La première percée de Netflix dans le domaine du jeu vidéo
L’ascension de Netflix dans l’industrie vidéo ludique continue avec sa récente acquisition d’un studio de jeu vidéo. En effet, la firme américaine a récemment annoncé le rachat de son premier studio de développement Night School Studio. Il est notamment à l’origine d’Oxenfree, un jeu d’aventure narratif sorti sur PC, Mac, consoles et smartphones en 2016, qui s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Le cofondateur du studio californien, Sean Krankel, a évoqué pour sa part « un honneur surréaliste » en devenant le premier développeur de jeux vidéo à rejoindre Netflix. L’entreprise a affirmé : « L’excellence artistique et l’expertise reconnue » de Night School en font « un partenaire inestimable ».
Une fois de plus, l’industrie vidéo ludique a ouvert ses bras à une entreprise dont l’activité initiale n’aurait pas laissé croire à un tel revirement. Netflix doit faire face aux géants du jeu vidéo déjà mis en place, comme Sony, Microsoft et Amazon. Ce nouveau levier de diversification de l’entreprise pourrait éventuellement devenir une part importante de son offre future.
Le groupe a déjà tenté l’expérience des jeux virtuels en diffusant un épisode entièrement interactif de la série “Black Mirror” en 2018 ainsi qu’une version mobile d’un jeu gratuit basé sur la célèbre série “Stranger Things”. Les internautes pourront ainsi télécharger Stranger Things 1984 et Stranger Things 3 sur le Play Store ou l’App Store sans pour autant occasionner de frais supplémentaires.
Cette initiative a tout l’air d’être un test en conditions réelles pour une future offre disponible dans un nombre de pays plus large, avec un catalogue qui va s’enrichir au fur et à mesure. L’entreprise a pour ambition d’attirer le plus d’adhérents possible, et ce, par le biais de studios de développement de jeux mobiles et tester l’intérêt de ses abonnés pour le jeu vidéo.
La première percée de Netflix dans le domaine du jeu vidéo
L’ascension de Netflix dans l’industrie vidéo ludique continue avec sa récente acquisition d’un studio de jeu vidéo. En effet, la firme américaine a récemment annoncé le rachat de son premier studio de développement Night School Studio. Il est notamment à l’origine d’Oxenfree, un jeu d’aventure narratif sorti sur PC, Mac, consoles et smartphones en 2016, qui s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Le cofondateur du studio californien, Sean Krankel, a évoqué pour sa part « un honneur surréaliste » en devenant le premier développeur de jeux vidéo à rejoindre Netflix. L’entreprise a affirmé : « L’excellence artistique et l’expertise reconnue » de Night School en font « un partenaire inestimable ».
Une fois de plus, l’industrie vidéo ludique a ouvert ses bras à une entreprise dont l’activité initiale n’aurait pas laissé croire à un tel revirement. Netflix doit faire face aux géants du jeu vidéo déjà mis en place, comme Sony, Microsoft et Amazon. Ce nouveau levier de diversification de l’entreprise pourrait éventuellement devenir une part importante de son offre future.